lundi 27 septembre 2010

F,P,D Univers."Ideas del hombre y más .......".

Vienne, la ville aux deux visages

Mots clés : Vienne, Microscope, Week-end, VIENNE

Par Philippe Viguie-Desplaces
23/09/2010 | Mise à jour : 14:54
Réactions (2)
Stephansdom 1, Stephansplatz Die Baugeschichte der Dom- und Metropolitankirche St. Stephan beginnt im 12. (Ph : DR)
Stephansdom 1, Stephansplatz Die Baugeschichte der Dom- und Metropolitankirche St. Stephan beginnt im 12. (Ph : DR)

Exit les Sissi en porcelaine et les Mozart en sucre : Vienne devient branchée, audacieuse et innovante. Expos, tables tendance, hôtels design… La ville s'impose enfin comme une destination dans le vent.

Rétrospective Frida Kahlo. L'artiste mexicaine décédée en 1954 est, depuis le 1er septembre, à l'affiche du Kunstforum de Vienne. Cinquante tableaux et 90 dessins, complétés par une centaine de photos, rendent cette rétrospective d'autant plus intéressante que les expositions consacrées à l'épouse de Diego Rivera sont rares. La majorité des tableaux présentés proviennent de collections privées américaines. Son premier autoportrait, maniériste, dont Picasso aimait tant le regard, trône dans la nef principale, où l'on trouve deux autres œuvres exceptionnelles : le seul dessin évoquant son accident de tramway à dix-huit ans, et sa première peinture, un paysage urbain dessiné de sa chambre d'hôpital. Dans une autre salle, une œuvre inédite, retrouvée au fond d'une poubelle : la dernière - colorée et confuse - qu'elle ait peinte quelques jours avant sa mort. Au centre de l'exposition, à l'abri d'une vitrine comme dans un linceul, deux robes de Frida Kahlo et, plus loin, une vingtaine d'autoportraits aux étonnantes compositions. La scénographie très épurée réussit à rendre cette présentation très émouvante, au plus près de l'existence de cette femme passionnée, tiraillée entre la douleur de vivre et la joie de créer.

Kunstforum, Freyung, 8. Jusqu'au 5 décembre. www.bankaustria-kunstforum.at

Manfred Thumberger
Manfred Thumberger

Le retour du portrait de Wally. Wally Neuzil fut la compagne d'Egon Schiele, qui fit d'elle un célèbre portrait. Le tableau exposé à Vienne, prêté à l'occasion d'une exposition au MoMa de New York, fut confisqué par la justice américaine, car autrefois propriété d'une famille juive spoliée. Après des années de lutte, le grand collectionneur autrichien Rudolph Léopold réussit, contre 19 millions de dollars, à faire revenir Wally au pays… Il est donc à nouveau exposé depuis quelques jours, à côté de l'autoportrait mythique d'Egon Schiele, sur les cimaises du Musée Léopold. Partout dans la ville des affiches « Welcome Wally » fleurissent, soulignant l'aspect symbolique de cette restitution, dénouement d'une affaire qui passionna l'Autriche. L'occasion de redécouvrir le Musée Léopold, dont l'architecture contemporaine abrite la plus belle collection au monde d'œuvres d'Egon Schiele, mais aussi de superbes toiles de Gustav Klimt.

MuseumsQuartier, Museumsplatz 1. www.leopoldmuseum.org

Le mariage de Napoléon. Pour le bicentenaire des noces de l'archiduchesse Marie-Louise avec l'Empereur (que les Autrichiens ne portent pas toujours dans leur cœur), le palais de Schönbrunn a fait l'effort d'une petite exposition qui vaut surtout pour le lieu où elle se déroule : l'ancien garage impérial (Wagenburg). On y voit toutes les voitures utilisées par la cour, dont le fameux char funéraire, rococo délirant, qui transporta la dépouille de Zita, dernière impératrice, en 1989. L'exposition sur Napoléon présente quelques tableaux et uniformes mais aussi, pièce plus rare, la voiture d'enfant de l'Aiglon.

