dimanche 31 janvier 2010



F,P,D Univers. El krill crea nuevos deseos
Yves Miserey
29/01/2010 | Actualizado: 14:20 |
Este pequeño camarón del Océano Austral, que son comidos por las ballenas y los pingüinos es una de las especies más abundantes en el planeta.

La continua disminución de los recursos marinos desde la década de 1980 empujó a los propietarios para hacer frente a nuevas especies por la pesca cada vez más lejos y más profundo. Ahora, para el krill que muchos países quieren convertir: Euphausia superba, un camarón pequeño transparente con puntos rojos y ojos redondos y negro. El año 2010 debe marcar un punto de inflexión en la explotación de esta especie, dice Fishing News International

Le krill antarctique suscite de nouvelles convoitises
Yves Miserey
29/01/2010 | Mise à jour : 14:20 |

Cette petite crevette de l'océan Austral dont se nourrissent les baleines et les manchots est l'une des espèces les plus abondantes de la planète.

La diminution continuelle des ressources marines depuis les années 1980 pousse les armateurs à s'attaquer à de nouvelles espèces en pêchant toujours plus loin et plus profond. C'est maintenant vers le krill antarctique que plusieurs pays veulent se tourner : Euphausia superba, une petite crevette transparente avec des petits points rouges et des yeux tout ronds et noirs. L'année 2010 devrait marquer un tournant dans l'exploitation de cette espèce, affirme le Fishing News International dans une série d'articles publiés dans son édition de décembre 2009 et janvier 2010. Un nouveau navire usine norvégien - le Thorshovdi - va opérer dans l'océan Austral dans quelques semaines pour capturer les miraculeuses petites crevettes. Ce navire de 133 mètres de long peut conditionner 250 tonnes de krills par jour. Il va s'ajouter aux deux chalutiers norvégiens qui opèrent déjà dans la région (la Norvège est le premier pays pêcheur de krill au monde). Les Japonais, les Coréens, les Polonais et les Russes devraient eux aussi envoyer de nouveaux bateaux cette année. Les Chinois et les Ukrainiens sont également sur les rangs.

Le krill antarctique est l'une des dernières grandes ressources sauvages de la planète. Nourriture de base des baleines, des phoques et des manchots, il constitue l'une des espèces les plus abondantes en termes de biomasse. Les petites crevettes stationnant une bonne partie de l'année sous les glaces de mer, l'évaluation des stocks est particulièrement difficile à faire mais certains scientifiques estiment qu'ils pourraient tourner autour de 500 millions de tonnes, répartis inégalement sur les 20 millions de kilomètres carrés de l'océan Austral. Un chiffre à comparer aux 80 millions de tonnes de poissons capturés bon an mal an par la pêche mondiale, selon la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture).

Dans les années 1970, le krill antarctique apparaissait déjà comme une manne exceptionnelle. On pensait alors pouvoir en capturer plus de 70 millions de tonnes par an. Bien vite, les projets ont été revus à la baisse pour des raisons à la fois techniques et économiques. La carapace des crevettes est si fragile qu'elle est broyée une fois dans le chalut, ce qui occasionne des pertes énormes et limite leur conservation. Les coûts d'exploitation sont très élevés, l'océan Austral étant loin de tout port de débarquement. Les conditions de navigation sont extrêmement dures et, autre facteur limitant, les variations saisonnières peuvent être considérables. Jusqu'alors, la flotte soviétique a été la seule à pêcher le krill à grande échelle avec près de 500 000 tonnes par an, de 1970 à 1980. Les niveaux de capture annuels sont actuellement très faibles par rapport aux stocks, puisqu'ils tournent autour de 100 000 tonnes.

Le regain d'intérêt pour le krill s'appuie d'abord sur une innovation technique. Un système d'aspiration du krill à l'intérieur du chalut évite désormais l'écrasement des carapaces. Les crevettes sont remontées directement par un tuyau sur le pont dès leur capture et peuvent aussitôt être conditionnées sans perte. Plus déterminant encore, les scientifiques ont découvert que le krill est composé de molécules extrêmement précieuses qui peuvent être valorisées dans plusieurs domaines d'activité particulièrement rentables.

Les chercheurs travaillant sur le milieu antarctique suivent de près tous ces changements qui se profilent à l'horizon. En effet, le krill est la clé de voûte de l'écosystème austral. La petite crevette qui se nourrit de phytoplancton et de diatomées est la principale source de nourriture des poissons, des baleines, des phoques et des manchots. Si on touche à la base de ce fragile édifice naturel, il pourrait s'effondrer. Les craintes s'expriment d'autant plus volontiers que le réchauffement contribue déjà à le déstabiliser, comme le montrent les études sur les oiseaux marins publiées récemment.

La pêche au krill dans l'océan Austral est soumise aux recommandations des experts de la CCAMLR (Convention sur la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique). Ces derniers sont très soucieux de conservation, et les quotas de capture ne réprésentent qu'une quantité infime par rapport aux stocks. Il n'empêche que si le krill devient un jour une source importante de revenus, la pêche illégale pourrait s'y intéresser. On n'en est pas encore là. «Il faut rester vigilant», assure néanmoins Angus Atkinson, du British Antarctic Survey, un des meilleurs spécialiste d'Euphausia superba.



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F,P,D Univers. De hielo del Ártico el fondo del mar, el camino se abre
Cyril Hofstein
29/01/2010 | Actualizado: 17:47

El poderoso rompehielos Louis St. Laurent (primer plano), venir a ayudar a la "Roald Amundsen", atrapado en una gruesa capa de hielo 5 a 6 metros, que se deriva desde el Polo Norte. Muy inusual para la temporada. (Philippe Bourseiller / JH Editorial)
A bordo del "CCGS Amundsen" rompehielos de la Guardia Costera, los científicos estudian cada año, el impacto ambiental de la apertura del Paso del Noroeste, de oeste a navegación, debido al calentamiento global.

Arctique : la banquise fond, la route s'ouvre
Cyril Hofstein
29/01/2010 | Mise à jour : 17:47 |

Le puissant brise-glace « Louis Saint-Laurent » (au premier plan), venu aider l'«Amundsen», pris dans une banquise épaisse de 5 à 6 mètres qui a dérivé depuis le pôle Nord. Situation très inhabituelle pour la saison. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)
À bord du NGCC «Amundsen», brise-glace de la Garde côtière canadienne, des scientifiques étudient chaque année l'impact écologique de l'ouverture du passage du Nord-Ouest à la navigation, liée au réchauffement climatique.

En silence, leNGCC Amundsen traverse une longue étendue d'eau libre. Puis son étrave touche la glace. Sur la passerelle, il faut maintenant crier pour se faire entendre. Tout vibre. Le bruit est assourdissant. Lentement, le brise-glace de la Garde côtière canadienne ouvre son chenal. L'acier de sa coque souffre et crisse, puis la banquise cède en libérant une eau sombre qui gicle sur ses flancs. Le fracas de tôle froissée ne quittera pratiquement plus le navire. Ceux qui occupent des cabines sous la ligne de flottaison, près du poste d'écoute, devront en plus supporter l'écho lancinant du sonar, qui envoie ses signaux 24 heures sur 24. Nous sommes le 10 octobre 2009, en mer de Beaufort, dans l'océan Arctique, au nord des côtes de l'Alaska, du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest et à l'ouest des îles arctiques du Canada.

C'est la première fois depuis le départ, le 8 octobre dernier, que les marins et les membres de l'équipe scientifique font face à la banquise annuelle dans le passage du Nord-Ouest.

