mercredi 30 septembre 2009

F,P,D Univers. Una tierra con sólidas raíces




"Ideas del hombre y más .......".

mardi 29 septembre 2009

F,P,D Univers..WOLFGANG AMADEUS MOZART Don Giovanni




"Ideas del hombre y más ......."
F,P,D Univers. Cristo Salva de los mals del espítitu.



"Caridad y educación compromiso de la iglesia."



"Europa casa espiritual de libertad."



"Necesitamos creyentes creibles y honestos"



"Es necesaria una formación humana integral"



"Unidade de los cristianos exigencia de los tiempos."







"Ideas del hombre y más .......".

lundi 28 septembre 2009

F,P,D Univers. "This is it"




"Ideas del hombre y más .......".

F,P,D Univers. El Bono


"Ideas del hombre y más .......".

dimanche 27 septembre 2009


F,P,D Univers.Les sept défis de Benoît XVI
De notre envoyé spécial à Rome, Jean-Marie Guénois
26/09/2009 | Mise à jour : 00:28 |

Benoît XVI célèbre la Pentecôte, le 31 mai 2009, dans la basilique Saint-Pierre. Crédits photo : Maria G. Picciarella/ROPI-REA
Le Pape veut notamment mener de front le dialogue avec les intégristes, le rapprochement avec les orthodoxes et la réconciliation avec les juifs.

Benoît XVI arrive samedi matin à Prague, ville européenne s'il en est. Il va passer trois jours dans le cœur symbolique du Vieux Continent. Il y évoquera sa vision de l'Europe, vingt ans après la révolution de velours menée par Václav Havel. En République tchèque, le résultat est toutefois âpre pour l'Église catholique. La pratique religieuse - à peine 5 % - est l'une des plus basses d'Europe. Benoît XVI va donc encourager les trois millions de catholiques (31,7 % de la population) à s'avancer en témoins du Christ. Avec tact - le pays traverse une crise politique - il cherchera aussi à débloquer le dossier de la restitution des biens d'Église toujours en suspens.

Mais ce treizième voyage hors d'Italie marque aussi la «rentrée» de Benoît XVI sur la scène mondiale. Après la publication de son encyclique sociale en juillet, ses deux semaines de vacances dans le Val d'Aoste contrariées par une fracture au poignet, il a repris son activité, début août, dans sa résidence d'été de Castel Gondolfo. Contrairement aux idées reçues, ce lieu idyllique dominant le lac d'un ancien volcan situé à 20 km à l'est de Rome n'est pas une résidence de vacances. Le Pape y travaille à un autre rythme et avec moins de visites, mais il est loin d'y être au repos.

De fait, l'année qui s'ouvre, note-t-on au Vatican, ne pourra pas être plus difficile que celle qu'il vient de traverser. Le Pape, plutôt en forme selon ses proches, en sort encore marqué. Comme s'il en portait encore un certain poids moral. Ses amis, ses compatriotes notamment, lui ont confirmé que l'affaire Williamson n'est pas passée dans l'opinion.

Et il reste tant à faire. Sept travaux au moins attendent cet homme de 82 ans qui aura accompli cinq années de pontificat en avril prochain.

Handicapé une partie de l'été pour jouer du piano, son loisir favori, le Pape a toutefois pu écrire même s'il a été ralenti. Il a mis une dernière main au second tome de son Jésus de Nazareth, qui doit paraître au printemps 2010. Cette fois, c'est la délicate question de la Résurrection qui devrait être abordée. Une question théologique très disputée. Ce premier travail est actuellement - et sub secreto - dans les mains d'experts à qui le Pape a demandé, plus encore que pour le premier tome, un avis et une relecture critique. La rédaction finale pourrait être achevée à la fin de l'automne de façon à lancer les multiples traductions et l'édition du livre.

Rétablir l'unité de l'Église

Beaucoup plus complexes, en revanche, s'annoncent les discussions théologiques avec les disciples de Mgr Lefebvre. Dans un mois, les deux délégations, l'une venue d'Ecône en Suisse, l'autre romaine, vont s'asseoir autour d'une table et parler théologie. Cette étape du rapprochement souhaité par Benoît XVI a été rendue possible par la levée des excommunications en janvier dernier. Elle a quelque chose d'inédit, puisque les dernières discussions sur le fond remontent à 1988. C'était alors le cardinal Ratzinger en personne qui avait rencontré Mgr Marcel Lefebvre à la recherche d'un accord théologique. Cette fois, Benoît XVI a délégué cette mission à quatre hauts responsables. Ils allient l'expertise théologique et l'expérience ecclésiale. Ils savent que cet échange est décisif. Certains commentateurs parlent même d'une «mission impossible», puisque leur rôle consiste à trouver une issue à ce qui est la cause même de la rupture intégriste : le concile Vatican II.

D'autres, même s'ils partagent la volonté de Benoît XVI de rétablir l'unité, s'inquiètent des conséquences que pourrait avoir un échec. Après l'affaire Williamson, qui a objectivement entaché l'autorité du Pape, une rupture avec les lefebvristes donnerait raison à toute une partie de l'Église catholique qui ne comprend toujours pas pourquoi Rome accorde tant d'attention à ce groupe contestataire. En tout état de cause, ce deuxième chantier demandera des mois de confrontation et beaucoup de diplomatie.

Directement liée à l'affaire Williamson, une troisième entreprise, déjà entamée avec le voyage du Pape en Terre sainte en mai dernier, est toujours en développement. Il s'agit de nourrir une solide réconciliation de long terme avec le peuple juif. Et de sortir de l'amalgame qui a pu laisser croire que ce pape allemand, en levant l'excommunication d'un négationniste de la Shoah, aurait été lui-même intellectuellement complice de cette pensée. Dès qu'il en a eu l'occasion, le Pape a répété tout au long du printemps que l'Église n'était pas antisémite. Sa visite à la synagogue de Rome, en novembre prochain, même si elle n'aura pas l'ampleur de la première que fit Jean-Paul II en 1986, ni la force de celle que fit Benoît XVI à la synagogue de Cologne en 2005, sera donc appréciée. Dans le même registre, le report finalement décidé de facto par Benoît XVI de la béatification de Pie XII, va dans le même sens. Si elle se fait, il y a peu de chance désormais pour que cela se passe sous son pontificat alors qu'elle était à l'ordre du jour il y a un an.

En revanche, et voilà une quatrième œuvre, la béatification de Jean-Paul II, elle, s'annonce, «probablement», indique-t-on à Rome, pour l'année 2010. Elle n'est pas encore techniquement votée par les cardinaux compétents en la matière, mais le procès est achevé. L'indispensable miracle est là en la personne d'une jeune religieuse française, il y en aurait même d'autres. Benoît XVI avait accepté que ce dossier soit traité, avant le délai requis de cinq ans après la mort de l'intéressé, comme Jean-Paul II le fit pour Mère Teresa, mais il veut que tout se fasse dans le respect scrupuleux des règles et à l'abri des pressions extérieures. Il serait dès lors étonnant que tout soit prêt pour le cinquième anniversaire de la mort du pape polonais, le 2 avril prochain. En attendant, dans la crypte de la basilique Saint-Pierre, dès l'ouverture et jusqu'au soir, les fidèles de toutes nationalités sont toujours nombreux à venir se recueillir sur la tombe de marbre blanc de Jean-Paul II. Le rayonnement de ce pape semble intact et toujours aussi puissant. En Pologne, et dans beaucoup de pays, la béatification est donc désirée avec beaucoup d'impatience.

Orthodoxes et évêques africains

Ce pape slave aura marqué l'histoire mais aura échoué dans sa volonté de se rapprocher de l'orthodoxie. Il n'aura pas réussi à rencontrer le patriarche de Moscou. Ce que Benoît XVI pourra peut-être vivre. Allemand, il est plus proche culturellement des Russes que ne le sont les Polonais. Tel est son cinquième défi. Le courant passe bien entre lui et le nouveau patriarche de Moscou, Cyrille Ier. D'une certaine manière l'on n'a jamais été aussi proche d'une rencontre. Elle n'est pas en soi prioritaire, car les deux responsables ne veulent pas d'une simple photographie historique mais d'une rendez-vous qui serait le point de départ d'une nouvelle collaboration entre les deux Églises, et surtout la fin de la méfiance. Le vent est donc favorable, mais le terrain reste encombré par la question ukrainienne, où le renouveau de l'Église gréco-catholique ne plaît pas à l'Église orthodoxe russe. De passage à Rome ces derniers jours, le responsable des relations extérieures du patriarcat de Moscou, l'archevêque Hilarion de Volokolamsk, a pu le faire remarquer, même si le bilan de sa visite est jugé très positif.

Après le Nord, c'est le grand Sud qui sera l'ordre du jour, le mois prochain, lors du synode sur l'Afrique que Benoît XVI a convoqué à Rome. Sur 240 invités, deux cents évêques font le voyage du continent noir pour réfléchir pendant trois semaines aux destinées de l'Église catholique africaine. Elle est dynamique, mais tout aussi encombrée par une série de problèmes majeurs. L'attente du Pape n'est pas de trouver une solution à tous les problèmes mais d'impliquer l'Église universelle pour l'Afrique et ne pas laisser tomber ce continent doublement victime de la crise mondiale en cours. C'est la «méthode synodale» qui sera appliquée, basée sur la prise de parole de chaque évêque en vue d'une synthèse commune. À la fois bilan du passé et stratégie d'avenir, le synode permet au moins de mettre tous les problèmes sur la table. Cette méthode synodale sera aussi appliquée, dans un an, pour le Moyen-Orient.