Wagenburg, Palais de Schönbrunn, Schönbrunner Schlossstrasse, 47. Jusqu'au 31 décembre 2010. www.khm.at

Le Motto am Fluss Café. (Ph: Marianne Greber)
Le Motto am Fluss Café. (Ph: Marianne Greber)

Tables émergentes. Dans le nouveau quartier du canal du Danube s'ouvrira avant la fin de l'année un Sofitel signé Jean Nouvel. Deux restaurants l'ont précédé sur les berges : Motto am Fluss, café branché avec DJ résident et restaurant design. Cuisine gastronomique, exclusivement bio (Comptez 50 €. Franz-Josefs-Kai/Schwedenplatz. Tél. : 01 252 55 10). Le second, Holy Moly, a été aménagé dans un ancien bateau par l'un des plus grands chefs viennois : Christian Petz. Carpaccio de joue de bœuf et de calamars ou veau braisé aux cèpes sont au menu à 24 € (Donaukanallände Höhe Biberstr. Tél. : 01 513 07 50). Autre quartier dans le vent : le Naschmarkt, derrière le pavillon de la Sécession. Autour du marché en enfilade, une vingtaine de bistrots proposent une cuisine typiquement autrichienne entre 10 et 20 €, comme Deli (stand 421-436, fermé le samedi soir et dimanche). Le Café Central, jadis fréquenté par Freud, offre la meilleure escalope viennoise (panée) de la ville (18,50 €. Herrengasse, 14. Tél. : 01 533 37 63).

Le Grand Hotel Wien. Témoin des fastes de l'empire austro-hongrois, l'établissement souffle ses 140 bougies. Johann Strauss s'y produisit pour le 50e anniversaire… Sa façade monumentale, dotée d'une superbe marquise Art nouveau, en fait l'un des plus beaux palais du Ring, fameux boulevard circulaire ouvert par François-Joseph. À deux pas de l'Opéra et du fameux Graben, labélisé Leading Hotel of the World, le Grand Hôtel Wien est un concentré de grandeur. Entièrement rénovées, les chambres sont vastes et merveilleusement bien équipées. Clin d'œil à la modernité : un des trois restaurants de l'hôtel est un bar à sushis branché, très fréquenté par la jeunesse viennoise !

Grand Hotel Wien, Kaerntner Ring, 9. Chambre à partir de 200 €. Rés. : 00 800 28 88 82 et www.lhw.com

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Paris mystères

Mots clés : Graham Robb, Philippe Cavalier, Lorànt Deutsch

Par Astrid De Larminat
23/09/2010 | Mise à jour : 16:56
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(Paul Delort/Le Figaro)
(Paul Delort/Le Figaro)

Pourquoi la capitale passionne-t-elle autant? Un an après le best-seller du comédien Lorànt Deutsch, l'universitaire anglais Graham Robb et le romancier Philippe Cavalier répondent.

Pour comprendre ce qui fait le charme de Paris, au sens le plus puissant du mot, il faut avoir présent à l'esprit que la capitale de la France est une toute petite ville, pas plus étendue que la bourgade du Texas du même nom, un concentré urbain où des siècles et des siècles d'histoire ont laissé leur dépôt, où des univers hétéroclites, politiques, populaires, intellectuels, religieux, ont cohabité. «Paris est un livre d'images fait de calques superposés, surpeuplé de morts et hantés par des vivants», écrit l'Anglais Graham Robb, docteur en littérature française, tombé dans le chaudron magique de Paris à l'âge de dix-sept ans, quand ses parents l'envoyèrent dans la capitale avec les poèmes de Baudelaire en poche. C'est par les yeux de l'auteur des Tableaux parisiens, puis à travers les romans de Balzac qu'il apprit à connaître et à aimer la ville. C'est pourquoi son Histoire de Paris n'est pas une histoire comme les autres. Érudite, romanesque, pleine de détails, elle se compose de douze récits qui mettent en scène des personnalités, célèbres ou obscures, qui ont vécu à Paris du XVIIIe au XXIe siècle.