Depuis 1490, ce passage fait rêver


Les glaciologues, descendus sur la banquise, effectuent des analyses sous la surveillance d'un garde armé contre les ours polaires. Pendant des heures, ils vont mesurer salinité, température et épaisseur de la glace. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)
Les glaciologues, descendus sur la banquise, effectuent des analyses sous la surveillance d'un garde armé contre les ours polaires. Pendant des heures, ils vont mesurer salinité, température et épaisseur de la glace. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)

Hier, deux harfangs, ces grandes chouettes arctiques, se sont posés sur le pont. Un bon présage pour une mission d'exploration polaire d'une très grande complexité. Jusqu'au 7 novembre, en effet, l'Amundsen, va servir de laboratoire flottant à une trentaine de scientifiques français, canadiens et allemands spécialistes en glaciologie, météo rologie, géologie, cartographie, sciences de la mer et biologie. Leur mission ? Evaluer l'impact écologique de l'ouverture progressive du passage du Nord-Ouest à la navigation en raison du réchauffement climatique.

La route mythique du passage du Nord-Ouest... Un songe qui naît en 1490 quand Jean Cabot, navigateur vénitien au service du roi d'Angleterre, émet l'hypothèse d'un passage vers l'Orient par le Grand Nord. Au souverain qui l'écoute il promet que ses navires pourraient ainsi dominer les mers et régner sur le monde. Un rêve de gloire qui, pendant plus de trois siècles, va fracasser des dizaines de navires et d'équipages. Martin Frobisher, Vitus Bering, James Cook, John Franklin... Tous ont rêvé de franchir cet étroit réseau de chenaux qui relie l'Atlantique au Pacifique en passant entre les îles arc tiques. En vain. Il faudra attendre les années 1903 à 1906 pour que le Norvégien Roald Amundsen, dont le brise-glace canadien porte aujourd'hui le nom, parvienne à forcer son chemin. Mais la route qu'il emprunte ne permet pas à des navires de fort tonnage de passer. Le grand passage reste partiellement impraticable.

Aujourd'hui, le changement climatique et la spectaculaire fonte des glaces polaires qui l'accompagne ont tout bouleversé. Le visage de l'Arctique a changé définitivement. Depuis 2007, l'été, le passage du Nord-Ouest est désormais presque ouvert et attire toutes les convoitises. L'enjeu est considérable : l'emprunter permet de raccourcir d'au moins 4 000 kilomètres le trajet maritime actuel entre l'Europe et l'Extrême-Orient passant par le canal de Suez. De plus, la mer de Beaufort renfermerait en son sous-sol jusqu'à un quart des réserves mondiales d'hydrocarbures. Une fantastique richesse qui ne cesse de raviver la querelle entre le Canada et les Etats-Unis sur le tracé de leur frontière maritime - sur le 141e méridien, selon les Canadiens, équidistante des côtes pour les Américains.

Depuis le 9 avril 2006, le Canada a pris les devants et considère le passage du Nord-Ouest comme faisant partie des ses eaux intérieures. L'année suivante, le pays a annoncé la création, prévue pour 2015, d'un port en eaux profondes à Nanisivik, au nord de l'île de Baffin, ainsi qu'un renforcement de sa présence militaire et scientifique. Dans ce contexte diplomatique tendu, être vu dans les parages est aussi l'une des missions de l'Amundsen, dont la coque rouge et les structures blanches sont immanquables, même par mauvais temps. Entre 2007 et 2009, le navire et son équipage ont effectué plus de 450 jours de mer. Presque un record.

L'hélicoptère de bord permet de repérer les passages


L'«Amundsen» est utilisé la moitié de l'année par des scientifiques qui étudient l'évolution des glaces, la physique et la chimie des eaux, la bathymétrie (mesure des profondeurs), la géologie, la biologie et les échanges atmosphère-océan. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)
L'«Amundsen» est utilisé la moitié de l'année par des scientifiques qui étudient l'évolution des glaces, la physique et la chimie des eaux, la bathymétrie (mesure des profondeurs), la géologie, la biologie et les échanges atmosphère-océan. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)

«L'Amundsen est une sentinelle et un atout considérable pour la science, explique Louis Fortier, professeur et chercheur en océanographie du département de biologie de l'université Laval de Québec, et chef de mission sur le navire. C'est une chance de pouvoir travailler à son bord dans des conditions exceptionnelles et d'accéder aux vastes étendues de l'Arctique côtier pour y étudier les répercussions des changements climatiques, tant sur le plan environnemental que socio-économique. Chaque campagne témoigne des profondes évolutions structurelles de la région.»

Le 11 octobre, la mer est agitée et les équipements du bateau sont couverts de glace. La météo est très capricieuse et la tempé rature oscille entre - 21 et - 2 °C. Il y a peu de vent et le ciel est souvent plombé, tandis qu'alternent chutes de neige et brouillards.

Mais rien n'arrête les chercheurs qui multiplient les relevés sur le pont avant et le pont latéral avant de quitter la mer de Beaufort, le 16 octobre. A mesure que le voyage se poursuit, l'Amundsen peine à tracer sa route. La glace ne cesse de s'épaissir et, de plus en plus souvent, l'hélicoptère de bord décolle pour tenter de repérer des passages dans la brume.

Puis, dans la nuit du 17 au 18, alors que le navire se dirige vers le détroit du Prince-de-Galles, la coque du brise-glace touche le fond. A bord, le calme est impressionnant. Très décontracté, l'équipage décide de stopper vingt-quatre heures pour évaluer les éventuels dégâts. Plus de peur que de mal. Pour les glaciologues, c'est une aubaine. Ils peuvent enfin descendre pour effectuer des carottages, sous le regard inquiet d'un garde-côte armé d'une carabine, au cas où un ours polaire un peu trop curieux viendrait à leur rencontre.


En pleine mer, l'équipage met à l'eau des balises destinées à évaluer les masses d'eau et les courants. Equipées de pièges à particules et d'hydrophones, elles resteront immergées entre six mois et un an. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)

Le 19, l'Amundsen fait route au nord-ouest du détroit de Lancaster, un des bras de la baie de Baffin, point de passage important à travers l'archipel arctique. En raison de l'interaction des courants, le détroit est riche en nutriments. Une manne pour les biologistes du bord, qui étudient notamment la modélisation de la croissance et de la survie des larves de morue arctique, un des poissons clés de l'écosystème. Le 21 octobre, la banquise est soudain plus épaisse et des blocs compacts de 5 à 6 mètres d'épaisseur bloquent le passage. Une situation très inhabituelle pour la saison. Le bateau avance à 2 nœuds, puis finit par se trouver totalement coincé. Au point que son commandant doit faire appel au Louis Saint-Laurent, autre brise-glace, qui arrive le 22 dans l'après-midi.

«Pour moi, ce point du voyage est le plus démonstratif des ravages du changement climatique dans la région, regrette Louis Fortier. Car ces plaques qui nous ont arrêtés font incontestablement partie des vestiges de la banquise pluriannuelle du pôle Nord, poussée vers le sud jusque dans le passage du Nord-Ouest. Une «vieille glace», essentielle au maintien du climat actuel, qui se détache et disparaît inexorablement. En clair, c'est la première fois depuis 14 millions d'années que le «capital froid» de l'Arctique est touché. Et les conséquences de ce phénomène, qui doivent encore être évaluées, m'inquiètent.»

L'été prochain, l'«Amundsen» servira de navire-hôpital pour les Inuits


L'archipel des îles arctiques canadiennes, entrecoupé de poches d'eau libre, coeur du passage du Nord-Ouest, attise toutes les convoitises. Son sous-sol abriterait un quart des réserves mondiales d'hydrocarbures. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)
L'archipel des îles arctiques canadiennes, entrecoupé de poches d'eau libre, coeur du passage du Nord-Ouest, attise toutes les convoitises. Son sous-sol abriterait un quart des réserves mondiales d'hydrocarbures. (Philippe Bourseiller/JH Editorial)

Après un court arrêt sur l'île Devon pour faire le plein de carburant, le brise-glace subit trois jours de tempête de neige. Puis l'équipage aperçoit son premier iceberg le 28 octobre. La mer est calme et il y a même du soleil. Les biologistes récoltent du phytoplancton et les météorologistes peuvent à nouveau déployer leurs capteurs et envoyer leurs ballons-sondes. Le 31, on fête Halloween avant de retrouver la pleine mer, le quasi-silence de la navigation en eau libre et la fin de la campagne. L'équipage se prépare au repos, les scientifiques, au retour vers leurs labos et leurs campus. L'Amundsen poursuivra sa croisière l'été prochain comme navire-hôpital pour les Inuits.