Région du monde pour lequel le Pape a aussi convoqué un synode des évêques avec, en toile de fond, la dramatique hémorragie des chrétiens qui, souvent contraints, abandonnent la «Terre sainte». Ces deux synodes sont le sixième travail de Benoît XVI. Pas le moindre, en tout cas, car ces deux régions sont capitales pour l'avenir du catholicisme.

Dernière et septième épopée : les voyages pontificaux. Après celui de République tchèque, ce week-end, rien n'est encore annoncé officiellement mais on parle de Malte, du Portugal et de l'Angleterre, de l'Allemagne et de la Biélorussie. Trop en tout cas. Il faudra choisir car ce n'est pas la priorité de ce Pape intellectuel. La Chine pour l'heure reste un rêve. Les choses en revanche pourraient bouger du côté du Vietnam où l'Église catholique démontre une vigueur sans précédent vis-à-vis du régime. Un bras de fer dont pourrait parler le chef de l'État vietnamien Nguyên Minh Triet avec Benoît XVI, qu'il doit rencontrer à Rome à la fin de cette année.

Benoît XVI sait qu'il n'est pas un hercule, mais cet homme intérieur, peu soucieux de son image, attache surtout de l'importance au travail de longue haleine moins visible que ces sept travaux : la réforme en douceur de la liturgie catholique et la question de l'identité du prêtre. C'est le sens de «l'année du prêtre» en cours.



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F,P,D Univers. Praga llegada del Papa Benedicto XVI




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers.La Familia Cristiana.




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers.Optimismo italiano
La pasarela de Milán se inunda de nuevas propuestas

RENÉE LOPEZ DE HARO - Milán - 27/09/2009


Se respira optimismo en la Semana de la Moda de Milán. Mientras el G-20 busca soluciones para la crisis económica, los diseñadores ofrecen sus propias recetas para afrontarla en el mundo de la moda. Las fórmulas incluyen faldas por encima de las rodillas, siluetas femeninas, chaquetas entalladas, microshorts, culottes con materiales livianos y semitransparentes (gasas, organzas, tules, muselinas), estampados florales, bordados de cristales o metales y, sobretodo, color, mucho color, con brochazos dorados o plateados.

Miuccia Prada propone un contraste entre nostalgia y modernidad mezclando tejidos clásicos, como la seda, con poliéster en gris tiburón brillante, en bermudas estrechas con bajos cortados y sin rematar, chaquetas sin mangas, y microvestidos y faldas realizados con estampados digitales de fotos playeras de los sesenta, en tonos aguados amarillos, malva y azules. Dolce & Gabbana opta para su línea joven por vaqueros gastados, camisas, vestidos o minifaldas de volantes, que mezclan con chalecos, shorts y botas de flecos en ante color tostado. Jil Sander, de la mano de Raf Simons, juega con los cortes asimétricos y geométricos en chaquetas ajustadas con tules transparentes, en un juego sensual, hipersexy pero sofisticado. Donatella Versace utiliza hilos metálicos dorados para envolver cinturas anchas, adornar los escotes y hombros de cazadoras de cuero, y ribetear corsés o costados en minivestidos estampados turquesas y amarillo, o faldas de plástico verde, negro y amarillo a juego con bodies de flores. Tomas Maier, en su colección de Bottega Veneta, utiliza una paleta de marfil, blanco, amarillo y yema de huevo, además del azul y rojo, para una silueta arquitectónica a base de linos, tules, sedas y algodones, que drapean y envuelven el cuerpo de forma asimétrica pero dejando libertad de movimiento.

Giorgio Armani, tanto para su primera línea como para Emporio Armani, trata de rejuvenecerse con faldas tipo patinadora, la superposición de vestidos túnicas sobre culottes y el uso de estampados geométricos o de flores desenfocada. Abandona sus habituales tonalidades sobrias, como beige y gris, para dar paso a otras más desenfadadas y brillantes. Roberto Cavalli superpone vestidos vaporosos muy sueltos sobre pantalones más estrictos y combina bien con chaquetas masculinas o blusones.

Frida Ganini, de Gucci, apuesta por una línea más agresiva, ajustada y con toques de sadomasquismo para su colección a base de trajes tipo buceador o pantalones de esquí, vestidos ceñidos con cortes asimétricos, cazadoras entalladas, pantalones de cintura alta en negro, gris o blanco, y todo repleto de arandelas y tubos metálicos que aplica también a cinturones anchos y calzado.



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vendredi 25 septembre 2009

F,P,D Univers. Criterios y opiniones........."Estamos muy molestos"
Una grabación emitida por el canal Mega TV muestra a Juanes y Miguel Bosé desesperados por las medidas de control antes de su concierto en La Habana

ELPAÍS.com - Madrid - 24/09/2009


"Lo hemos pasado todo, lo hemos hecho todo, hemos cumplido con todos", el cantante colombiano Juanes se desespera a la entrada del concierto por la paz celebrado el pasado domingo en La Habana. Una grabación difundida por el canal de televisión con sede en Miami Mega TV muesta al músico y a otros participantes en el concierto, Miguel Bosé, Olga Tañón y Yotuel del grupo Orishas, en el vestíbulo del hotel quejándose por sentirse constantemente vigilados por el régimen castrista.


Según informa el periódico hispano con sede en Miami, El Nuevo Herald , Juanes y el resto de artistas estaban furiosos por la presión ejercida por la policía y su negativa a dar acceso a cualquier persona a las zonas preferenciales de la Plaza de la Revolución, donde se celebró el concierto.

"Estamos muy molestos", repite Juanes en la grabación mientras la cantante puertorriqueña Olga Tañón trata de aplacarle. "Si paramos ahora habrán ganado ellos" interviene Yotuel Romero, el cantante de Orishas cuando Bosé y el músico colombiano dicen que quieren abandonar Cuba. En un momento dado los tres músicos se apiñan llorando alrededor de Juanes rodeados de curiosos que graban la escena con sus teléfonos móviles. "Cuando nos vayamos, lo que va a quedar de todo esto, lo que este señor ha hecho, va a ser inmenso", dice Miguel Bosé emocionado refiriéndose a Juanes. El cantante español se queja después de que les están acusando de "cosas que ellos no pueden entender y que han venido a denunciar".




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F,P,D Univers. Hallan signos de agua en la Luna
Los análisis se han realizado a partir de datos tomados por naves espaciales

EL PAÍS - Madrid - 24/09/2009

Datos tomados tomados por instrumentos a bordo de tres naves espaciales indican la posible existencia de hidróxilo (OH), agua (H2O), o de ambas, en la superficie de la Luna. Estos hallazgos obligan a revisar la idea de que el satélite natural de la Tierra está completamente seco. El hallazgo se ha hecho a partir de los datos tomados por las misiones Chandrayaan-1, Deep Impact y Cassini. Estos hallazgos han se publican por tres grupos científicos independientes en tres art-iculos en la revista Science.


Hace ya algunos años hubo indicios no confirmados después de que pudiera haber despósitos de agua helada en las paredes los cráteres de las regiones polares de la Luna que están permanentemente a la sombra.

Los recientes datos sugieren que la formación y retenciíon de las moléculas de hidróxilo y/o agua en un proceso actual en la luna y que el viento solar puede ser el responsable de su formación. Las mayores concentraciones detectadas en las regiones polares puede ser debida a la migración de estas moléculas hacia las regiones frías.

El posible proceso de hidratación de la superficie lunar, propuesto por los investigadores, sería el siguiente: durante el día, cuando la Luna está expuesta al viento solar, los iones de hidrógeno liberan oxígeno de los minerales lunares formando OH y/o agua, que se mantienen débilmente en la superficie; a temperaturas altas se emiten y absorben más moléculas, y cuando la temperatura baja, se acumulan.

Los expertos recuerdan que los análisis de las muestras de suelo lunar que trajeron los astronautas de las misiones Apolo no mostraron señales de agua ni siquiera por al composición de las rocas, más allá de algún indicador que muy posiblemente era debido a contaminación terrestre.



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jeudi 24 septembre 2009


F,P,D Univers. Se viene un cambio de ciclo...




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F,P,D Univers. Hallado el mayor tesoro anglosajón del Reino Unido
Encontrado bajo tierra por un aficionado, consta de 1.500 piezas de oro y plata.- Los expertos creen que data del siglo siete

ELPAÍS.com - Madrid - 24/09/2009


Tan importante como el Libro de Kells (el manuscrito medieval que sirve de base del catolicismo en Irlanda) o los evangelios de Lindisfarne (el paradigma de arte religioso inglés). El tesoro anglosajón hallado bajo tierra en un campo de Staffordshire está llamado a ser, según los expertos citados por la BBC , la nueva joya de la arqueología de las Islas Británicas. Consta de 1.500 piezas de oro y plata que, a falta de análisis definitivos, datarían del siglo siete de nuestra era.


El hallazgo se debe a Terry Herbert, uno de esos aficionados que busca tesoros con un detector de metales. El que ha encontrado en el huerto de un amigo pesa unos cinco kilos. Se trata de objetos militares: pomos y empuñaduras de espada, placas de oro engastadas con piedras preciosas... Hasta ahora, el mayor tesoro anglosajón conocido era el de Sutton Hoo, de 1,5 kilos, encontrado en 1939 cerca de Suffolk. Una comisión de evaluación de tesoros, formada por expertos independientes, deberá valorar el hallazgo, pero el entusiasmo desatado es tal, que las opiniones abundan.