Le volume s'ouvre sur le jeune Bonaparte qui découvre Paris et rôde timidement autour du Palais-Royal, alors haut lieu de la débauche, pour jeter sa gourme. Dans l'un des chapitres suivants, nous voilà place de la Concorde, pendant la Révolution: devant des milliers de spectateurs, Charlotte Corday, qui avait revêtu le costume de son Caen natal pour son exécution, lance la mode des coiffes normandes à dentelles… Sous la monarchie de Juillet, le dramaturge Henry Murger menait une dangereuse vie de bohème, poussant l'audace jusqu'à fleurir son balcon… alors que les pots de fleurs aux fenêtres, qui causaient trop de décès, avaient été prohibés. Au fil des siècles, les récits de Robb le confirment, il y a des constantes de la vie parisienne. Le problème des transports en est une, assurément. Une péripétie de la vie sentimentale d'Henry Murger, justement, se trouva compliquée par la grève des cochers du 6 mars 1848. Le 21 juin 1793, Paris, telle une déesse antique jalouse, mit des bâtons dans les roues de la famille royale. Alors qu'elle devait rejoindre secrètement la rue de l'Échelle où le roi l'attendait pour s'enfuir, Marie-Antoinette se perdit dans le dédale des rues autour des Tuileries. Sans ce contretemps, Louis XVI n'eût sans doute pas été intercepté à Varennes et le cours de l'histoire en eût été changé. Cet épisode, contesté, est pourtant vraisemblable, affirme Robb, qui rappelle qu'il fallut attendre 1850 pour qu'un préfet avisé fasse inscrire sur des plaques le nom des rues. Avant cette date, les cochers, qui connaissaient très mal Paris, ne desservaient qu'un seul quartier, indiqué par une lanterne de couleur accrochée à leur fiacre.

Le roi des catacombes

Enfin vint le métro, dont l'auteur évoque les premiers pas au fil d'un chapitre consacré à Proust, qui justement ne se risqua jamais sous terre. Un récit épique, où l'on apprend que certaines rames étaient équipées de distributeurs de parfum afin que les personnes incommodées par l'odeur de leur voisin puissent humecter leur mouchoir et s'en couvrir le nez.

Tout se tient, écrivait Balzac, à Paris plus qu'ailleurs. Graham Robb est friand de digressions et incises qui jettent des ponts entre les époques. Le récit de l'inauguration du Centre Pompidou par Giscard est l'occasion de faire un clin d'œil à la sœur de Blaise Pascal, qui, trois siècles plus tôt, devant l'église Saint-Merri, attendait le premier omnibus parisien, service dont l'auteur des Provinciales avait lancé l'idée.

L'universitaire anglais est fasciné par la passion des hommes politiques pour Paris. Napoléon n'eut pas le temps de rebâtir la ville à son idée, mais on sait que lors de ses campagnes militaires, en Russie et ailleurs, il continuait de s'intéresser à la voirie, à signer des décrets sur les égouts. C'est en rentrant de Londres, qu'il adorait, que Napoléon III dessina au crayon de couleur sur un plan de Paris les avenues qu'Haussmann percera. Hitler rêvait de voir Paris. Le 23 juin 1940, dans une ville désertée, il effectua un tour des monuments que Robb retrace minute par minute. Ailleurs, il rend hommage à un autre grand souverain de Paris, injustement méconnu, l'architecte Guillaumot, lequel édifia dans le sous-sol de Paris, qui s'affaissait, une énorme cathédrale, un royaume souterrain qui reproduit exactement le tracé des rues de surface. On s'étonne que le roi des catacombes n'ait même pas une rue à son nom dans la ville qu'il a sauvée de l'effondrement. L'universitaire anglais, avec un discret humour qui fait la saveur de ses récits, suggère que «c'est parce qu'on ne veut pas rappeler à ses habitants que Paris est bâti sur du vide»…