«Il est encore trop tôt pour faire le bilan de ce voyage, et les chercheurs n'ont pas encore terminé d'exploiter leurs échantillons et leurs relevés, explique le chef de mission. Mais nous avons pu voir une nouvelle fois que la zone est en pleine mutation et que sa faune est en train de changer profondément. Certaines espèces, comme les ours polaires, sont en voie de disparition ; d'autres, au contraire, apparaissent, comme le saumon du Pacifique. Mais ce ne sont que deux exemples isolés. Nous sommes à un tournant. Un nouveau monde va prendre pied en Arctique.»


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vendredi 29 janvier 2010



F,P,D Univers. La nueva arma rusa para vigilar los cielos
Moscú realiza con éxito el vuelo de prueba de su caza 'stealth' de quinta generación, la competencia del caza estadounidense F-22 Raptor

REUTERS - Moscú - 29/01/2010


El nuevo caza 'stealth' desarrollado por Rusia aterriza tras su exitoso vuelo de prueba- AP

Rusia ha realizado hoy el vuelo de prueba de su nuevo, y largamente esperado, avión de combate, con el que quiere desafiar a Estados Unidos en materia de superioridad técnica en los cielos y además causar una buena impresión en el mercado internacional de armamentos.


El caza stealth de "quinta generación"- el primer avión de guerra completamente nuevo de Rusia desde que el colapso de la Unión Soviética llevó a la industria de defensa a la pobreza y desorganización- voló durante 47 minutos, según el fabricante de aviones Sukhoi. Los aviones de quinta generación son invisibles a los radares, tienen avanzados sistemas de control de vuelo y armas y pueden volar a velocidades supersónicas.

"El avión se desempeñó bien. Todas nuestras expectativas para el primer vuelo se cumplieron", ha dicho la portavoz de Sukhoi, Olga Kayukova, al canal de televisión Rossiya 24. "El debut fue un éxito", ha agregado.

El nuevo avión es la respuesta de Moscú a la aeronave de caza estadounidense F-22 Raptor, la única de quinta generación actualmente en servicio del mundo, que voló por primera vez en 1997.

Según analistas, probablemente pasarán de cinco a siete años antes de que el Ejército ruso pueda volar el nuevo avión. Un desarrollo exitoso de la aeronave es crucial para que Rusia demuestre que puede desafiar a la tecnología estadounidense.


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F,P,D Univers. Los EE.UU. tiene previsto regresar a la Luna será abandonado
B.F. (lefigaro.fr)
29/01/2010 | Actualizado: 10:13 AM |
La NASA ha gastado ya $ 9 mil millones para preparar el retorno de los estadounidenses a la Luna. Fotos: AP
Barack Obama prefiere que la NASA se centra en otras prioridades, y reducir su dependencia de la nave espacial rusa Soyuz para llegar a la Estación Espacial Internacional.

Le projet américain de retour sur la Lune va être abandonné
B.F. (lefigaro.fr)
29/01/2010 | Mise à jour : 10:13

La Nasa a déjà dépensé 9 milliards de dollars pour préparer le retour des Américains sur la Lune. Crédits photo : AP
Barack Obama préfère que la Nasa se concentre sur d'autres priorités, et réduise sa dépendance aux vaisseaux russes Soyouz pour accéder à la Station spatiale internationale.

Le grand programme spatial «Constellation», successeur d'Apollo lancé en 2004 par George W. Bush, n'est pas près de voir le jour. Lundi prochain, à l'occasion de la présentation du budget des Etats-Unis pour l'année 2011, Barack Obama va proposer un changement de stratégie de la Nasa, qui conduira à l'abandon de l'objectif d'envoyer à nouveau des astronautes sur la Lune d'ici à 2020, ont confirmé plusieurs sources officielles citées par la presse américaine. «Nous parcourrons le budget ligne par ligne à la recherche de programmes qui ne sont pas efficaces et coûtent trop cher et nous les supprimerons», avait promis le président mercredi.

Sur le papier, l'agence spatiale profitera bien d'une hausse de ses crédits au cours des cinq prochaines années de 5,9 milliards de dollars, soit 100 milliards de dollars au total entre 2011 et 2015. Mais ce budget sera destiné en priorité à prolonger la durée de vie de l'ISS, la station spatiale internationale. Il sera aussi consacré à des projets privés d'acheminement d'astronautes vers l'ISS. L'administration Obama cherche en effet à réduire rapidement sa dépendance aux vaisseaux russes Soyouz, alors que les trois navettes de la Nasa doivent principe prendre leur retraite cette année.

Des crédits insuffisants

Mécaniquement, ces investissements conduiront à l'abandon du développement du lanceur Ares 1, prévu par le programme Constellation, ainsi que de la capsule Orion, qui rappelle celle d'Apollo. Selon le rapport d'une commission créée par Barack Obama, l'administration Bush n'a de toute façon jamais accordé les crédits nécessaires pour que les astronautes américaines puissent reposer le pied sur la Lune à l'horizon 2020. Plus de 9 milliards de dollars ont pourtant déjà été investis dans la préparation du retour sur la Lune, soulignent au New York Times deux représentants républicains, qui redoutent la fin des vols habités.

Tous les projets de voyages habités vers la Lune puis vers Mars ne sont toutefois pas abandonnés. Selon les plans de la Maison-Blanche, le rôle accru du secteur commercial doit tout de même contribuer à entreprendre des missions d'explorations au-delà de l'orbite terrestre, en contribuant au développement de nouvelles technologies. Mais il aura aussi des effets négatifs. Plus de 4.600 emplois, sur 15.000 que compte le Centre spatial Kennedy de la Nasa, pourraient être supprimés.



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F,P,D Univers. La alta cocina de Tenerife premiada en el "Madrid Fusión"




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F,P,D Univers. Nuestros productos en Madrid Fusión




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F,P,D Univers. Explosivo mestizaje en el aperitivo oficial de Madrid Fusión




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jeudi 28 janvier 2010


F,P,D Univers. Valentino: un Eden per Lolite
di Simone Marchetti
Non più miliardarie over 40. Ma le loro figlie e le hit-girl da red carpet. Ecco il nuovo obiettivo dell'alta moda di Chiuri e Piccioli. Un giardino incantato con abiti ricchi di fiori carnivori, anemoni e piume cangianti

Guarda: La sfilata

Maria Grazia Chiuri e Pier Paolo Piccioli, i due stilisti alla guida della maison Valentino, hanno deciso di seguire l'intuito: incuranti delle aspettative e in controtendenza rispetto agli altri stilisti, hanno trasformato il transatlantico dell'haute couture in una nave da crociera verso l'Eden delle Lolite.
La loro collezione non perde la rotta iniziata la scorsa stagione: come allora, il pubblico da conquistare non è più quello delle "Ladies who lunch", le miliardarie over 40 che fanno "colazione e beneficenza" come unica occupazione della vita. Sono le loro figlie, le amanti dei loro mariti, le hit-girl da red carpet il loro nuovo obiettivo. Per questo hanno tagliato i vestiti: di netto, un colpo di forbici, trasformando le gonne in mini mozzafiato. Altro particolare ricorrente è il color carne, praticamente un nudo illusorio: niente rosso Valentino, meglio un'idea di sensualità resa più sofisticata dalla sfumatura più vicina che ci sia al tono della pelle.

La novità sono le lavorazioni dei tessuti, specie se giocati in fasce che avvolgono il corpo come una spirale. Nel contrasto di questi, soprattutto nell'effetto aereo e liquido di chiffon e seta, sta la magia della collezione: nel modo di accostare nuvole di beige a spirali di grigio e magenta; o la delicatezza di "spezzare" una lunga gonna color carne increspandone la superficie di piccole ruches bianco panna, leggere come onde. In questo, forse, c'è un dovuto e voluto richiamo al maestro, che i rumors vogliono ancora molto presente e attento, soprattutto nell'alta moda.
Nella passerella, infine, c'è posto anche per qualche pezzo d'alto artigianato, praticamente un piccolo capolavoro di design: come la giacca di piume cangianti nei toni del grigio, pervinca e arancione; o nei top ricamati che ricordano anemoni di mare e piante carnivore. Evoluzioni della forma degne di una passerella haute couture.