"Esto va a alterar nuestra percepción de la Inglaterra anglosajona tan radicalmente como los descubrimientos de Sutton Hoo", declara a la BBC Leslie Webster, ex responsable del departamento de Prehistoria y Europa del Museo Británico.

El doctor Kevin Leahy, miembro del Portable Antiquities Scheme (programa del Gobierno Británico para los hallazgos arqueológicos) señala: "Todos los arqueólogos que han trabajado [con el tesoro] se han quedado anonadados. La verdad es que ha sido bastante aterrador trabajar con este material; estar en presencia de la grandeza".

El autor del hallazgo, Terry Herbert, lleva 18 años buscando objetos sirviéndose de detectores de metales. Se quedó sin habla al hallar cientos de piezas de oro. "A veces me digo a mí mismo esta frase: 'espíritus de antaño, llevadme donde las monedas aparecen'. Aquel día parece que las monedas se tornaron en oro", señala Herbert. "Esto es lo que sueñan todos los aficionados a la detección de metales, encontrar algo así".

La colección, informa la BBC, está custodiada en la Galería de Arte del Museo de Birmingham, pero una selección de los objetos se exhibirá al público en esa institución hasta el 13 de octubre.


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F,P,D Univers. Amara la Iglesia de Cristo



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F,P,D Univers. Interesante !!

Gotti Tedeschi, nuevo 'banquero de Dios'
El ejecutivo, de 64 años, es el máximo responsable del Banco Santander en Italia.- El relevo busca dar moralidad al banco del Vaticano tras la revelación en un libro de la existencia de cuentas secretas.- El español Manuel Soto, hombre de confianza de Emilio Botín, formará parte de la nueva cúpula

MIGUEL MORA - Roma - 23/09/2009


Ettore Gotti Tedeschi, máximo responsable del Banco de Santander en Italia desde 1992, ha sido nombrado este miércoles presidente del banco del Vaticano IOR (Instituto para las Obras de Religión) por la comisión cardenalicia de vigilancia.


Gotti es un financiero católico lombardo muy próximo al Opus Dei y cercano al secretario de Estado del Vaticano, Tarcisio Bertone. Nacido en Pontenure (Piacenza) hace 64 años, es articulista del Osservatore Romano, el periódico de la Santa Sede, y profesor de Ética de los Negocios en la Universidad Católica de Milán. Además, es consejero del Sanpaolo IMI y de la Caja de Depósitos y Préstamos, institución pública a la que llegó invitado por el ministro de Economía italiano, Giulio Tremonti, de quien es muy amigo.

Con Gotti Tedeschi, en la cúpula del IOR estarán el italiano Giovanni de Censi, presidente del Credito Valtellinese; el estadounidense Carl Anderson, caballero supremo de la orden de los Caballeros de Colón y autor de diversos libros superventas; y el español Manuel Soto Serrano (Madrid, 1940), hombre de máxima confianza de Emilio Botín, vicepresidente cuarto del Santander y ex presidente del Consejo Mundial de Arthur Andersen. El alemán Ronaldo Hermann Schmitz ejercerá como vicepresidente.

Según fuentes vaticanas, Gotti Tedeschi ha participado en la preparación de la encíclica social y económica Caritas in veritate, publicada por el Papa Benedicto XVI en julio pasado, que exige más justicia social y reglas más transparentes para el sistema financiero mundial.

En su libro Denaro e paradiso, la economía global y el mundo católico, escrito a medias con Rino Cammilleri (un periodista y escritor de Comunión y Liberación), Gotti reivindicó "la superioridad de un capitalismo inspirado en la moral cristiana" frente a un capitalismo de estirpe protestante.

Su nombramiento se interpreta en Roma como un golpe de autoridad del Papa Ratzinger y del cardenal Bertone dentro de la guerra interna que vive la Curia desde la muerte de Juan Pablo II, en 2005. Según afirma una fuente vaticana, "la situación de las finanzas de la Santa Sede ha sido un caos absoluto a raíz de la llegada a la Curia de algunos obispos y cardenales latinoamericanos, indios y del Este de Europa, que han cometido un saqueo en toda regla". El problema, añade la fuente, es que "el Vaticano no está jurídicamente preparado para castigar a los obispos que cometen delitos financieros".

Gotti Tedeschi sustituirá en el puesto a Angelo Caloia, hombre próximo al cardenal Angelo Sodano, secretario de Estado vaticano entre 1991 y 2006. Caloia fue nombrado por Juan Pablo II para sustituir al estadounidense Paul Marcinckus tras el escándalo que sacudió a las finanzas blancas en los años setenta y ochenta, cerrado con las muertes de Roberto Calvi, responsable de la quiebra del Banco Ambrosiano, y del banquero mafioso Michele Sindona, ambos inscritos en la logia masónica P2.

Su mandato debía terminar en 2011, pero el colegio cardenalicio buscaba mayor transparencia y profesionalidad en la gestión del banco, dijeron fuentes vaticanas. Caloia será nombrado ahora consejero del Estado de la Ciudad del Vaticano.

Según el vaticanista Gianzarlo Zizola, "el relevo al frente del IOR tiene seguramente algo que ver con la publicación del libro Vaticano SPA", escrito por el periodista de la revista Panorama (Mondadori, parte del imperio mediático de Silvio Berlusconi) Gianluigi Nuzzi a partir de 4.000 documentos secretos del IOR que depositó en Suiza un funcionario del Instituto, monseñor Renato Dardozzi (1922-2003).

Con esos papeles que Dardozzi dejó en herencia a Nuzzi, el libro desvela que durante el escándalo Manos Limpias (1993), el IOR puso en marcha, gracias a monseñor Donato de Bonis, un complejo sistema de cuentas secretas que funcionó como un banco dentro de un banco, es decir, como una lavandería de dinero negro para la mafia, la economía y la política italiana. Los archivos secretos explican que había cuentas ocultas a nombre de mafiosos, banqueros, empresarios y políticos de alto nivel, entre otros de Omissis, palabra en código que escondía al ex primer ministro democristiano Giulio Andreotti.

"Sé que el Vaticano mandó emisarios a la editorial Chiare Lettere para tratar de impedir la edición del libro ofreciendo una cantidad importante de dinero a los editores, pero el libro al final salió y el Vaticano se enfadó mucho con Caloia, que, a su juicio, no hizo lo suficiente por impedirlo", explica el profesor Zizola.

Tras la editorial, añade Zizola, "se encuentran los grupos de presión de los poderes fuertes, y la decisión de editar el libro fue sin duda una forma de apretar al Vaticano para que no interfiera en los asuntos del país. La segunda advertencia fue el ataque de Il Giornale contra Dino Boffo, el director de Avvenire, el diario de la Conferencia Episcopal Italiana".

El nombre de Gotti Tedeschi ha estado asociado en el pasado al de otros dos financieros punteros del mundo católico italiano: Giuseppe Garofano, ex presidente de Montedison, y Gianmario Roveraro, muerto trágicamente en 2006 (fue asesinado tras un secuestro). Ambos eran miembros del Opus Dei. A diferencia de estos, que han estado envueltos en dos de los mayores escándalos financieros italianos (Garofano en Manos Limpias; Roveraro en la quiebra de Parmalat), Gotti Tedeschi ha desarrollado su carrera sin sobresaltos aparentes.

Desde la muerte de Wojtyla, el Opus Dei lucha por no perder poder e influencia en los despachos vaticanos. Fuentes de La Obra en Roma explican que Gotti Tedeschi es supernumerario y ha asistido a cursos en el movimiento creado por José María Escrivá de Balaguer. Pero niegan que su nombramiento sea un triunfo de su corriente: "Creemos que ha influido más su currículum y profesionalidad que su cercanía al Opus".

Criado en la consultora McKinsey, como muchos banqueros italianos, Gotti fundó con Roveraro un banco de inversión llamado Akros Finanziaria, que dejó en 1992 para asumir la guía del Santander Consumer Bank, filial italiana del gigante español. Desde ese puesto, fue uno de los hombres clave en la entrada del Santander en el San Paolo di Torino.

Otro miembro de la Curia próximo al nuevo banquero de Dios es el prefecto de la congregación de los obispos, Giovan Battista Re, que ha escrito el prólogo de algunos de sus libros.


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mercredi 23 septembre 2009

F,P,D Univers. Top 100 Política en la lista.


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F,P,D Univers. ????? Nueva York ordena a Gadafi que detenga la instalación de su jaima
El mandatario pretende acampar en unos terrenos del multimillonario Donald Trump para asistir a la Asamblea General de la ONU

REUTERS - Nueva York - 23/09/2009

El ayuntamiento de Nueva York ha ordenado al líder libio Muamar Gadafi que detenga la instalación de su jaima en la ciudad. El mandatario duerme siempre en su jaima cuando viaja, pero el consistorio considera que la instalación -en jardines propiedad del multimillonario Donald Trump- viola las regulaciones municipales. Gadafi se encuentra en Nueva York para asistir a la Asamblea General de Naciones Unidas.