Lorànt Deutsch, la vedette en Seine

Le ton est décomplexé, l'allure juvénile et le pas vif, façon néo-piéton de Paris. En l'espace d'une année, le comédien Lorànt Deutsch a réussi à séduire un demi-million de lecteurs avec son histoire de la capitale. Métronome, l'histoire de France au rythme du métro parisien (Michel Lafont) révèle les petits secrets de la cité et de ses fondateurs. Il y a de l'Alain Decaux chez ce garçon dont la curiosité et le caractère encyclopédiste font la force. Loin des textes ardus de certains historiens et à mille lieues du discours convenu des guides, Lorànt Deutsch a réussi à imposer sa vision de Paris. Fort de son succès, son éditeur l'a persuadé d'éditer une version illustrée du livre. Elle sortira le 14 octobre, assortie de photographies mettant en scène le baladin Deutsch dans son décor préféré. (Françoise Dargent )

Une histoire de Paris par ceux qui l'ont fait de Graham Robb, traduit de l'anglais par Isabelle D. Taudière, Flammarion, 540 p, 24 €.

vendredi 24 septembre 2010

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Indices
Cac 40 3.782,48 +1,94%
Euro Stoxx 50 2.792,75 +1,98%
Dow Jones 10.860,26 +1,86%
Nasdaq C. 2.381,22 +2,33%
Nikkei 225 9.471,67 -0,99%
Devises / Taux / Matières premières
Euro - Dollar 1,3483$ +1,45%
Euribor 1 an 1,422% +0,00%
Petrole (NY) 76,48$ +3,03%
Or 1.296,37$ +0,19%
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Elisabeth II a perdu le contrôle absolu de ses finances

Mots clés : Budget de la reine, ROYAUME-UNI, Elisabeth Ii

Par Cyrille Vanlerberghe
24/09/2010 | Mise à jour : 20:29
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À la suite de disputes financières entre le gouvernement travailliste de Tony Blair et la Maison royale, un accord secret avait été signé en 2006.
À la suite de disputes financières entre le gouvernement travailliste de Tony Blair et la Maison royale, un accord secret avait été signé en 2006. Crédits photo : REUTERS

Le gouvernement surveille de près l'utilisation de la dotation publique à la Maison royale.

Après trois longues années de lutte contre les services juridiques du gouvernement, le quotidien The Independent a réussi à lever le voile sur l'un des secrets les mieux gardés du Royaume-Uni : le détail des finances allouées à la reine Élisabeth II. Pour protéger «la confidentialité» des relations entre la monarchie et le gouvernement, la subvention annuelle versée à la famille royale n'entrait pas dans le cadre de la loi sur le droit à l'information, qui permet aux Britanniques d'obtenir une copie de tout document public.

Le quotidien anglais a finalement mis la main sur un document qui montre que la reine a perdu l'un des derniers privilèges royaux qui lui restaient : elle n'a plus le contrôle absolu de ses finances et doit désormais justifier à l'État la manière dont elle dépense les 38 millions de livres (44 millions d'euros) versés chaque année par le Trésor public pour payer son personnel et l'entretien de ses palais et nombreux domaines.

Le chauffage de Buckingham

À la suite de disputes financières entre le gouvernement travailliste de Tony Blair et la Maison royale, un accord secret avait été signé en 2006. Le document détaille de manière très précise, avec 70 clauses différentes, la manière dont le gouvernement subventionne la reine. Un paragraphe précise qu'en cas de désaccord entre les deux signataires, le ministre en charge (celui de la Culture et des Sports) se réserve le droit de couper le versement de la subvention versée à la reine et de gérer directement les affaires royales. Cet accord «est en fait un adieu formel à l'un des vestiges du pouvoir monarchique» dans le pays, constate Gary Slapper, professeur de droit à l'Open University. Le journal estime pour sa part que le texte donne un pouvoir de levier considérable au gouvernement à une époque de grande austérité financière, ce qui pourrait «forcer la reine à réduire ses dépenses, ou alors l'obliger à se replier sur sa fortune personnelle considérable», estimée à 290 millions de livres (340 millions d'euros) par le Sunday Times.