(Pubblicato il 27 gennaio 2010)


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F,P,D Univers. Ferrán Adriá, siempre protagonista en Madrid Fusión




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F,P,D Univers. Madrid Fusión, la principal feria gastronómica de España




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F,P,D Univers. ¡Una flor que da calambres y además es comestible!




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mercredi 27 janvier 2010


F,P,D Univers. En Antarctique, pêcheurs et cétacés en concurrence
Marielle Court
27/01/2010 | Mise à jour : 10:45 |

Pêche dans les eaux de l'Antarctique. Crédits photo : AFP
La pêche au casier est testée à Crozet pour empêcher les orques de dévorer les légines.

Combiner écologie et économie, c'est possible, et lorsque cela se passe dans le monde de la pêche, cela devient exemplaire. À l'autre bout du monde, dans l'océan austral, «La France dispose avec la légine de la deuxième pêcherie après le thon», explique Rollon Mouchel-Blaisot, le préfet des TAAF (terres australes et antarctiques françaises). Un poisson très prisé aux États-Unis et en Asie qui a failli disparaître dans les années 1980, pillé par les pêcheurs illégaux, fort peu soucieux du renouvellement de l'espèce autour des îles Kerguelen et dans la zone de Crozet. En outre, braconniers et pêcheurs légaux travaillaient avec des chalutiers, dont les filets attrapaient les très jeunes poissons.

Une légine. DR
Une légine. DR

Les illégaux ont été chassés en dehors des zones économiques exclusives et les pêcheurs ont été priés d'abandonner les chalutiers au profit de palangriers : des bateaux qui traînent derrière eux et sur des kilomètres des filins plombés et équipés tout au long d'hameçons. C'est alors que deux autres problèmes sont apparus : les oiseaux en voulant attraper les poissons restaient accrochés aux hameçons et se noyaient par milliers, mais également, les orques et les cachalots trouvaient d'un seul coup dans le sillage des bateaux une nourriture extrêmement facile d'accès. «Une légine peut peser jusqu'à 80 kg et mesurer 2 m 10 de long», explique Guy Duhamel directeur du département des milieux et peuplement aquatique du Muséum d'histoire naturelle, «Or les pêcheurs ne remontaient plus que des têtes», ajoute-t-il. En 2003, orques et cachalots se sont ainsi régalés de 1 200 tonnes de légines !

Résultats encourageants

Professionnels, scientifiques et représentants de l'État se sont mis autour de la table pour imaginer un système protégeant la ressource, tout en permettant aux pêcheurs de travailler et aux cétacés de revenir à un mode alimentaire classique. L'expérimentation qui vient d'être lancée consiste à remplacer les lignes de pêches par des casiers. Cette campagne baptisée «Orcasav» semble, après quelques jours, donner des résultats encourageants pouvant satisfaire pêcheurs et protecteurs de l'environnement, dans la limite d'une pêche raisonnable. «Les quotas sont de 6 000 tonnes par an sur une ressource évaluée à 150 000 tonnes», rappelle le préfet.

Un exemple de concertation efficace dont on peut se demander pourquoi il n'est pas copié dans les autres zones de pêche française, pour le thon notamment.



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F,P,D Univers. Raphael




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F,P,D Univers. El Bulli dejará de servir comidas en 2012 y 2013
Adrià anuncia que él y su equipo seguirán trabajando e investigando: "no se cierra el espíritu ni la creatividad"

ROSA RIVAS - Madrid - 26/01/2010


El Bulli dejará de servir comidas en 2012 y 2013 según ha anunciado ayer Ferran Adrià en la feria gastronómica Madrid Fusión . El reputado chef pide "que no haya especulaciones" y ha querido subrayar que su buque insignia no desaparece: se cierra en cuanto restaurante de cara al público, pero permanece abierto como laboratorio de investigación.

"Con un formato como el actual es imposible seguir creando", ha afirmado Adrià. Él y su número dos, Juli Soler, consagrarán su tiempo a partir de esa fecha a abrir nuevas rutas. El cocinero ha insistido en que la decisión -"personal y profesional"- ha sido muy meditada; el objetivo es la "normalización de las vidas" de los miembros del equipo.

Durante 2010 el restaurante funcionará con normalidad (abrirá del 15 de junio al 20 de diciembre). En 2011 previsiblemente también, aunque el horario se comunicará en septiembre de 2010.

En 2012 y 2013 cerrará sus puertas al público. "Durante este tiempo se analizará todo el know-how ("saber hacer") de elaboraciones, técnicas y estilos de elBulli tras 30 años de trayectoria creativa, trabajo que se verá reflejado en una exhaustiva y pormenorizada enciclopedia", han señalado fuentes del restaurante en una nota de prensa.

Durante el periodo sin comensales Adrià y su equipo trabajarán en dos "centros creativos": elBullitaller de la calle Portaferrissa en Barcelona y el propio restaurante elBulli en Cala Montjoi, Girona.

En 2014 se verá el resultado de los años dedicados a la reflexión: "en 2014 se ofrecerá comida de alguna manera, no sé si para uno o para mil comensales", ha dicho Adrià. El chef ha querido tranquilizar al auditorio reiterando que seguirá su compromiso "para que la cocina española esté en lo más alto".

Adrià también ha anunciado que de septiembre a diciembre de 2010 impartirá un curso en la Universidad de Harvard (EE UU) en el marco de las actividades de la Fundació ALImentació i CiènCIA (Alícia).

Consulta la página 'web' oficial de El Bulli y la 'web' oficial de Madrid Fusión



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mardi 26 janvier 2010

F,P,D Univers. Benedicto XVI: La Iglesia es una y santa





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F,P,D Univers. Madrid Fusión 2009 || Rodrigo de la Calle || Gastrobotánica




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F,P,D Univers.Alaska : des images satellites montrent la fonte des glaciers
Marielle Court
19/01/2010 | Mise à jour : 22:17


Le glacier Herbert, situé près de Juneau, en Alaska. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
Un constat qui amène à s'interroger sur les raisons de la hausse du niveau des océans.

Bonne nouvelle : les glaciers de l'Alaska ont fondu moins vite ces cinquante dernières années que ce que l'on croyait. Mauvaise nouvelle : ce constat tend à montrer que la situation actuelle est sans doute plus critique qu'on ne le pensait…

Une équipe franco-canadienne vient ainsi de montrer qu'entre 1962 et 2006, la contribution de la fonte des glaciers de l'Alaska à la hausse du niveau de la mer n'a pas été de 0,17 millimètre par an, comme présenté dans une précédente étude, mais de seulement 0,12 mm. Ces nouvelles mesures publiées dans le dernier numéro de Nature Geoscience ont été rendues possibles grâce à de récentes images satellitaires. «Les anciens relevés ne couvraient que 20 à 25 % de la surface totale des glaciers de l'Alaska. Avec les données satellites, on arrive à 75 %», explique l'un des coauteurs, Étienne Berthier, chercheur CNRS au Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales (Legos).

Hausse du niveau des océans

Mais il y a un revers à la médaille. «D'autres mesures montrent que l'on serait passé ces dernières années à 0,25 mm, voire 0,30 mm par an, ce qui témoigne d'une forte accélération des pertes de glace puisqu'il faut comparer avec la moyenne annuelle de 0,12 mm, sur la période 1962-2006, et non plus 0,17 mm», poursuit-il. L'idéal consisterait désormais à multiplier ce type de mesures pour les autres glaciers, notamment ceux situés au nord du Canada ou, bien sûr, dans l'Himalaya. «Dans cette chaîne de montagne, les glaciers recouvrent une surface de 60 000 km2 carrés, et l'on dispose de trop peu d'informations», souligne M. Berthier.