Gadafi planeaba el mes pasado instalar la tienda de campaña -utilizada tradicionalmente por los pueblos nómadas del norte de África- en Nueva Yersey, en una propiedad de la embajada de Libia. Pero las autoridades le negaron esa posibilidad y Gadafi intentó plantarse en Central Park, algo que tampoco le ha permitido el consistorio.

El multimillonario Donald Trump no ha aclarado la cesión de esos terrenos al líder libio y ha asegurado que la propiedad fue otorgada temporalmente a personas procedentes de Oriente Próximo "que pueden o no pueden tener nada que ver con el señor Gadafi", aunque ha dicho también que está investigando la polémica.


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F,P,D Univers. Un rostro de hace 5.000 años
El menhir hallado en Mollet del Vallès muestra una cara humana

JOSÉ ÁNGEL MONTAÑÉS - Barcelona - 22/09/2009


El menhir aparecido el pasado abril durante la construcción de un aparcamiento en el parque de les Pruneres de Mollet del Vallès pesa seis toneladas y mide casi cinco metros de alto. Por eso, se requirió una grúa para arrancarlo de donde estuvo enterrado más de 5.000 años y un camión para llevarlo al centro de restauración de Bienes Muebles de Sant Cugat.

Tras varios meses de trabajos para eliminar la tierra acumulada en sus paredes, el monumento megalítico luce su mejor cara. Y nunca mejor dicho. En la parte superior de la enorme piedra se puede ver representado un rostro humano con ojos, nariz y cejas en relieve y otros motivos decorativos curvilíneos de difícil interpretación. Sus dimensiones, la situación donde se encontró y la decoración antropomórfica han hecho que los especialistas lo califiquen de excepcional, e incluso Joan Manel Tresserras, consejero de Cultura de la Generalitat, de ser "el hallazgo arqueológico más importante de las últimas décadas de Cataluña".

Josep Bosch, especialista en la época neolítica, explica que la piedra corresponde a ese periodo, por lo que tiene unos 5.000 años de antigüedad. Según el arqueólogo, el menhir fue transportado desde la sierra litoral catalana, a unos dos kilómetros de distancia de donde fue hallada. Para Bosch, las representaciones podrían ser de personajes destacados de la sociedad prehistórica, de héroes o seres divinizados.

Tras su restauración, el menhir volverá a Mollet, según explicó Tresserras. Pero no será para siempre. A pesar de lo complejo que resulta mover la mole, el consejero aseguró que una vez se inaugure el Museo de la Sociedad que su departamento tiene previsto crear, se replanteará su ubicación definitiva.




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mardi 22 septembre 2009


F,P,D Univers. Diana et Giscard : l'Angleterre incrédule
Cyrille Vanlerberghe, correspondant à Londres
21/09/2009 | Mise à jour : 22:35 |

Valéry Giscard d'Estaing et la princesse Diana au début des années 1980, soit au moment où l'idylle aurait eu lieu.
Les spécialistes de la royauté ont réagi lundi avec la plus grande prudence à l'histoire romancée de la «princesse» et du «président», mais les plus grands journaux britanniques enquêtent.

L'annonce de la possible histoire d'amour entre la princesse Diana et l'ancien président de la République française Valéry Giscard d'Estaing a provoqué la surprise totale des Britanniques. Malgré les dizaines de rumeurs qui continuent d'entourer la princesse de Galles et sa disparition tragique, personne n'avait jamais envisagé un rapprochement franco-anglais aussi étroit.

Malgré la barrière de la langue, notre édition de lundi n'a pas manqué de provoquer une certaine agitation au sein des rédactions des grands journaux et des télévisions. Refusant d'être cité sur le fond de l'histoire, l'un des correspondants royaux de la BBC était en revanche très intéressé par toutes les informations qu'il pouvait recueillir. Lundi matin, le Daily Mail fut le premier à réagir, en publiant un long article sur son site Internet. Un peu plus tard et aussi en ligne, le Sun, tabloïd avec le plus fort tirage du pays, qualifiait l'affaire de «sensationnelle !» Les journaux dits «de qualité» ont pour leur part demandé à leurs correspondants à Paris d'enquêter sur l'histoire. Moins célèbre en Angleterre que ses successeurs Chirac ou Sarkozy, Giscard d'Estaing est tout de même connu comme l'auteur du premier texte de la Constitution européenne, un document peu apprécié dans un pays toujours très eurosceptique.

À Londres, les spécialistes de la royauté ont pris les révélations de La Princesse et le Président avec la plus grande prudence, et une bonne dose d'incrédulité. «Cette relation me semble très improbable, estime Ingrid Seward, rédactrice en chef de Majesty Magazine, le seul mensuel de qualité dédié à la famille royale. Je n'ai jamais rien entendu de tel, alors que j'ai suivi Diana depuis très longtemps, avant son mariage avec Charles. Ça paraît complètement fou !» Joint par téléphone, James Whitaker, correspondant royal au Daily Mail pendant des années et expert incontournable de la couronne pour les télévisions britanniques a éclaté de rire en apprenant le sujet du roman, avant de refuser tout commentaire. Après quelques vérifications, Valentine Low, le spécialiste de la royauté au Times a pour sa part mis le doigt sur des problèmes de dates, faisant remarquer que Giscard d'Estaing a quitté l'Élysée quelques mois avant le mariage de Diana Spencer avec Charles. «Cela paraît complètement ridicule, il y a une telle différence d'âge, explique Valentine Low. En 1984, au moment où les premières difficultés apparaissent dans le mariage de Charles et Diana, Giscard d'Estaing a déjà 58 ans !» Diana n'a à l'époque que 23 ans.

Tous les spécialistes s'accordent pour dire que les premières infidélités dans le couple princier ne commencent au plus tôt qu'en 1984, et que de toute façon, les amants connus de Diana étaient tous jeunes, ou à peine plus âgés qu'elle. «Diana n'aimait que les jeunes» assène l'un de ses biographes, «et de toute façon, on ne voit pas ou ça aurait pu se faire. Jusqu'à la séparation en 1992, elle a été très discrète, et après, elle était traquée par les photographes.»

Moins définitif mais tout aussi incrédule, le correspondant royal du Daily Telegraph explique en riant qu'«avec Diana, tout est possible !»

Dans le cœur des Anglais

Même douze ans après sa mort, la princesse de Galles conserve toujours une place très particulière dans le cœur des Anglais. Depuis sa disparition, la famille royale ne passionne plus, et certains journaux comme le Daily Mirror, n'ont même plus de correspondants à Buckingham. Cette semaine, la publication de la biographie autorisée de la reine mère, écrite à partir de sa correspondance privée, a beaucoup déçu les médias britanniques. Sur plus d'un millier de pages, seules une petite trentaine sont consacrées au mariage malheureux de l'héritier de la couronne avec la jeune lady Spencer. Un mariage qui a pourtant provoqué la plus grave crise de la monarchie britannique depuis l'abdication du roi Edward VIII en 1936. Tous les journaux se sont interrogés sur les raisons qui ont poussé la princesse Margaret, sœur de la reine Elizabeth II, à détruire toutes les lettres de sa mère concernant Lady Di. Une correspondance qui détenait peut-être les clés pour comprendre les liens mystérieux entre un président français et une princesse anglaise.


"Ideas del hombre y más .......".

lundi 21 septembre 2009


F,P,D Univers.?????


Cuando Londres se viste de cuero

ITZIAR BILBAO URRUTIA - 19/09/2009

El Fetish Weekend, del 1 al 4 de octubre, amplía en la capital británica los horizontes del erotismo

Antes de que el lector de El Viajero, ávido por descubrir territorios inexplorados, proteste porque ya no queda un rincón virgen en Londres, permítannos recordarles la famosa cita de Samuel Johnson: "Quien está cansado de Londres, está cansado de vivir". Casi 300 años más tarde, estas palabras son tan relevantes como siempre. Porque Londres, como muchas de las complejas metrópolis modernas, no acaba nunca de darnos sorpresas. Del 1 al 4 de octubre, y por segundo año consecutivo, el vicio inglés abandona la intimidad del dormitorio o del club privado, acercando al gran público la vibrante escena BDSM (bondage, dominación y sadomasoquismo) británica con el London Fetish Weekend o el fin de semana del fetichismo en la capital británica.


Heredero de una larga tradición comenzada en la famosa casa de flagelación de Mrs. Berkeley en el Covent Garden del siglo XIX, y que desemboca en esta celebración de diferencia erótica que lleva ya doscientos años sin asustarse de nada, el Fetish Weekend es un festival surgido no de una agenda política ansiosa por vender una imagen con sello cool sino por los entusiastas de estas prácticas, cuyo activismo y relevancia social comienza ya a compararse con el movimiento gay. Pero no es de política de lo que se va a hablar hoy, sino de decadencia para las sensibilidades más refinadas.
Con un tacón afilado

Comenzamos con un plato ligero el viernes 1 de octubre, con Chaz Royal en el legendario club Madame Jo-Jo's del Soho. Chaz Royal, a medio camino entre el cabaret y el fetichismo, nos deleitará con un espectáculo retro que durará hasta la madrugada. Una forma perfecta de introducir un afilado, pero tímido tacón de la forma más teatral y amable en la escena BDSM. Chaz Royal es la primera cita donde reunirse con viejos y nuevos amigos con los que compartir las correrías que se avecinan y, como tal, es un interesante punto de observación y encuentro.