Depuis des années, les services de la reine se battent contre le gouvernement pour obtenir des rallonges substantielles à leur subvention annuelle, afin de pouvoir mener d'importants travaux d'entretiens sur les palais royaux, Buckingham et Windsor en tête. Même pendant les années fastes du début de la décennie, le pouvoir travailliste a toujours refusé de céder à ces pressions et, en 2005, il a décidé d'envoyer des experts-comptables au Palais de Buckingham pour se pencher de plus près sur les dépenses royales.

À cette époque, explique The Independent, le palais était très endetté, avec des arriérés de paiement de 2,7 millions de livres. La reine avait même tenté de faire appel à un fonds de lutte contre la pauvreté, finançant les travaux de chauffage pour les écoles et les foyers les plus démunis pour… refaire le système de chauffage de Buckingham Palace. Une demande qui a d'abord été considérée de manière positive, avant qu'un conseiller du ministère ne fasse remarquer que «l'affaire risquait de provoquer une couverture négative par la presse».

Inutile de préciser que les inspecteurs du ministère ont été très critiques sur la gestion de Buckingham. Ils ont ainsi demandé pourquoi le nombre d'emplois au palais considérés comme «rentables» avait décliné «de manière significative» d'une année sur l'autre, et pourquoi le montant versé aux artisans était sept fois supérieur à celui inscrit dans le budget.

LIRE AUSSI :

» Elisabeth II, plus vieux souverain britannique

Par Cyrille Vanlerberghe
Correspondant à Londres, Le Figaro
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Brillantes auroras en Saturno

Nuevas imágenes de la sonda 'Cassini' se presentan en el congreso de ciencia planetaria en Roma

EL PAÍS - Madrid - 24/09/2010

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Aurora en Saturno

Imagen en falso color de una aurora en Saturno (verde brillante en el polo Sur) correspondiente al 1 de noviembre de 2008.- NASA/JPL

Toda la información científica en la sección de EL PAÍS

Nuevas imágenes extraídas de las observaciones de la sonda Cassini muestran brillantes auroras en el planeta Saturno, un impresionante espectáculo luminoso, durante un período de dos días. Se ha extraído esta información, por primera vez, de los datos acumulados por un instrumento de la nave espacial. Estas imágenes y los resultados preliminares de su análisis los ha presentado Tom Stallard, científico principal del instrumento, hoy en el Congreso Europeo de Ciencia Planetaria en Roma.


En la película , el fenómeno de la aurora varía "significativamente", señala Stallard, a lo largo de un día de Saturno, que dura alrededor de 10 horas y 47 minutos. A los lados del mediodía y la medianoche (a la izquierda y a la derecha en las imágenes, respectivamente, correspondientes a los días 22 y 23 de septiembre de 2007.), el resplandor se observa durante varias horas. Así, en la rotación del planeta se puede ver cómo éstas aparecen y reaparecen al mismo tiempo y en el mismo lugar en el segundo día, lo que sugiere que son controladas directamente por la orientación del campo magnético de Saturno.

"Las auroras de Saturno son muy complejas y apenas estamos empezando a comprender todos los factores involucrados. Este estudio proporcionará una visión más amplia de la gran variedad de diferentes características de la aurora que se pueden ver, y nos permitirá entender mejor lo que controla los cambios en su apariencia", ha señalado Stallard.

Las auroras en Saturno se producen de igual forma que las auroras boreales en la Tierra. Las partículas del viento solar son canalizadas por el campo magnético de Saturno hacia los polos del planeta, donde interactúan con gas eléctricamente cargado (plasma) en la alta atmósfera y emiten luz. En Saturno, sin embargo, las características de las auroras también resultan afectadas por ondas electromagnéticas que se generan cuando las lunas del planeta se mueven a través del plasma presente en la magnetosfera de Saturno.