Ce constat amène aussi à s'interroger sur les raisons de la hausse du niveau des océans. «On sait mesurer cette élévation depuis cinquante ans. En revanche, on a plus de difficultés à répartir les causes : dilatation due au réchauffement de l'eau, fonte des calottes polaires ou fonte des glaciers de montagne», poursuit le chercheur.

Au total, les glaciers de montagne couvrent 500 000 à 600 000 km 2 . C'est peu au regard des calottes du Groënland ou de l'Antarctique (près de 14 millions de km2) . Pour autant, selon le CNRS, les glaciers «jouent un rôle majeur dans la hausse récente du niveau marin, du fait de leur fonte rapide, en réponse au réchauffement climatique global.»



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dimanche 24 janvier 2010

F,P,D Univers. Benedicto XVI: las nuevas tecnologías, recurso para la fe





"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. ¿Reparar el pasado o construir el futuro?

BERTRAND DE LA GRANGE 23/01/2010


Francia y Estados Unidos son responsables de las desgracias actuales de Haití, van repitiendo algunos intelectuales y ONG que suelen culpar al hombre blanco de los males de la humanidad. Y, por tanto, esos dos países están en la obligación de "reparar" el daño que hicieron a partir del siglo XVII, cuando los franceses poblaron aquel territorio con esclavos traídos de África para cultivar grandes extensiones de caña de azúcar, el oro blanco de la época.


Las razones del fracaso de Haití hay que buscarlas en sus propias élites

Cuando los haitianos, después de cruentos combates contra las tropas napoleónicas, conquistaron su libertad y formaron su propio Gobierno, en 1804, EE UU y Francia se aliaron para hacerles la vida imposible. El primero tardó 60 años en aceptar oficialmente la existencia del nuevo Estado, porque veía en esa república negra un mal ejemplo para sus propios esclavos. Y Francia, frustrada por su derrota a manos de un ejército de desharrapados, exigió enormes reparaciones económicas por la pérdida de la más productiva de sus colonias.

A cambio de reconocer la independencia de Haití, la Corona francesa negoció una indemnización de 150 millones de francos. Era una suma colosal en esa época -unos 15.000 millones de euros de hoy-, pero el joven Estado echó mano de sus exportaciones de azúcar y café para pagar su deuda hasta el último céntimo.

No cabe la menor duda de que esas "reparaciones" lastraron la economía de Haití, que no pudo dedicar esos recursos a su propio desarrollo. Han pasado, sin embargo, más de dos siglos desde la proclamación de la independencia y no se puede seguir sosteniendo que la miseria en la que vive la inmensa mayoría de la población se debe a esa injusticia histórica. Las antiguas colonias españolas y portuguesas pasaron por un proceso similar, con el traslado de toneladas de oro y plata de América a las metrópolis, sin que eso sirva de argumento válido para explicar su situación actual.

Más allá de la historia, las razones del fracaso de Haití hay que buscarlas en el factor humano y, especialmente, en sus propias élites, que se dividen entre una clase política cleptocrática y un exilio confortablemente instalado en Estados Unidos, Francia y Canadá, donde vive la mayoría de los licenciados universitarios en todos los campos. Los dirigentes haitianos son los primeros culpables de la inestabilidad política que ha imperado desde la independencia. Todos los políticos quieren ser presidentes de la República y todos quieren enriquecerse a costa del Estado, como lo prueban los índices de corrupción publicados por varios organismos internacionales.

Con o sin Plan Marshall, Haití sólo saldrá del subdesarrollo y de la miseria si sus élites abandonan el discurso victimista sobre el pasado y sacrifican parte de sus privilegios para dedicarse a construir un Estado que nunca ha existido.

Bertrand de la Grange es periodista y escritor.



"Ideas del hombre y más .......".

vendredi 22 janvier 2010


F,P,D Univers. Viernes!!






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F,P,D Univers. Banca.




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. Loco amor por Josefina Bonaparte
Beatrice Rochebouët
15/01/2010 | Actualizado: 10:30 AM |
De cincuenta cartas pasar de la emperatriz se venderá en Fontainebleau, 27 de marzo próximo.

L'amour fou de Bonaparte pour Joséphine
Béatrice de Rochebouët
15/01/2010 | Mise à jour : 10:30 | Ajouter à ma sélection
Une cinquantaine de lettres émouvantes de l'impératrice seront vendues à Fontainebleau, le 27 mars prochain.

Le 5 thermidor de l'an V, Joséphine prend sa plume : «mon mari ne m'aime pas, il m'adore, je crois qu'il deviendra fou. Il est impossible d'être plus heureuse que je ne le suis de ce côté…» écrit-elle à sa « bonne petite », Thérésa Cabarrus, l'épouse de Jean-Lambert Tallien qui participa au coup d'État mettant fin à la Terreur.

Nous sommes le 23 juillet 1796. Joséphine, 33 ans, qui vient d'épouser, le 9 mars, Napoléon Bonaparte, 27 ans, daigne enfin quitter sa joyeuse vie parisienne pour le rejoindre en Italie. «J'ai fait le voyage le plus pénible qu'il soit possible de faire, j'ai été dix-huit jours en route, j'ai eu la fièvre en montant en voiture… poursuit-elle . Je n'ai vu Bonaparte qu'un moment, il est très occupé au siège de Mantoue… Je m'ennuie ici à la mort au milieu de fêtes superbes que l'on me donne.»

Estimées de 15 000 à 20 000 €, ces quelques lignes à l'encre font partie d'une émouvante correspondance de 50 lettres écrites par Joséphine et réunies pendant près de quarante ans par un collectionneur français. Elles sont vendues, avec près de 400 documents concernant l'impératrice et la Malmaison ou touchant à l'histoire de la Révolution et du premier Empire, le 27 mars prochain, à Fontainebleau, sous le marteau de Me Jean-Pierre Osenat.

Une relation complexe et passionnée

«C'est la plus grande collection connue sur le sujet et la première fois qu'un tel ensemble se trouve sur le marché. Certaines de ces lettres ont déjà donné lieu à des publications internationales », explique l'expert Alain Nicolas.

Année après année, on suit la relation complexe et passionnée de ces deux grandes figures de l'histoire. De la flamme des débuts du mariage aux déchirements de l'après-divorce qui se transforment à la fin en une amitié respectueuse et apaisée. Mois après mois, on vit les aléas de leur amour : «ce sont tous les jours des scènes de la part de Bonaparte», avoue Joséphine à Mme de Krény, en juillet 1800. Le couple est en proie aux tourments : «Que les trônes rendent malheureux… J'en signerais demain sans aucune peine l'abandon pour moi et pour tous les miens. Le cœur de l'empereur est tout pour moi, si je dois le perdre, j'ai peu de regret à tout le reste », confie l'impératrice, en février 1808, à son fils Eugène de Beauharnais. Et plus loin d'ajouter dans un dernier cri : « Bonaparte, tu m'as promis de ne pas m'abandonner… Je n'ai que toi dans le monde, tu es mon seul ami…»


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F,P,D Univers. Frida Kahlo pintó su vida
Véronique Prat
15/01/2010 | Actualizado: 18:19 |

De los 143 cuadros que componen la obra de Frida Kahlo, dos tercios son autorretratos. Es bien sufriendo martirio (arriba), "La columna rota" (1944) o india tehuana, vestidos con largas faldas y chales con flecos, bajo la pesada corona de su cabello ( "Autorretrato con mono y Parrot, 1942). Fotografías: (AKG)
Su existencia fue una tortura física, sino que ha transformado su martirio en el desarrollo de una obra singular. Retrato de un artista que ha construido su leyenda después de tela de lona.