Si nuestra intención es divertirnos como los nativos, será esencial hacerlo con vestuario y accesorios apropiados. Para esto debemos visitar LAM (London Alternative Market), la feria de moda y parafernalia S/M. Este mercado tiene lugar el segundo domingo de cada mes en el sur de Londres, pero en esta ocasión cruza el Támesis para establecerse (durante el sábado 2 y el domingo 3) en el National Hotel en Russell Square, a un tiro de piedra del Museo Británico. LAM, con su relajada cordialidad, es el lugar donde poner al día el vestuario de látex mientras disfrutamos una pinta de real ale en el bar. Otra razón para no perderse la visita a LAM es que atrae a artesanos y diseñadores de todo el país, especializados en látex, cuero y todo tipo de aparejos tanto para los veteranos practicantes del vicio inglés como para la pareja experimental. Abre desde las doce de la mañana hasta las siete de la tarde, una hora perfecta para dar paso a los clubes y fiestas donde lucir los últimos diseños adquiridos.
De copas en la mazmorra

¿Quién no ha oído hablar de Torture Garden, pionero en la escena fetichista y responsable de llevar el BDSM a la cultura de club en los noventa? Los puristas le acusan de ser poco más que un baile de disfraces, pero como segunda incursión en este mundo es sin duda el lugar más recomendable por su carácter lúdico, ambiente de baile y, por supuesto, el derroche de imaginación de los propios asistentes, que continuamente expanden las posibilidades del látex y la fantasía erótica en forma de vestuario y performances.

Otro club ineludible este fin de semana es Subversión, una alternativa para aquellos que prefieren una fiesta más íntima, a la vez que realmente dedicada a la práctica del BDSM. Situado en Aldgate, cerca de Brick Lane, este pequeño club, con su bien provista mazmorra, no es quizá apto para neófitos. Sea cual sea el club elegido para la noche, es importante recordar que en todos ellos el código de vestuario es muy estricto: no se admite ropa de calle o vestir simplemente de negro, como es el caso en otros países. A pesar de su reputación reservada, los británicos pueden sorprendernos por la desinhibición y creatividad que muestran en lugares establecidos al efecto. Torture Garden y Subversión son fiestas garantizadas donde disfrutar de las noches más decadentes de Londres.

Si hemos sobrevivido al desenfreno de clubes nocturnos, el domingo 4 de octubre nos acoge el Kinky Salon, el último evento del Fetish Weekend. Mezcla de arte, performance y BDSM, este exclusivo espacio no deja de intrigarnos. Heredero del salón artístico georgiano, como el Hellfire Club, donde la alta cultura y la depravación se reconocen como fuentes de inspiración mutua, atraerá sin duda a la mestiza escena bohemia y artística del East End, donde tiene su sede. Aunque en esta edición especial se abre a un público más amplio, mantiene su misterio, y la dirección exacta del lugar sólo se dará a conocer tras confirmarse la asistencia con la compra de entradas. Creado originalmente por un grupo de artistas de intereses queer (marica), hace énfasis en mezclar la teatralidad y el ritual del BDSM con prácticas artísticas contemporáneas. El Kinky Salon tiende un puente entre la galería de arte, la cultura de calle londinense y la escena fetichista, a menudo percibida como un reducto exclusivo. Si aún nos queda energía para acercarnos el East End, Kinky Salon promete ser el broche individualista para un fin de semana único pero que, con la celebración del estilizado ritual erótico, es algo no ya londinense, sino quintaesencialmente británico. Qué mejor manera de conocer un poco más las peculiaridades de esta nación insular que a través de los vicios privados a los que han dado nombre.



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F,P,D Univers. Se van aclarando......... Suráfrica ya sospechó de Semenya
La federación nacional sometió a exámenes ginecológicos a la atleta antes de acudir al Mundial de Berlín y ella pensó que se trataba de una prueba antidopaje

LALI CAMBRA - Ciudad del Cabo - 21/09/2009


Lo sabían. Aun así la dejaron correr. Los responsables de Atletismo Suráfrica (ASA) tenían sospechas y ordenaron un examen ginecológico a la atleta Caster Semenya una semana antes de acudir a los Mundiales de Berlín, en agosto. Declinaron seguir las recomendaciones médicas de retirar a Semenya, de 18 años, y la expusieron a la humillación pública consiguiente. El gobierno surafricano pidió el sábado por la noche que ASA despida a su presidente, Leonard Chuene, horas después de que éste, ante las evidencias publicadas en la prensa local, reconociera haber mentido sobre las pruebas que se hicieron a la corredora sin ella saberlo. El gobierno responsabiliza a Chuene de haber expuesto a la joven a una vergüenza pública de la que dudan pueda reponerse. "La han destrozado por una medalla de oro", es el sentir popular.

La noticia en otros webs

* webs en español
* en otros idiomas

Los médicos recomendaron no llevar a la corredora a los Mundiales

Según algunas informaciones, se demostró que tiene testículos internos

"Las maté". Fueron pocas las palabras que se oyeron a Semenya, con inequívoca voz masculina, a su regreso de Berlín, con el oro de los 800 metros al cuello. Se hizo con el triunfo en 1m 55s, dos segundos menos que su rival inmediata. Horas antes, la Federación Internacional de Atletismo (IAAF) la examinaba por las dudas que despertaba su sexo. Su holgada victoria se sumaba a su poderosa constitución física para hacerla más sospechosa, incluso entre sus rivales: "Creo que no es una mujer", dijo la italiana Elisa Piccione, sexta en la carrera.

Fue entonces cuando los políticos del Congreso Nacional Africano (CNA), que gobiernan Suráfrica, cerraron filas e hicieron alarde de su poder de movilización en apoyo de "nuestra niña", como se la bautizó; cuando las pruebas médicas de la IAAF fueron tachadas de racistas y sexistas; cuando la polémica Winnie Madikizela-Mandela, ex esposa de Nelson Mandela, decidió acogerla bajo su ala y aseguró que nadie iba a examinar su sexo, ignorante de que eso ya lo había hecho ASA y, para mayor espanto, sin conocimiento de la chica.

De acuerdo con correos electrónicos expuestos esta semana en la prensa local, el médico del equipo, Harold Adams, comunicó el 5 de agosto, dos semanas antes de la competición, a responsables de ASA y a Chuene que "en este tema confidencial hay dos opciones: no hacer nada y lidiar con el asunto si salta en Berlín o hacer tests ginecológicos lo antes posible. Piénsenlo". ASA decide hacer a la joven las pruebas.

De acuerdo con uno de sus entrenadores, Wilfred Daniels, que dimitió de su cargo hace dos semanas, "por la manera en la que se ha llevado este asunto", a Semenya no se le explicó la función de unas pruebas que ella creyó antidopaje. Mientras, Chuene negaba por activa y por pasiva que se hubiera examinado a la corredora en Suráfrica.

Fue ASA también la que decide que la joven concediera una sola entrevista, en una revista para adolescentes, con trajes de noche vaporosos, maquillaje, extensiones en el pelo y zapatos de tacón. El pasado 10 de septiembre, dos días después de aparecer en la revista, explota la bomba en los periódicos australianos, que dicen haber tenido acceso a los resultados de la IAAF. Sus titulares: "Semenya es hermafrodita". Sus textos: la chica no tiene útero pero sí vagina, no tiene ovarios pero sí testículos, internos, responsables de una producción elevada de testosterona. Nuevo cierre surafricano de filas; nuevos ataques contra la IAAF, supuesta responsable de la filtración de los resultados; Caster desaparece y no hay asunción de responsabilidades por ASA. Hasta el sábado cuando, ante las evidencias, Chuene no tuvo más remedio que pedir perdón por haber mentido, "para proteger a la atleta".

Titubeante y emocional, aseguró no haber hecho caso de la recomendación médica de retirarla, "porque fue verbal", porque todavía no tenía los resultados de las pruebas y acusó a la IAAF de "falta de ética" porque, según él, propuso retirar a Semenya por una falsa lesión. No creyó necesario tampoco informar a la corredora sobre las sospechas y los riesgos que se le avecinaban.


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dimanche 20 septembre 2009

F,P,D Univers. 1/4 Conocer San Petersburgo



2/4



3/4



4/4



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F,P,D Univers. San Petersburgo.




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. L´Hermitage




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. Fortaleza de Pedro y Pablo San Petersburgo




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F,P,D Univers. Paz en oriente medio.




"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. La Verdadera Sabiduría...




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vendredi 18 septembre 2009

F,P,D Univers. Franco Battiato.




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F,P,D Univers. Ghost...


Una versión más apta para una generación jóven ???




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mercredi 16 septembre 2009


F,P,D Univers.Descubierto un nuevo dinosaurio muy primitivo en África
Un equipo de paleontólogos españoles presenta el 'Spinophorosaurus nigerensis', de hace 170 millones de años

EL PAÍS - Madrid - 16/09/2009


Sninophorosaurus nigerensis es un dinosaurio que vivió hace 170 millones de años y desconocido hasta ahora por los científicos. Un par de ejemplares se han descubierto en África, primero uno que encontraron los paleontólogos españoles del proyecto Paldes (liderado por el Museo Paleontológico de elche) y poco después el segundo, en la misma región de Niger, por sus colegas del State Museum of Natural History Braunschweig (Alemania). Los hallazgos se presentan en la revista en internet PlosOne.