Las nuevas imágenes, en falso color, muestran la aurora de Saturno en verde brillante alrededor del polo sur del planeta. La misión Cassini-Huygens es un proyecto cooperativo de la NASA, la Agencia Europea de Espacio(ESA) y la Agencia Espacial Italiana (ASI).




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lundi 20 septembre 2010

F,P,D Univers.

L'OMC relève sa prévision pour 2010

Avec Reuters
20/09/2010 | Mise à jour : 16:49
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L'Organisation mondiale du commerce (OMC) a relevé lundi, à 13,5%, sa prévision de croissance du commerce mondial pour 2010, par rapport à une estimation précédente à +10%.

Cette révision à la hausse reflète une reprise plus rapide que prévu des flux mondiaux de commerce après une contraction de 12,2% en 2009.





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Claude Monet en pleines lumières

Mots clés : Claude Monet, Grand Palais, Impressionnisme, PARIS

Par Eric Bietry-Rivierre
20/09/2010 | Mise à jour : 12:17
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Claude Monet savait retenir tous les instants de la vie : joyeux mais aussi tragiques, voire angoissants, comme ici, dans le tableau La Falaise à Dieppe, peint en 1882. (©Kunsthaus Zürich / All rights reserved)
Claude Monet savait retenir tous les instants de la vie : joyeux mais aussi tragiques, voire angoissants, comme ici, dans le tableau La Falaise à Dieppe, peint en 1882. (©Kunsthaus Zürich / All rights reserved)

En deux cents toiles, la superbe exposition du Grand Palais tient ses promesses et montre comment l'artiste s'est concentré sur des séries.

Comment Bataille a-t-il pu autant se tromper? L'œuvre de Monet serait, selon lui, «vibrant d'un bonheur sans fièvre»? Certes, chacune des deux cents toiles venues des plus grandes collections du monde, Marmottan excepté (qui fait expo à part), vibre. Intensément. Mais la luxueuse rétrospective qui s'ouvre mercredi au Grand Palais témoigne surtout d'une ardeur anxieuse. Monet n'est pas simplement fort pour retenir le plaisir d'une balade en famille dans les coquelicots. Il l'est aussi pour tous les autres moments de la vie: tragiques ­(Camille Monet sur son lit de mort), terrifiants (La Côte sauvage), angoissants (La Falaise à Dieppe), oppressants (Les Déchargeurs de charbon), chaotiques (La Débâcle), étranges (Les Dindons), élégiaques (En Norvégienne), joyeux (La Rue Montorgueil) ou paisibles (La Promenade d'Argenteuil).

En se concentrant sur le phénomène des séries - comment elles sont nées puis se sont systématisées à partir de 1890 pour aboutir au da capo al fine des Nymphéas - l'accrochage par paire, variations ou fugues permet de saisir la force de l'obsession.

Quelle est-elle? Impressionniste, ­Monet a pour seul objet l'effet que lui procure la lumière dans l'air qui passe entre les choses. «Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui», dont parlait l'ami Mallarmé. Un modèle impossible. Qui fuit, revient, repart, bouge, brouille. C'est l'éclat d'un glaçon, le scintillement d'une onde, la réverbération de fonds marins, un clapotis, un frisson dans un feuillage, une dentelle ou un plumage, le halo du soleil à une heure précise, les ombres dans les anfractuosités d'une falaise…

Comment dresser l'inventaire de ces états? Comment rendre leur métamorphose ? Leur puissance envoûtante? Il faudrait être chaman. «Il me semble, quand je vois la nature, que je vais tout ­faire, tout écrire, et puis va te faire…», peste Monet.

Une méthode instinctive

Son désir est si fort qu'il envoie souvent tout valdinguer, crève ses toiles, tombe à l'eau. Sa correspondance n'est que plaintes. Ce qui le sauve, peu à peu, c'est une méthode trouvée instinctivement. Il a plusieurs toiles en cours. Jusqu'à une cinquantaine à la fin, à Londres. Dès que la lumière de la veille, de l'avant-veille, voire de l'année précédente revient, il fonce dans son stock et reprend l'esquisse adéquate. Un peu comme les paperolles des manuscrits de Proust. Ensuite, le temps change et le manège recommence.

