mercredi 29 juin 2011

F,P,D Univers."Ideas del hombre y más .......".

Un satélite detecta un nuevo cráter en el complejo volcánico Puyehue-Cordón Caulle. El Spot 4 ha tomado la imagen de un nuevo cráter 800 kilómetros al sur de Santiago de Chile. (Foto: EFE / Astrium)

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lundi 20 juin 2011

F,P,D Univers.

Taylor Momsen, actrice devenue chanteuse

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Par Antoine Daccord
20/06/2011 | Mise à jour : 19:48

The Pretty Reckless, groupe de rock de l'ancienne actrice de Gossip Girl est l'invité d'un Live exceptionnel pour la fête de la musique.

The Pretty Reckless (Taylor Momsen) - Since You're Gone

Taylor Momsen réussit avec brio son passage de l'écran à la scène. La toute jeune artiste américaine de 17 ans s'est rendue célèbre en interprétant le rôle de Jenny Humphrey dans la série télé à succès Gossip Girl. En décembre 2010, lors d'une première interview accordée au Live-Le Figaro pour la sortie de l'Album Light Me Up avec son groupe de rock The Pretty Reckless, la starlette expliquait qu'elle souhaitait apparaître de moins en moins à l'écran pour se consacrer à la musique, sa première passion. C'est chose faite, depuis quelques mois Taylor Momsen a quitté Gossip Girl et se concentre sur son virage musical en enchainant les concerts.

Un exercice souvent périlleux pour une actrice que Momsen exécute pourtant à merveille en emmenant sa formation musicale avec une voix très puissante, impressionante, la positionnant en chanteuse confirmée.

Le Figaro avait déjà proposé The Pretty Reckless en acoustique qui reçut un très bon accueil de la part des internautes. À l'occasion de la fête de la musique 2011, nous vous livrons Since You're Gone et Light Me Up réalisés par l'équipe du Live lors de son dernier concert parisien au Trianon, en formation complète, en éclectrique.

The Pretty Reckless (Taylor Momsen) - Light Me Up



"Ideas del hombre y más .......".

lundi 6 juin 2011

F,P,D Univers."Ideas del hombre y más ......."


HERMES MMMMMMMMMMMMMMMM
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MARYLIN MONROE VIDEO
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Marilyn Monroe sans fard

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Par Anthony Palou
03/06/2011 | Mise à jour : 13:56
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En 1955, le photographe américain Ed Feingersh, a suivi la stardans tout New York. Des images inoubliables d'une beauté légendaire.

Sous l'objectif d'Ed Feingersh, l'icône absolue du septième art devient ici une femme presque ordinaire. Marylin parfumant son décolleté d'une goutte de Chanel no 5, la plus célèbre photo. (Ed Feingersh/Michael Ochs Archives/Getty Images
Sous l'objectif d'Ed Feingersh, l'icône absolue du septième art devient ici une femme presque ordinaire. Marylin parfumant son décolleté d'une goutte de Chanel no 5, la plus célèbre photo. (Ed Feingersh/Michael Ochs Archives/Getty Images

Deux salles, juste deux salles à la photo-galerie de La Maison des Amériques. Une vingtaine de clichés célestes en noir et blanc. Pas besoin de plus. On y reste une demi-heure, on en rêvera pendant des jours. Nous sommes fin mars 1955. L'année de Sept ans de réflexion de Billy Wilder. Marilyn, 31 ans, s'échappe de Hollywood pour une semaine, direction New York, où elle rejoint Lee Strasberg à l'Actor's Studio.

Le photographe Ed Feingersh, envoyé du magazine féminin Redbook, suivra la star dans son quotidien. Ed Feingersh est un professionnel instinctif, comme son modèle de rêve (on apprend cela chez Strasberg). Sous son objectif, l'icône absolue du septième art devient ici une femme presque ordinaire à la beauté naturelle, celle qui n'est pas facile à peindre, à photographier - la beauté présente toujours quelque étrangeté, pensait Francis Bacon -, il ranime son âme, court-circuite la légende vivante. Bien entendu, cette beauté, qui est un don, fait de Marilyn un peu plus qu'une femme ordinaire.

Pouvoir d'excitation naturelle de cette égérie de chair passionnée. Feingersh capte ce corps délectable, son appareil court, glisse, erre, caresse, s'insinue sur ce visage, cette peau. Marilyn dans la cabine d'essayage de Brooks où deux mondes s'opposent : d'un côté la star, de l'autre les couturières anonymes. Marilyn, cigarette à la main, au café Costello's - QG de Feingersh -, situé sur la IIIe Avenue. Marilyn entrant dans l'arène du Madison Square Garden. Marilyn à la «lumière disponible » d'un kiosque à journaux. Marilyn lors d'un dîner de gala au restaurant El Morocco. Elle sourit, docile, au photographe. Marilyn à la terrasse de l'hôtel Ambassador: Manhattan aussi est à ses pieds. Marylin devant le salon de beauté d'Elizabeth Arden, regardant, lunettes de soleil sur son petit nez, vers le haut. Marilyn «à sa toilette», corps délectable. Marilyn lisant le Motion Picture Daily en productrice affairée. Marilyn endormie sur un fauteuil.