El nuevo dinosaurio (ambos ejemplares) se descubrió en 2006 y desde entonces los científicos han estado estudiando y preparando los fósiles que están muy completo y bien conservados. "Las características anatómicas de los ejemplares fue evidente desde los primeros momentos", explican los científicos de Paldes (Paleontología para el Desarrollo en Níger). "Las características anatómicas de ambos ejemplares y el contexto geológico en el que se encontraban no eran las esperadas. Las rocas que contienen los restos del nuevo dinosaurio podrían pertenecer al Jurásico Medio (hace unos 170 millones de años) y hasta ese momento no existían este tipo de saurópodos en esta parte del mundo".

El nuevo dinosaurio es un animal de tamaño medio (casi 13 metros de longitud) que conserva su columna vertebral, incluyendo buena parte del cráneo y restos de las extremidades, explican los investigadores. La larga cola, con una potente estructura ósea, probablemente estaba asociada a espinas dérmicas, lo que ha inspirado a los científicos para bautizarle.


"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers. "Nos conocimos cuando estuviste de vacaciones en Dinamarca"
El país escandinavo retira de YouTube un vídeo de promoción turística en el que una mujer busca al hombre con el que pasó una noche y tuvo un hijo

ELPAÍS.com - Madrid - 16/09/2009


Dinamarca ha decidido retirar del portal de vídeos gratuitos YouTube un clip de promoción turística que podría exportar una imagen equivocada del país escandinavo al mundo. El documento, que dura unos tres minutos, muestra a una joven mujer rubia -interpretada por la actriz local Ditte Arnth Jorgensen- que busca al padre de su hijo August. La chica, en inglés, cuenta que conoció al padre de la criatura en un bar cuando éste se encontraba de vacaciones en Dinamarca y que no recuerda su nombre ni de donde era. Aunque la versión oficial ha sido retirada, varias copias del documento circulan por el portal.


"Nos conocimos y nos fuimos a tomar una copa. Es muy vergonzoso, pero es básicamente todo lo que recuerdo". Los responsables del vídeo, VisitDenmark, aseguran que su intención era contar la "dulce" historia de una mujer que vive en una sociedad libre y acepta las consecuencias de sus actos. Los detractores creen que el clip da a entender que Dinamarca es un lugar donde la práctica del sexo sin protección es algo común. Un diario danés, Ekstra Bladet, ha asegurado que el vídeo es "grotesco" y supone un "desperdicio del dinero de los contribuyentes". El clip ha recibido más de 800.000 visitas antes de haber sido descolgado de la web.

El vídeo ha despertado la vena humorística de algunos internautas. Un hombre de Brooklyn, imitando a la chica danesa, ha colgado un clip en el que asegura que busca a la madre de su hijo (un muñeco de plástico), a la que conoció a la salida de una pizzería.


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lundi 14 septembre 2009


F,P,D Univers. "En América Latina la democracia no está para quedarse"
Mario Vargas Llosa presenta su último libro, Sables y Utopías. Visiones de América Latina, y aprovecha para exponer sus opiniones sobre Cuba, Uribe, Evo Morales o la relación de España con Chávez

BORJA HERMOSO - Madrid - 14/09/2009


Mario Vargas Llosa ha reunido en su último libro, Sables y Utopías. Visiones de América Latina, medio siglo de artículos, reflexiones, cartas y semblanzas sobre todo tipo de personajes de la política y la cultura latinoamericanas. En la presentación, que ha tenido lugar esta mañana en el Círculo de Bellas Artes de Madrid, el escritor ha hablado de los grandes la literatura. También ha aprovechado para exponer sus claras ideas sobre algunos de los actuales dirigentes latinoamericanos y sobre el papel que algunos gobiernos, como el español, están jugando con respecto a ellos:

"En América Latina, al contrario que en países como España, la democracia no está allí para quedarse. Siempre hay una posibilidad de dar pasos atrás. Esto se ve en la clara involución que ha habido en países como Nicaragua, Venezuela, Ecuador y Bolivia. En cambio algunos otros Gobiernos de izquierdas, como el de Brasil, se han mostrado con más sentido común y se han dado cuenta de que para progresar tenían que creer en la economía de mercado".

Sobre Evo Morales: "Lamento que el Gobierno español apoye a Evo Morales, alguien que ha dado a su Gobierno una clara orientación autoritaria y también racista. Evo Morales presenta la situación en Bolivia como una oposición de blancos e indios, pero introducir el elemento racial como juicio de la vida política y económica es un disparate y en América Latina puede ser explosivo. El problema no es de razas, sino de dictaduras".

Sobre Hugo Chávez: A la pregunta de si opinaba que el Gobierno establecía relaciones peligrosas con Chávez el escritor ha respondido de manera contundente. "Claro. Sé que el Gobierno español actúa así por razones pragmáticas, porque puede hacer negocios, pero Hugo Chávez no actúa así y, aunque el Gobierno de Zapatero sea tan simpático y cordial con él, el puro pragmatismo es incompatible con la democracia. Lo que debería hacer España es solidarizarse no con Hugo Chávez, sino con los demócratas venezolanos".

Sobre Perú, Colombia y Brasil: "Son las espinas que tiene clavadas Hugo Chávez para su sueño bolivariano".

Sobre Uribe: "Ha hecho un magnífico gobierno pero al final ha caído en la tentación reeleccionista. Si le reeligieran una tercera vez tendría consecuencias muy negativas para Colombia. La tentación reeleccionista es una epidemia en América Latina".

Sobre Cuba: "Claro que me equivoqué. Defendí la revolución cubana. Creí que representaba lo que tantos buscábamos: una sociedad que entroncara con la libertad. La verdad es que quise creer en lo que quise ver, pero he reconocido mis errores. Lo grave es perseverar en el error". Acerca de la Cuba actual, se pregunta cómo es posible que el pueblo cubano no haga lo mismo que hicieron el pueblo polaco y el húngaro de rebelarse. Ha llegado a la conclusión de que "una dictadura totalitaria como la cubana mata cualquier espíritu de ilusión y el ímpetu primario de la libertad. Hoy en Cuba la ilusión se reduce a coger un barco y largarse a Miami"




"Solo ideas del hombre".
F,P,D Univers.Spécial accessoires.


"Solo ideas del hombre".







F,P,D Univers. Marselle la grisanet


1/7

Trois cent vingt jours de soleil par an, des côtes d’une beauté exaltante, une culture riche et contrastée : la future capitale européenne de la culture en 2013 se réinvente et affiche sa différence avec une liberté insolente. Visite guidée loin des clichés.

20.08.2009, par Sibylle Grandcha

On dit que le Marseillais est fier et paresseux, dangereux au volant, mafieux en affaires et hostile à l’égard de toute espèce résidant au nord, c’est-à-dire au-delà de Valence… Ces légendes ont été mises au point par les Phocéens – la communauté de marins grecs qui a fondé Marseille 2 600 ans avant J.-C. – afin de préserver la ville des invasions. Les clichés ont la vie dure. Sous son ciel bleu Klein, la cité phocéenne a toujours fait figure d’éternelle rebelle. Elle échappera au contrôle de Louis XIV, qui en retour fera ériger le fort Saint-Nicolas et son enfilade de canons dirigés vers la ville. Elle donnera son nom à l’hymne de Rouget de Lisle, scandé par les révolutionnaires. La deuxième ville de France offre bien des surprises : sur plus de 60 km de côtes, ses quartiers aux ambiances bigarrées s’étirent comme autant de petits villages pittoresques à la croisée de l’Orient et de l’Occident. À mille lieues de la clinquante Côte d’Azur, le dépaysement est total. L’authentique côtoie l’avant-garde, le bout du monde est à portée de main.

De la hype sous le soleil

(2/7)

Dix ans après le timide démarrage d’Euroméditerranée, projet urbain ambitieux visant à valoriser les atouts de la deuxième ville de France, Marseille se donne enfin les moyens de ses objectifs : devenir un pôle économique incontournable du bassin méditerranéen, au côté de sa grande sœur espagnole, Barcelone.

Nouveau bistrot
Bonne surprise de l’année 2009, le Café Populaire est l’un des rares troquets marseillais à offrir un lieu travaillé en plus de petits plats inventifs, préparés dans une cuisine ouverte comme une vitrine sur la rue. Atmosphère d’atelier d’artiste, longues banquettes en cuir, tables éclairées par des suspensions d’esprit industriel et bibliothèque murale pour la touche intello new-yorkaise… Mais rassurez-vous, la cuisine est bien d’ici : aïoli de coing, poutargue et fromage frais au caramel, le tout servi dans une ambiance estivale, tout au long de l’année.

Carte : de 20 à 35 €.

110, rue Paradis, 13006. Tél. : 04 91 02 53 96.

The sound of Marseille
C’est le spot du moment pour ceux qui souhaitent goûter à la hype locale. Signée du collectif Non è possibile, la programmation musicale de ce bar du cours Ju (le petit nom du cours Julien, l’un des coins les plus branchés de la ville) est ultra-pointue. La Dame Noir (non, pas de « e ») compte déjà de nombreux adeptes depuis son ouverture, en février. On y va aussi bien pour un apéro électro que pour danser tard entre happy few.

Ouvert du jeudi au samedi.

30, place Notre-Dame-du-Mont, 13006. ladamenoir.wordpress.com

Vintagemania
De ses grands-parents collectionneurs et amateurs d’art, elle a puisé son goût de la chine. Depuis trois ans, Garance Servajean s’est installée dans le quartier Préfecture, devenu depuis peu celui des antiquaires de Marseille. Lorsqu’elle a débusqué cet espace aux plafonds vertigineux, elle s’est dit qu’il n’y aurait pas de meilleur endroit pour mettre en valeur ses meubles issus des décennies 50, 60 et 70. Un coup de cœur que ses fidèles clients et visiteurs de passage partagent avec elle.