Frida Kahlo peint sa vie
Véronique Prat
15/01/2010 | Mise à jour : 18:19 |

Des 143 toiles qui composent l’oeuvre de Frida Kahlo, deux tiers sont des autoportraits. Elle se représente soit en martyre de la souffrance (ci-dessus), «La Colonne brisée» (1944), soit en Indienne tehuana vêtue de longs jupons et de châles frangés, sous la lourde couronne de ses nattes («Autoportrait avec singe et perroquet », 1942). Crédits photo : (AKG)
Son existence fut une torture physique, mais elle a su métamorphoser son martyre en élaborant une œuvre singulière. Portrait d'une artiste qui a construit sa légende toile après toile.

On pensait tout savoir sur Frida Kahlo, tant sa vie et son art ont inspiré de livres, d'expositions, de films. Ses toiles atteignent des prix exorbitants. Sa vie de femme blessée, brisée, mutilée a fait d'elle une icône de la souffrance sauvée par l'art. Dans les années 80, on assistait à une véritable « fridamania » : Madonna a collectionné ses œuvres, le couturier Jean-Paul Gaultier lui a consacré une collection, tout entière inspirée par le style « princesse inca » de Frida, on a donné son nom à des poupées et à une marque de tequila. Après la Vierge de Guadalupe, elle est l'image la plus vendue au Mexique. En 2007, pourtant, année des cinquante ans de la mort de Diego Rivera, avec lequel elle a formé un couple légendaire, et des cent ans de la naissance de Frida, ce fut la surprise : une trentaine de malles contenant des dessins, des lettres, des objets personnels du couple Rivera-Kahlo, restées pendant plus d'un demi-siècle à l'ombre et au secret, étaient découvertes. Il y avait là plus de 22 000 documents. Une étrange histoire.

Un an après la mort de Frida (1954), Diego Rivera retrouve Dolores Olmedo, une amie-amante qu'il avait connue en 1928 à Mexico alors qu'il peignait des fresques au ministère de l'Education. Il l'avait ensuite perdue de vue. Ils se retrouvent en 1955. Dolores sera la confidente de Diego jusqu'à sa mort en 1957. Elle sera aussi pour lui un mécène généreux : il lui demande d'acheter ses œuvres proposées sur le marché pour constituer un musée Rivera. Elle en réunira plus d'une centaine. Et quand Diego apprend que la famille de l'ingénieur Eduardo Morillo Safa, le plus grand collectionneur d'œuvres de Frida, vend 25 toiles parmi ses plus belles, il demande à Dolores de les racheter. Depuis cette date, les toiles restèrent dans sa famille. La collection Olmedo devint ainsi un détour indispensable pour la connaissance des œuvres de Frida Kahlo et de Diego Rivera. D'autant plus qu'avant de mourir, Diego légua à Dolores la trentaine de caisses qui abritait les documents personnels des deux artistes : une foule de photographies, dont certaines signées Brassaï et Man Ray, de croquis, de livres annotés, de souvenirs intimes. Rivera avait demandé que les caisses ne soient pas ouvertes avant 1972 (quinze ans après sa mort), mais Dolores Olmedo les garda secrètes jusqu'à sa propre mort, en 2002. Ce fut ensuite au tour des archivistes d'étudier ces milliers d'objets émouvants. Révélés au public en 2007, sans toutefois quitter Mexico, ils seront pour une part présentés à l'exposition de Bruxelles, aux côtés des merveilleuses toiles de Frida de la collection Olmedo.

Elle ne s'intéresse pas plus au surréalisme qu'à l'abstraction

Toute la vie de Frida resurgit soudain. Douloureuse et passionnée, cette vie avait tout pour faire d'elle un mythe à la Van Gogh, à la Modigliani, à la Camille Claudel, à la manière de tous ces artistes au destin tragique. Elle est née au Mexique, le 6 juillet 1907. Pourtant, elle prétendra avoir vu le jour en 1910, l'année de la révolution nationale, celle où Emiliano Zapata, depuis le sud du pays, lance sa grande insurrection. A 6 ans, elle attrape la poliomyélite : sa jambe droite restera atrophiée. Pour ne plus entendre ses camarades de classe lui lancer au visage l'horrible surnom qu'elles ont inventé, « Frida jambe de bois », elle s'habille en garçon ou porte de hautes chaussettes de laine épaisse, malgré la chaleur. Son destin bascule un soir de septembre 1925 : elle rentre chez elle en bus quand, dans Mexico, le tramway de Xochimilco arrive sur les rails que le bus allait franchir. Le tram ne va pas bien vite, le bus a peut-être le temps de passer. Peut-être pas. Le tram vient heurter le bus en son centre, le projetant contre un mur. Frida a le corps transpercé par l'accoudoir métallique de la banquette, sa colonne vertébrale est brisée. «J'ai été déflorée par un autocar», dira-t-elle plus tard avec ironie. Suivront trente-deux opérations chirurgicales, trois interruptions de grossesse, et une amputation de la jambe. Désormais sa vie se déroulera dans les caillots de sang et l'odeur du chloroforme, les bandages, les aiguilles et les scalpels, comme autant de banderilles.

Elle a le corps sanglé dans des corsets de plâtre, tiges métalliques et autres instruments de torture qui la laisseront, pour finir, totalement invalide dans un fauteuil roulant. Après l'accident, sa mère lui installe un lit à baldaquin avec, en guise de plafond, un miroir pour rompre l'univers clos de cette chambre de malade. Frida est seule avec elle-même, avec son image, avec ses angoisses. Mais c'est l'acte fondateur de toute sa trajectoire : elle va s'évader par la peinture. Avec un petit chevalet qu'elle peut caler sur ses genoux, des pinceaux et des couleurs, elle va se prendre pour modèle. A l'exemple de Rembrandt et de Van Gogh, elle racontera sa vie à travers ses autoportraits. Les états de passion, de souffrance, et finalement de renoncement, sont aussi émouvants chez la Mexicaine que chez les deux grands Hollandais. Peindre ne sera jamais pour Frida Kahlo une recherche d'évolution stylistique ou une question d'adhésion à l'avant-garde : elle ne s'intéresse pas plus au surréalisme qu'à l'abstraction. Sa peinture est essentiellement autobiographique : une composition simple, qui place sans hésiter la figure au centre, une touche régulière, une lumière égale. Il y a là une volonté d'évidence et de simplicité qui rappelle l'imagerie religieuse.

Dès qu'elle peut se lever, avec une soif de vivre à la mesure de ses longs mois d'immobilité, Frida fréquente le milieu artistique. Elle va y rencontrer Diego Rivera, le plus célèbre des peintres muralistes mexicains, un géant de 2 mètres et de 120 kilos, surnommé « le Picasso du Nouveau Monde ». Il est d'une fascinante laideur, elle est d'une étrange beauté. Il est célèbre, elle débute. Il a 43 ans, elle en a 22. Ils vont se marier en 1929. Drôle de couple : elle l'adorait, il la trompait, il s'excusait, elle se vengeait. Ils divorcèrent, ils se remarièrent. Ils étaient inséparables. Ils s'aimaient.

Ensemble, ils s'installent dans la maison d'enfance de Frida, la Casa Azul. Pendant deux ans, ils vont y accueillir Trotski, en exil. En 1938, ils reçoivent André Breton, envoyé par le Quai d'Orsay pour une tournée de conférences au Mexique. Le pape du surréalisme est ébloui par l'œuvre de Frida, qu'il invite à venir exposer à Paris. Elle n'y sera pas heureuse, mais l'exposition sera un vrai succès d'estime : elle fait la connaissance de Paul Eluard et de Max Ernst, Kandinsky se dit «touché aux larmes» par son œuvre, Yves Tanguy et Joan Miró sont enthousiastes, Picasso, en signe d'amitié, lui offre une paire de boucles d'oreilles en ivoire. Frida refuse pourtant d'adhérer au groupe surréaliste et de suivre les diktats d'André Breton : «Je n'ai jamais peint mes rêves, dit-elle, j'ai peint ma réalité.»