Objet de fantasme

Et cet étrange cliché où le photographe capte le mollet en mouvement de l'actrice, juste ce muscle, objet - ne soyons pas hypocrites - de quelques fantasmes. La tête de Marilyn a été volontairement coupée, elle qui n'avait rien d'une écervelée. Instant magique : l'actrice un verre dans une main, l'autre caressant son genou, lèvres humides de liqueur. Approche d'un plaisir. La photo la plus célèbre d'Ed Feingersh est sans aucun doute celle où la star parfume son décolleté d'une goutte de Chanel n° 5. Elle deviendra une publicité pour l'effluve désormais mythique, fera la une de nombreux magazine, dont Playboy Japon, mais sera écartée par Redbook et publiée seulement en 1988.

C'est Feingersh qui fit descendre pour la première fois de sa vie Marilyn dans le métro. Sur le quai, elle pose dans son manteau en cachemire. Toujours cette expression enfantine, pommettes duvetées. Les zones d'ombre, taches noires, sont la signature de Feingersh. Jamais d'éclairage artificiel. Comme si sa pellicule était atteinte d'un glaucome.

Le photographe mourut en juin 1961, un an avant la disparition de son modèle. Définitivement entré dans la chambre obscure. Depuis 1955, il ne faisait plus grand-chose. Il avait remisé ses boîtiers dans un placard. La dépression le grignotait. De son travail, plus aucune trace. Nous devons sa résurrection à un certain Michael Ochs, un passionné de photographie qui tomba par hasard, un jour de 1987, dans un vieux hangar de Brooklyn, sur une enveloppe qui contenait les merveilles que l'on peut aujourd'hui admirer.

Saluons le travail passionnant - prétexte de cette exposition - du journaliste et critique de cinéma Adrien Gombeaud qui vient de publier Une blonde à Manhattan *, récit renseigné de cette semaine new-yorkaise en noir et blanc désormais légendaire. Un roman vrai.

«Une blonde à Manhattan», à la Maison des Amériques, 3, rue Cassette, Paris VIe, jusqu'au 7 octobre. Entrée libre, de 10 heures à 19 heures. * Édition Le Serpent à Plumes, 210 pages, 19 €.

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Le développement d'un anticancéreux d'Ipsen arrêté

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Armelle Bohineust
06/06/2011 | Mise à jour : 18:08
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Un coup dur annoncé ce lundi par le laboratoire français, qui cesse les essais cliniques sur un traitement du cancer de l'endomètre.

La tâche s'annonce délicate. Marc de Garidel, le nouveau PDG d'Ipsen, doit dévoiler jeudi les grandes lignes de sa stratégie. Celle-ci devra tenir compte de la mauvaise nouvelle annoncée ce lundi par le quatrième laboratoire français. Il arrête le développement de son anticancéreux Irosustat en monothérapie. Une étude montre, en effet, que ce traitement n'atteint pas son objectif: arrêter la progression du cancer de l'endomètre. Ipsen a tenté d'atténuer la mauvaise nouvelle en indiquant que ce traitement avait encore des chances d'être efficace en multithérapie. Encore faudrait-il pour cela qu'il trouve un partenaire prêt à s'engager avec lui dans une nouvelle étude.

Le laboratoire avait déjà annoncé en février l'arrêt du Taspoglutide. Ce traitement contre le diabète était en phase 3 d'essais cliniques (le stade ultime avant la demande de mise sur le marché) mais le géant suisse Roche, allié d'Ipsen dans le développement, a préféré jeter l'éponge. Là aussi, Ipsen s'était dit prêt à relancer la recherche sur ce produit lorsqu'il aurait, fin 2011, analysé les données fournies par Roche. Mais aucun observateur du secteur médical ne croit plus à son avenir.

Il reste aujourd'hui à Ipsen un pipeline de produits en développement relativement fourni, avec neuf molécules en phase 3. Toutefois, l'arrêt de l'Irosustat met à mal sa filière oncologie. Ipsen n'y compte plus que deux produits pour le cancer de la prostate, le Décapeptyl, commercialisé depuis longtemps, et une molécule développée par Active Biotech, une société alliée à Ipsen depuis moins de deux mois.

En médecine de spécialités, domaine que Marc de Garidel devrait largement privilégier, au détriment de la médecine générale (Smecta...), Ipsen peut donc compter surtout sur la neurologie et l'endocrinologie. Il peut aussi nourrir des espoirs en hématologie. A condition d'être patient. Dans cette aire thérapeutique, les traitements d'Ipsen en sont encore au stade des essais cliniques.