18, rue Edmond-Rostand, 13006. Tél. : 04 91 02 35 28. www.galerie-garance-servajean.com

Melting-pot
Le Colette local ! Qu’ont en commun la célèbre boutique parisienne et Oogie (photo), lifestore de 400 m2 fraîchement installé cours Julien ? Ils rassemblent en un seul lieu la crème de la tendance, tous univers confondus : musique, vêtements, accessoires, presse… Mais la comparaison s’arrête là. La planète fashion Oogie, qui abrite aussi un bar, un restaurant et un salon de coiffure, s’impose plutôt comme un lieu de rencontres alternatif et festif.

55, cours Julien, 13006.
Tél. : 04 91 53 10 70. www.oogie.eu

Éternelle rebelle

(3/7)

Il est de ces adresses indétrônables et indémodables qui font Marseille. Des lieux typiques et authentiques, des affaires de famille, des musées vivants.

Un pastis au bois bandé ?
Sur le Vieux-Port (côté mairie, à l’orée du quartier du Panier), un de ces petits cafés-boutiques qui ne paye pas de mine, mais rameute le Tout-Marseille. À L’Escale Marine, outre les traditionnels savons, anchoïades et pastis au bois bandé, Claude Bataille et son fils entassent sur leurs étagères des dizaines d’autres spécialités locales : confiseries Les Marseillotes, sardines Les Pitchounettes (photo), bières La Cagole, sodas Fada Cola… Le principe ? Vous faites votre petit shopping avant de vous installer en terrasse pour une dégustation sur le pouce accompagnée d’un bandol frais. Claude se fera un plaisir de vous apporter des assiettes, des couteaux et quelques croûtons aillés pour que vous vous sentiez « comme à la maison ». Eh pardi !

22, quai du Port, 13002.
Tél. : 04 91 91 67 42.

Ou une petite tisane ?
Au moindre petit bobo, le Marseillais se presse chez Le Père Blaize, la plus vieille pharmacie-herboristerie de France, créée en 1815, pour ses préparations magiques à base de plantes aromatiques, médicinales et exotiques, huiles essentielles, poudres et extraits de végétaux… Aujourd’hui, c’est Martine Bonnabel-Blaize, l’arrière-petite-fille du fondateur, qui fait perdurer cette tradition. Les musts : la Cure de printemps et la Cure d’automne, ainsi que la Tisane Longue Vie, dite « Tisane amère », pour éclaircir le teint.

4-6, rue Méolan, 13001. Tél. : 04 91 54 04 01. www.pereblaize.fr

Pour croquer à 4 heures
Certaines ont appris à broder avec mémé, elle, a appris à faire du chocolat avec son grand-père. Il y a vingt-cinq ans, Michèle Leray a décidé de quitter l’immobilier pour faire renaître les « barres de pépé ». Dans sa minuscule boutique, La Chocolatière du Panier, elle confectionne des mélanges insolites : fenouil, cardamome, lavande… Et même du chocolat salé à l’huile d’olive ou aux oignons. Prête à toutes les expériences, elle a tenté le henné (comestible !), mais c’est finalement le chocolat au couscous qui a vu le jour. Il est, en fait, au ras el hanout. Distillé en petite quantité, bien sûr : « Pas la peine “d’emboucaner” le palais », dixit madame la chocolatière.

49, rue du Petit-Puits, 13002.
Tél. : 04 91 91 67 66.

Souvenirs insolites
Et si vous rapportiez de Marseille autre chose qu’un savon à l’huile d’olive ou un santon de Provence ? À deux pas de la Canebière, la Maison Empereur, la plus ancienne droguerie-quincaillerie-armurerie de France (créée en 1827), est fréquentée par des bricoleurs avisés et de jolies jeunes femmes en talons aiguilles. Dans cette caverne d’Ali Baba, des centaines d’accessoires culinaires d’un autre temps côtoient la crème de l’électroménager ou du jardinage. Gril à sardines, chalumeau à crème brûlée, daubière en émail bleu, pèle-pomme à ventouse, alambic ou sabre à champagne… On y va pour l’ambiance authentique et pour gagner le concours du cadeau de vacances le plus fada !

4-6, rue des Récolettes, 13001.
Tél. : 04 91 54 02 29. www.empereur.fr

Du mistral dans les assiettes

(4/7)

Sans pour autant être rayés de la carte, la bouillabaisse et les pieds et paquets ont été remplacés par une nouvelle cuisine marseillaise, où de jeunes chefs rivalisent d’inventivité et d’énergie. Si l’on ne peut pas en dire autant de toute la côte, on mange divinement bien à Marseille.

Table gigogne
Christian Ernst a élu le quartier tout juste rénové de la rue de la République pour ouvrir son nouveau restaurant concept en trois volets : table gastronomique avec terrasse, traiteur « gastro » et atelier de cuisine qui sert aussi de vinothèque. Comme si tout cela ne suffisait pas à ce chef insatiable, Le Moment accueille également des expositions temporaires et s’emploie à faire connaître des artistes de la région. À tomber : la soupe au pistou réinventée, le médaillon de thon aux agrumes, les girolles du pays et le clafoutis de pêches de vigne de la région. Si l’envie de vous attabler n’est pas au rendez-vous, passez par l’espace traiteur pour un pique-nique au bord de l’eau avec le panini au pot-au-feu confit ou le hamburger au foie gras et fruits rouges.

Menus de 19 à 36 € à l’heure du déjeuner. Le soir, menus
à 46 et 64 €.

5, place Sadi-Carnot, 13002.
Tél. : 04 91 52 47 49. www.lemoment-marseille.com

Edouard déménage
Il a lâché Ca Blanca, son ancien restaurant, pour le quartier de Saint-Giniez, dans le très huppé 8e arrondissement. Mais l’esprit simple et chaleureux du bistrot méditerranéen prévaut : plaisir du partage avec des entrées servies sous formes de tapas, plats cuits à la plancha, filets de poissons et – spécialité du Bistrot d’Edouard – le fideo (seiches en persillade servies sur des vermicelles cuits dans un mélange de soupe de poissons et d’encre de seiche, le tout accompagné d’un aïoli au fromage blanc). Edouard et Camille, sa femme, ont planté leur décor quelque part entre l’Espagne et l’Italie. À ne pas rater : les aubergines frites à la menthe, les poivrons marinés ou et le pata negra de bellota servi avec son pan con tomate…

À partir de 11 € le plat du jour le midi et 24 € pour les poissons les plus chers.

150, rue Jean-Mermoz, 13008.
Tél. : 04 91 71 16 52.

Gastronomie grand style
Monsieur Passédat, le père, vous accueille dans ce petit paradis dont son fils Gérald a désormais la clé. Vous êtes au Petit Nice Passédat (photo), une villa blanche accrochée à son rocher, qui vient d’obtenir sa troisième étoile au Michelin. Décor French Riviera de la Belle Époque, piscine d’eau de mer et panorama exceptionnel. Le tapis rouge est dressé dès les mises en bouche pour accueillir un feu d’artifice de saveurs et de couleurs. Thon rouge de Méditerranée servi dans une écume de mer avec une rigueur très japonaise. Couteau en gelée accompagné de sa feuille d’estragon. Carpaccio de maquereau, jeunes pousses et mousse de tomate verte. Les desserts éclatent en bouche sur un air de fête foraine.

Menu à 65 € à l’heure du déjeuner. Le soir, menus à 125,
145 et 180 €. Carte : environ 160 €.

Anse de Maldormé, corniche John-Fitzgerald-Kennedy, 13007. Tél. : 04 91 59 25 92. www.passedat.com

Cuisine radieuse
On y va une première fois pour voir la Cité radieuse, cette unité d’habitation conçue par Le Corbusier dans les années 50. On y revient pour la convivialité du Ventre de l’Architecte, un restaurant réaménagé avec goût dans l’esprit du maître (lampes Corbu, chaises rétros, tables de style Charlotte Perriand), mais aussi désormais pour la carte semi-gastronomique de Jérémy Bigou. Ce jeune chef passionné, qui a fait ses armes au Petit Nice Passédat et au Clos de la Violette, a soif d’innover. Il le fait avec grand art et beaucoup de générosité. Et pour passer une nuit 100 % « radieuse », demandez aux patrons (qui tiennent aussi l’hôtel Le Corbusier) s’il leur reste une chambre…

Menus de 15 à 45 €.

3e rue de la Cité radieuse,
280, bd Michelet, 13008. Tél. : 04 91 16 78 23.

Farniente à volonté

(5/7)

Pour se faire dorloter à la chaleur du hammam ou se prélasser au chant des cigales… La Provence 100 % huile d’olive est douce comme un rêve en été.

Pour prendre le large
Dépaysement absolu sur le Vieux-Port, où le nouveau Spa Cinq Mondes a pris ses quartiers. Ce cocon sombre, enveloppant et japonisant, très loin de l’image cliché de Pagnol et de la partie de boules, est l’une des dernières adresses bien-être de Marseille. On y va pour (re)découvrir la signature Cinq Mondes, qui, comme son nom l’indique, a mis au point un protocole unique de soins et de massages à la croisée des meilleurs rituels des différents continents, mais aussi pour renouer, après la plage et le soleil, avec son propre rythme intérieur, plus introspectif, plus nature.