On a beaucoup jasé sur le fait qu'il terminait parfois ses toiles à l'atelier. Quoi qu'il en soit, son travail sur le motif est fondamental. Sans l'immersion dans le paysage, cette peinture-là n'existerait pas. Selon les saisons, l'artiste rentrait trempé, glacé ou rougi. Il lui fallait ce contact avec l'eau, la terre et le ciel. Et même lorsque, patriarche de Giverny à demi aveugle, il enrageait ou chantait avec ses couleurs dans le hangar qu'il s'était fait construire pour la série des Nymphéas, il continuait ce qu'avaient entamé Corot, Boudin, Jongkind…

Au Grand Palais, quelle que soit la force des prêts, une telle épopée ne peut qu'être évoquée. On notera qu'il manque la meilleure toile de la série des Peupliers ; qu'il n'y a «que» cinq Cathédrale. Mais combien sont sublimes les suites de Pourville, Bordighera, les rochers de Belle-Île, les ravins de la Creuse ou ces meules qui subjuguèrent Kandinsky. Londres culmine dans sa mystérieuse majesté cotonneuse. La dernière salle, celle des Nymphéas, est trop lacunaire et c'est regrettable, car l'ultime obsession est un apogée. Elle incite toutefois à revoir la grande décoration du Musée de l'Orangerie, cet incroyable requiem. Autrement, on saluera l'étude pour le Déjeuner sur l'herbe du Musée Pouchkine, la réponse de Monet à Manet qu'il voulait monumentale mais dont seuls deux pans subsistent. Ils sont là, à proximité. Même dans ces travaux de jeunesse, l'effet de série se remarque, puisque Monet y peint plusieurs fois les mêmes modèles. Ainsi, dans Femmes au jardin, où Camille, sa première femme, figure quatre fois.

Au final, on oubliera qu'Impression, soleil levant n'est pas au rendez-vous, et l'on réalise que, si la toile demeure déterminante pour l'histoire de l'art, ce n'est pas un chef-d'œuvre.

À partir de mercredi et jusqu'au 24 janvier. Tél. : 01 44 13 17 17. www.monet2010.com





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samedi 18 septembre 2010

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Journées du patrimoine : 15.000 sites à découvrir

Mots clés : journée du patrimoine, ministère, monuments, FRANCE, Frédéric Mitterrand

Par Claire Bommelaer
17/09/2010 | Mise à jour : 21:41
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Au ministère de la Culture, rue de Valois, Frédéric Mitterrand tiendra salon de 10 heures à midi.
Au ministère de la Culture, rue de Valois, Frédéric Mitterrand tiendra salon de 10 heures à midi.

Cette année, les grands hommes seront célébrés à l'occasion des Journées du patrimoine.

Près de 12 millions de visiteurs sont attendus ce week-end en France et dans plusieurs pays européens lors des Journées du patrimoine. À cette occasion, 15.000 lieux publics seront ouverts (dont plusieurs ministères, la Cour des comptes, le Sénat et plusieurs ambassades), certains de façon exceptionnelle. Avec comme fil rouge, la célébration des grands hommes.

À tout seigneur tout honneur, l'Élysée ouvrira ses portes de 8h30 à 20 heures, samedi et dimanche. Le public pourra se rendre des jardins à la Cour d'honneur en passant par le bureau du président de la République et l'ensemble des salons du palais. Devant le succès attendu, il faudra s'armer de patience. Ou s'orienter vers le ministère de la Culture, rue de Valois: de 10 heures à midi samedi, Frédéric Mitterrand y tiendra salon.

Le Collège de France, célèbre pour ses conférences de haut niveau, participera pour la première fois à l'événement. Les salons voûtés de XVIIIe siècle et la salle d'assemblée des professeurs seront visibles exceptionnellement.