Il y a les jours heureux et les nuits noires où elle souffre «comme une bête»

En 1939, Frida et Diego divorcent, pour se remarier l'année suivante : séparations, trahisons réciproques, orages, rien ne parviendra à les arracher l'un à l'autre pendant vingt-neuf ans de tempête. Il y a les jours heureux, où Frida surmonte la douleur, et puis les nuits interminables, où elle souffre « comme une bête ». Durant toutes ces années, tantôt elle se peint en déesse inca, les cheveux nattés, ornés de fleurs et de rubans, le regard flamboyant, tantôt elle raconte presque naïvement, à la manière d'un ex-voto, les blessures de son corps brisé. Elle boit beaucoup, de plus en plus, du cognac, deux litres par jour : on retrouve les bouteilles vides au pied de son lit. Elle mélange l'alcool à ses médicaments, puis à la morphine. Son médecin lui en a prescrit pour soulager ses douleurs, mais elle double, triple les doses. Elle peint moins, elle a le geste moins sûr, mais elle poursuit son journal, où elle parle d'art, d'amour, de politique, de sexualité, de la vie. Plus d'un demi-siècle après sa mort, le charme envoûtant de son œuvre, qui est aussi celui de son poignant journal, opère toujours. Un charme bien cerné par André Breton, qui comparait l'œuvre de Frida à «un ruban noué autour d'une bombe».

Palais des beaux-arts, 23, rue Ravenstein, 1000 Bruxelles, jusqu’au 18 avril 2010.



"Ideas del hombre y más .......".

jeudi 21 janvier 2010

F,P,D Univers. Estatua de san Josemaría Escriva en la Basílica de San Pedro, Roma




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. Benedicto XVI bendice la estatua de una santa española



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F,P,D Univers. Papa: Pasos adelante hacia la unidad de los cristianos




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F,P,D Univers. JJJJJJJJJJAAAAAAAAAAAAAAAJJJJJJJJJJJJJJAAAAAAAAAAAAAAAAJJJJJJJJJJJJJJJAAAAAAAAAAAAAAAAAAAJJJJJJJJJJJJJJJJJJJAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAJJJJJJJJJJJJJJJJJJJAAAAAAAAAAAAAAAAAJJJJJJJJJJJJJJJJJ


"Ideas del hombre y más .......".

F,P,D Univers. Terremotos.




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F,P,D Univers.A la venta un autorretrato de Lucian Freud, con ojo amoratado
El pintor realizó la obra hace 30 años tras una reyerta con un taxista.- Sotheby's lo subastará con un precio incial de unos tres millones de euros

CAMILO SÁNCHEZ - Madrid - 20/01/2010

El pintor británico de origen alemán Lucian Freud, (Berlín, 1922) ha reconocido en alguna ocasión que durante su juventud tuvo que enzarzarse más de una vez en alguna reyerta. "No es que me gustase, pero es que la gente me decía cosas para las que la única respuesta posible me parecía que eran los golpes", ha dicho el considerado por muchos maestro del retrato. La casa Sotheby's subastará el 10 de febrero en Londres un autorretrato que el artista pintó hace 30 años, tras llegar a las manos con un taxista en uno de esos días alocados en los que frecuentaba a su amigo, el también pintor, Francis Bacon.


Recortado como por el zoom de una cámara, el autorretrato muestra el rostro del artista únicamente desde los labios hasta la punta de su desordenado pelo. Con especial énfasis en la mirada iracunda y el ojo amoratado de Freud. Sotheby's valora la obra entre 3 y4 millones de euros. El cuadro ha sido comparado por la casa de subastas con Autorretrato con oreja vendada con pipa de Van Gogh o con el Autorretrato con herida en el ojo de Francis Bacon. Para los expertos en arte de Sothebey's, el cuadro es bastante inusual "no sólo por las circunstancias en las que el artista la pintó, sino además, porque ha sido desconocida por más de 30 años dentro del mundo del arte".

El propietario del cuadro es un modelo que posaba en los años setenta para Lucian Freud. La historia la recoge el diario británico The Independent : "El actual dueño de la pintura cuenta, que un día mientras esperaba al artista en su estudio, Freud llegó muy enfadado. El artista le dijo al modelo que se marchara porque un taxista lo acababa de golpear y quería trabajar inmediatamenteen un autorretrato". La historia también cuenta que Freud no logró asestarle un solo golpe al taxista.

Dos versiones de ese cuadro aparecen en el fondo de uno de los cuadros más conocidos de Freud, el titulado Two Irishmen in W11, que muestran a un irlandés, dueño de una casa de apuestas y a su hijo. El precio de las obras del pintor, afincado en el Reino Unido desde 1933, ha ido en ascenso, a pesar de la crisis económica. De los 19,000 euros que costaba una pintura suya en los años 70, en 2008 el millonario ruso Roman Abramovich pagó, supuestamente, 19,45 millones de euros por la obra Benefits Supervisor Sleeping.


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mercredi 20 janvier 2010

F,P,D Univers. Diálogo irrevocable con los judíos




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F,P,D Univers. Oriente Medio: diálogo y ejemplo




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. Exponen en Roma el último cuadro de Leonardo da Vinci




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mardi 19 janvier 2010

F,P,D Univers. Ecumenismo



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lundi 18 janvier 2010


F,P,D Univers. Frío.




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dimanche 17 janvier 2010

F,P,D Univers. El Papa defiende a Pío XII en la sinagoga de Roma
La comunidad judía dice que todavía duele el silencio de Pacelli y exige de nuevo la apertura de los archivos vaticanos

MIGUEL MORA - Roma - 17/01/2010


La comunidad judía italiana ha acogido esta tarde al Papa Benedicto XVI con cálidos aplausos en su primera e histórica visita a la Sinagoga de Roma, casi 24 años después de la que realizó Juan Pablo II en 1986. El encuentro ha reflejado que la voluntad de paz, concordia y diálogo por ambas partes ha sustituido a dos mil años de humillaciones católicas contra el Pueblo de la Alianza. Pero también ha enseñado que restan importantes diferencias y heridas abiertas.


El acto, abierto con un minuto de silencio por las víctimas del terremoto de Haití, ha sido intenso y conmovedor, sobre todo por la presencia en el auditorio de un grupo de supervivientes de la Shoah. Cuando el presidente de la comunidad judía de Roma, Riccardo Pacifici, les ha citado en su discurso, Benedicto XVI se ha puesto en pie, y les ha aplaudido y saludado desde el altar en señal de respeto.

En una jornada de gestos, quizá el más importante ha sucedido al inicio de la visita, cuando el Papa se convertía en el primer pontífice que colocaba una corona de flores en la lápida que honra la memoria de los 1.021 deportados romanos a la Alemania nazi, de los cuales solo volvieron vivos 17.

Ante un templo mayor engalanado, las palabras del Papa alemán han sido interrumpidas varias veces con aplausos. La primera ha sido cuando ha condenado el Holocausto y ha recordado que en los últimos años la Iglesia ha pedido perdón a los judíos por las "plagas del antisemitismo", afirmando: "Ojalá que esas plagas se curen para siempre".

Luego, glosando lo dicho durante su visita a Auschwitz en 2006, Ratzinger ha calificado la Shoah como la "horrenda cumbre de un camino de odio", y la ha achacado a "una ideología que idolatraba al hombre y la raza para tratar de aniquilar a Dios".

Hablando en tono mesurado, con su frialdad habitual, Ratzinger ha trasladado su estima y afecto a la comunidad "hermana". Pero el asunto más polémico en curso, la beatificación de Pío XII, no parece haber satisfecho a los judíos. Ratzigner ha evitado a toda costa corregir su visión apologética del Papa al que hace dos semanas nombró venerable. Al citar la deportación de miles de romanos desde el cercano gueto romano hasta la Alemania nazi, ha recordado que "algunos fueron indiferentes", pero que hubo otros "valientes católicos" que contribuyeron a dar refugio a los perseguidos. Y ha concluido: "La sede apostólica también dio su ayuda, a menudo de forma escondida y discreta".