45, quai de Rive-Neuve, 13007.
Tél. : 04 91 04 04 04. www.cinqmondes.com
E-mail : info@cinqmondes-marseille.com

Thalasso au château
Ce centre de bien-être (le seul de Marseille) n’est pas nouveau, mais sa situation extraordinaire mérite qu’on le fasse figurer parmi les hot spots de la cité phocéenne. Face à la mer, sur la Corniche, l’Espace Château Berger (photo) abrite un parc préservé où il fait bon se prélasser pour une décontraction musculaire complète après un parcours d’eau de mer chauffée à 32 °C, parsemé de sièges à microbulles, de bancs de nage à contre-courant, de geysers et de jets sous-marins pulsés. Ensuite, rien de tel qu’un cocktail de plantes drainantes avec vue sur la belle bleue. Autant en profiter : le centre propose un forfait de soins de quelques heures pour une clientèle de passage. À tester, le gommage sous affusion pour retrouver une peau tonique et veloutée.

281, corniche John-Fitzgerald-Kennedy, 13007. Tél. : 04 91 52 61 61. www.chateauberger.com

Hammam à la bastide
Pas de place au hasard : La Bastide des Bains est située rue Sainte, le quartier bobo par excellence, dans une ancienne imprimerie investie par un couple de pionniers de la balnéothérapie à Marseille. Quand on franchit la grille du perron coiffé d’une marquise d’époque, c’est tout le Sud qui nous accueille. D’un côté, un hommage aux thermes romains avec fontaine, verrière et fresques de femmes drapées au mur ; de l’autre, la tonalité orientale d’un hammam en mosaïques rouges, ocre et beiges, avec des tables en marbre où sont délivrés gommages au savon noir traditionnel, rassoul et massages à l’huile d’argan.

19, rue Sainte, 13001.
Tél. : 04 91 33 39 13. www.bastide-des-bains.com

Voyages en massages
Autre escale au pays du bien-être : Les Bains de Breteuil proposent un hammam traditionnel turc, des soins inspirés de contrées lointaines (Blue Lagoon, Out of Africa, Rêve du Mékong) et des massages multiethniques : californien, shiatsu, ayurvédique, suédois… Une bulle de bien-être au cœur de la ville.

46, rue de Breteuil, 13006.
Tél. : 04 96 10 22 10. www.bainsdebreteuil.com

Savons V. I. P.
Depuis plus de quinze ans, La Compagnie de Provence revisite avec brio la grande tradition du savon de Marseille : textures et senteurs originales, flaconnages aussi sensuels que séduisants. Les gammes sont en parfaite symbiose avec l’air du temps : une ligne bio, une gamme Terra inspirée des argiles des carrières du Luberon, et le must de l’accessoire de bain ou de la bougie d’ambiance… On y trouve aussi des pains de savons à la coupe, bruts de décoffrage, mais avec ce soupçon d’élégance qui fait toute la différence, notamment à l’heure des cadeaux !

1, rue Caisserie, 13002.
Tél. : 04 91 56 20 94. www.lcdpmarseille.com

Un grand bol de mer

(6/7)

Mistral, mer et soleil : le trio inéluctable. Hissez les voiles et partez à la découverte de la rade, des îles et des calanques. En route pour Marseille côté mer.

Prendre le large
À bâbord, le vallon des Auffes, la Corniche, Malmousque, Les Goudes et les calanques, jusqu’à Cassis. À tribord, la Joliette et ses docks (en pleine réhabilitation avec le projet Euroméditerranée), l’Estaque, la Redonne. En face, l’archipel du Frioul (Tiboulen, Ratonneau, Pomègues et If), qui abrite une flore et une faune exceptionnelles.

Les différentes balades en mer
- À bord d’un vieux gréement (6 personnes maximum, de juillet à septembre, 36 €).
- En bateau à moteur (de 7 à 120 passagers).
- En kayak de mer (de juin à octobre, 35 € la demi-journée, 55 € la journée).

Renseignements : office du tourisme, 4, la Canebière, 13001. Tél. : 04 91 13 89 00. E-mail : info@marseille-tourisme.com

- À bord d’un chalutier datant de 1950 (12 personnes maximum).

Icard Maritime/Marseille Côté Mer, tél. : 04 91 33 03 29.

- Location de bateaux et activités sportives et nautiques (parachute ascensionnel, catamaran, ski nautique, plongée, bouées tractées, jet-ski).

Natrium, tél. : 04 91 33 95 33. E-mail : infos@natrium.frpanel

- Navettes en direction des îles : embarcadère du Vieux-Port, 1, quai de la Fraternité, 13001. Tél. : 04 91 55 50 09. (Traversée : 20 min).

Déjeuner dans les calanques
Longez la côte en direction des calanques, ces falaises de calcaire abruptes plongeant dans l’eau turquoise que la mer pénètre par endroits pour former de charmantes criques protégées des vents. Le massif se découvre aussi à pied, mais ses chemins balisés bordés de buissons de myrte et de thym, de chênes verts et de figuiers de Barbarie sont fermés au public de juin à septembre, pour éviter les incendies. Ces « fjords » méditerranéens ont des noms bien d’ici : Sormiou, Morgiou, Sugiton. Les calanques abritent un village de pêcheurs et, parfois, un restaurant.

Pour manger du poisson frais tout juste pêché et grillé sans chichi, ce bout du monde est ouvert en fonction de la pêche.
Le Tiboulen de Maïre, la Calanque blanche, route des Goudes, 13008. Tél. : 04 91 25 26 30.

Une guinguette saisonnière située après l’Estaque. Poissons grillés et crustacés.
Le Mange Tout, calanque du Grand-Méjean, 8, chemin Tire-Cul, 13820 Ensuès-la-Redonne. Tél. : 04 42 45 91 68.

Et on dort où ?

(7/7)

Comme à la casa
Les petites dernières des chambres d’hôtes marseillaises sont aussi les plus charmantes. Bienvenue chez Honoré, marque déposée par Annick, la maîtresse des lieux, qui tient aussi une boutique de déco mitoyenne à l’hôtel. Outre ses quatre chambres, jolies et bien conçues, Casa Honoré (photo) offre une enfilade de petits salons : un pour l’hiver, au coin du feu, à dominante de noir ; un pour l’automne, très seventies avec ses luminaires à boules orange ; un pour le printemps, frais et couvert de coussins blancs ; enfin, pour prolonger les soirées d’été, un patio exotique où trône une piscine. Un petit bijou caché qui domine le Vieux-Port.

Chambre avec petit déjeuner inclus à partir de 150 €.

123, rue Sainte, 13007. Tél. : 04 96 11 01 62. www.casahonore.com

Luxe précurseur
Tous les chemins mènent au Vieux-Port. Ce petit centre du monde abrite des dizaines de bars et de restaurants ainsi que le Théâtre national de Marseille, La Criée. C’est désormais ici que niche le plus luxueux hôtel de la ville. Membre de The Rezidor Hotel Group, le Radisson Blu Hotel a ouvert l’été dernier, dotant enfin la cité phocéenne d’un quatre étoiles digne de ce nom, avec service sur mesure et équipements dernier cri : 189 chambres, dont six suites et six junior suites, onze salles de réunion, deux restaurants, une piscine et un solarium sur les toits de la ville. Pari réussi côté déco : les espaces high-tech et contemporains se marient parfaitement à l’atmosphère cosy et détendue d’esprit néoprovençal et africain.

38-40, quai de Rive-Neuve, 13007.
Tél. : 04 91 54 02 01. www.radissonblu.fr/hotel-marseille
E-mail : info.marseille@radissonsas.com

Made in Marseille
Une fois franchie l’entrée design surmontée d’une enseigne lumineuse rose fluo, un petit jardin provençal vient chatouiller vos sens : lavande, romarin, menthe et fenouil. Quelques marches et vous voilà au frais dans l’enceinte cocon du Pharo, le dernier-né de New Hotel, une chaîne 100 % marseillaise tenue par les frères Antoun. Immense lustre baroque en cristal, sol noir, incrustations de galets, fontaine conceptuelle, œuvres contemporaines disséminées dans toutes les pièces… La centaine de chambres au confort impeccable (dont huit suites avec terrasse) donnent sur la piscine et le bar-terrasse du Victor Café, le restaurant de l’hôtel fréquenté par le Tout-Marseille.

Chambres à partir de 215 €.

71, bd Charles-Livon, 13007.
Tél. : 04 91 31 53 15. www.newhotelofmarseille.com

Hôtel particulier
Sur les hauteurs de la Corniche, au pied de la Bonne-Mère et à dix minutes à pied de la plage du Prophète, bastide provençale au charme authentique, plein sud, vue sublime sur mer… J’achète ! Enfin, je loue, déjà, juste pour voir à quoi ressemble un rêve provençal. La Bastide du Roucas est l’une des chambres d’hôtes les plus courues de Marseille. Précipitez-vous avant qu’elle n’affiche toujours complet, car il n’y a que deux chambres… et des confitures et jus de fruits maison à l’heure du petit déjeuner sur la terrasse.

75 € pour 2 personnes, 120 € pour 4 personnes.

5, rue Etienne-Mein, 13007.
Tél. : 04 91 31 79 83 et 06 09 84 76 89. perso.orange.fr/labastideduroucas


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