Riccardo Pacifici, presidente de la comunidad hebrea de Roma, ha admitido que muchos religiosos "se jugaron la vida" ayudando a los judíos "sin pedir nada a cambio", aunque ha subrayado que el silencio del Papa Eugenio Pacelli "todavía duele". "Fue un error. Quizá no habría salvado a mucha gente de los trenes de la muerte, pero habría dado una señal fuerte de esperanza a otros miles de personas", ha dicho Pacifici. El líder hebreo ha recordado al Papa que debe abrir los archivos del Vaticano a los historiadores para poder llegar a un juicio histórico compartido y ponderado.

El rabino jefe de Roma, Riccardo di Segni, ha esbozado la milenaria historia de opresión por parte de los Estados pontificios contra la comunidad judía más antigua de Occidente y ha elogiado al Papa Juan XXIII y el Concilio Vaticano II, que en 1965 abrió el camino del perdón y la reconciliación. "Si se pone en duda el Concilio, no habrá posibilidad de diálogo", ha manifestado el rabino. "El Concilio es un punto de referencia que abrió una nueva etapa de diálogo y dio un impulso irrevocable a la amistad con la comunidad judía", ha respondido después Ratzinger.

Segni ha defendido además la visita del obispo de Roma, que había sido criticada por algunos sectores judíos. A su juicio, el histórico encuentro con Wojtila logró que el Vaticano reconociera por fin el Estado de Israel poco después. Sobre ese tema, el Papa ha pasado de puntillas, y se ha limitado a pedir la paz para Tierra Santa.



"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. El Papa: los menores inmigrantes van tutelados por ley




"Ideas del hombre y más .......".

vendredi 15 janvier 2010

F,P,D Univers.Terremoto de Haití, el Papa pide a todos generosidad




"Ideas del hombre y más .......".

F,P,D Univers. Que diferencia ??




"Ideas del hombre y más .......".

mercredi 13 janvier 2010

F,P,D Univers. Euros




"Ideas del hombre y más .......".

mardi 12 janvier 2010

F,P,D Univers. La negación de Dios desfigura al hombre y devasta la creación




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. Laicidad no es refutar el rol social de la religión





"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. El estado del mundo, según Benedicto XVI





"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers.REPORTAJE El misterio del pasadizo del faraón
Zahi Hawass, jefe de los arqueólogos egipcios, explora el misterioso túnel que parte de la tumba de Seti I en el Valle de los Reyes y cuyo final se desconoce

JACINTO ANTÓN - Barcelona - 14/06/2009


Si hay una aventura arqueológica similar a las de Indiana Jones, esa es la exploración del misterioso pasadizo subterráneo que parte de la tumba del faraón Seti I en el Valle de los Reyes (Luxor): es un túnel profundo, peligroso y claustrofóbico; se ignora aún qué hay al final, el que lo excava es un arqueólogo muy popular que luce sombrero y en un tramo muy en pendiente se han instalado ¡vagonetas! como las del Templo Maldito.


El director del consejo superior de antigüedades de Egipto, Zahi Hawass (quién si no), investiga actualmente el pasadizo de 3.300 años, obstinado en arrebatarle su secreto. Descubierto en 1817 por Belzoni cuando halló la tumba de Seti I (KV 17), la mayor y más espectacular del valle, de momento se han recorrido 155 metros de túnel (la tumba mide 94), parte de ellos en un abrupto ángulo de descenso que pone los pelos de punta.

Cuando Belzoni exploró el inmenso sepulcro de Seti I encontró al final del mismo, en la bella cámara funeraria abovedada, un pozo cuadrado o cripta que daba a un pasillo descendente -el pasadizo-, cavado en la roca (hoy una barrera de madera protege la entrada, pero puede verse el principio del túnel, tras una reja metálica). Belzoni avanzó con enormes dificultades en la galería subterránea (conocida en la actualidad como Galería Belzoni o Galería K), tratando de liberarla de los densos escombros que la cegaban. Cavó hasta los 90 metros, encontró montones de excrementos de murciélago y parte del techo desmoronado que bloqueaba el paso, y se dio por vencido considerando la exploración imposible. El pionero de la egiptología opinaba que el túnel servía para acceder a la tumba por otra entrada, desconocida.

John Gardner Wilkinson, en 1843, y el mismísimo Howard Carter, en 1903, trataron de esclarecer el enigma del túnel, sin éxito. En 1960 consiguió permiso oficial para excavarlo el jeque Alí Abd el Rassul, descendiente del más famoso clan de saqueadores de tumbas de Luxor. Empleó a 40 parientes (que es todo un número cuando vienes de familia de ladrones). Llegó a 136,21 metros, retirando piedras con grandes esfuerzos y apuntalando con vigas el inestable túnel, pero también tuvo que darse por vencido cuando sus trabajadores casi se asfixian. Su excavación parece haber dañado la estructura de la tumba y algunos creen que continuarla podría provocar su hundimiento. Kent Weeks, que excava en KV 5, la gran tumba de Ramsés II y sus hijos, investigó el pasadizo y dice que fue "la operación más peligrosa que nunca he acometido". Cuando le cayó por detrás un enorme bloque del techo que le cerró un rato la salida, Weeks decidió dejarlo estar. No obstante, concluyó que el túnel fue bien planeado y que forma parte integral de la tumba, cuya línea axial sigue.

Las teorías sobre el misterioso pasadizo son numerosas. Algunos estudiosos, como Weeks, creen que es un conducto que conduce directo hacia el agua de la capa freática para conectar simbólicamente la cámara funeraria de Seti I con el océano primigenio de Nun en las profundidades de la tierra; llevaría entonces a una cámara que se rellenaría del agua representando el mito de la creación y el renacimiento del faraón. Otros opinan que conduce a una cámara secreta, acaso el sitio donde se guarda el tesoro del faraón o su verdadero enterramiento, pues hasta el momento no se han encontrado objetos del ajuar funerario, a excepción del bellísimo sarcófago (y también el cuerpo del rey, descubierto en excelente estado -para ser una momia- en el escondite de Deir el Bahari en 1881). Viejas leyendas del valle sugieren que el túnel atraviesa las montañas y va salir junto al templo de Hatshepsut o mucho más allá, conectando con algún monumento al otro lado del río, quizá el templo de Karnak. Durante años se ha sostenido que quien cave el túnel se hará inmensamente rico.

En 2007, tras rondarle la idea mucho tiempo, entra en escena Hawass, al que, según dice, el propio jeque Alí le pasó el testigo de la exploración del túnel. El arqueólogo, con un equipo egipcio que incluye ingenieros, empezó por volver a limpiar el pasadizo construyendo mientras avanzaba una estructura de sujeción metálica para aguantar el techo y evitar los peligrosos y continuos desprendimientos. De momento ha afianzado y restaurado 90 metros e instalado un sistema de vagonetas en raíles para extraer los escombros. Durante los trabajos, descubrió que el jeque Alí y su grupo ¡habían errado el rumbo y abierto esforzadamente un nuevo túnel por encima del verdadero!

Hawass ha encontrado en el pasadizo, que ahora presenta un aspecto digno de una mina del Far West, objetos que cree pertenecen a Seti I: figuritas funerarias, cerámica e incluso algún fragmento que presenta el cartucho con el nombre del faraón. Es posible que esos objetos acabaran en el túnel tras alguna inundación en la tumba que los arrastró. Deportivamente, el arqueólogo -tan amante de los interruptus: nos tiene esperando desde hace años en el umbral del misterioso conducto de la Gran Pirámide y en ascuas en lo de la búsqueda de la tumba de Cleopatra- dice que hay que esperar a ver adónde lleva el túnel, pero deja abiertas todas las opciones. No sin dramatismo: en un fantasmagórico vídeo filmado en el interior del pasadizo (http://www.youtube.com/watch?v=h6ZStXSG9tw) habla de "las raíces de las cuevas de Osiris-Sokar" con un tono digno de The mummy returns que pone los pelos de punta. E incluso remite a un relieve en la pared de la tumba en el que figura lo que parece una representación del propio túnel que excava; ahí al final no hay tesoro ni cámara secreta algunos, sino una serie de amenazadoras serpientes gigantes, aguardando a los intrusos. ¡Qué miedo, Indy!




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