Pour les parisiens nostalgiques, la piscine Molitor, jadis haut lieu de natation et de rencontres, s'ouvrira. Fermée depuis 1989, elle est aujourd'hui couverte de graffitis et de tags.

Pour les amoureux du cinéma, le Musée privé Gaumont à Neuilly-sur-Seine (affiches, photos, matériel) participera pour la seconde année consécutive aux journées.

De son côté, la Société de vénerie (chasse à courre) a imaginé 15 manifestations régionales sur des sites prestigieux comme le parc Soubise , les châteaux de Chambord, de Fontainebleau ou de Rochebrune. À chaque fois, cinq meutes de races différentes seront présentes, sous le son des cors.

Compte tenu du thème, les maisons célèbres seront à l'honneur, comme celle d'Ernest Renan à Tréguier, la maison familiale d'Henri Matisse dans l'Aisne, ou le Musée de Balzac à Saché. L'office du tourisme d'Ajaccio a mis sur pied des visites guidées autour de Bonaparte.

Dans le Nord-Pas-de-Calais, la ville de Cambrai propose des circuits thématiques de quelques heures. Exemples parmi d'autres : Sur les pas de Louis Blériot, Au temps de Fénelon, Artistes et femmes de Cambrai, Ingénieurs et militaires…

En Rhône-Alpes, la prison militaire de Montluc, où Jean Moulin fut enfermé, a prévu des visites, ainsi que des entretiens avec des rescapés de Montluc.

À Deauville, la villa Strassburger, construite en 1907 par Henri de Rothschild et typique des villas Belle Époque, sera visitable (visite guidée).

Signalons enfin la première participation du cabaret le Lido qui, à sa manière, célèbre tous les soirs les grandes femmes.





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vendredi 17 septembre 2010

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Asistimos y se divirtió la gente.

Concluye desfile militar

Militares del Ejército, Fuerza Aérea y Marina de México y contingentes militares de 17 paises desfilaron por Paseo de la Reforma

El Economista
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Une XXVe Biennale chic mais sobre

Mots clés : Biennale des antiquaires, Jason Jacques, Steinitz et Léage

Par Béatrice De Rochebouet
16/09/2010 | Mise à jour : 11:35
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Avec 87 exposants contre 95 en 2008, dont seulement 24 étrangers, le parcours est limpide. (Miguel Medina/AFP)
Avec 87 exposants contre 95 en 2008, dont seulement 24 étrangers, le parcours est limpide. (Miguel Medina/AFP)

Dans un décor moins fastueux que d'ordinaire, les 87 antiquaires réunis au Grand Palais à Paris ont sorti, malgré la crise, de superbes trésors.

Où est passée notre excellence française? Si la Biennale des antiquaires reste un événement envié par le monde entier, avec son dîner très sélect de 1200 personnes, organisé cette année en périphérie des stands, elle a perdu quelque peu de son pouvoir magique. Fini l'extase devant une scénographie à la Pier Luigi Pizzi ou à la François-Joseph Graf qui, dans le passé, donnait jadis à cette manifestation sous la verrière du Grand Palais son caractère unique propre à faire la différence avec la foire de Maastricht aux Pays-Bas, actuellement considérée comme la première au monde.

Avec la crise, moins de faste, donc! Place à la sobriété, avec des allées claires, aérées, bordées de façades, et des entrées de stands soulignées par des auvents à la parisienne déjà vus précédemment. Avec 87 exposants contre 95 en 2008, dont seulement 24 étrangers, le parcours est limpide autour d'une piazza où la fontaine du genre Pol Bury bordée de poufs rose et fuchsia, assortis à des bouquets de roses, fait toutefois fausse note. L'ambiance est plus belle la nuit que le jour.

À défaut d'un décor féerique, il faut pénétrer dans les stands où quelques exposants ont quand même réalisé des prouesses, tel le New-Yorkais Jason Jacques. Il porte aux nues le XIXe siècle dans un écrin sombre bourré de céramiques de Carriès et de meubles de Carabin (1,85 million d'euros pour le bureau de 1891). Tels les Parisiens Steinitz et Léage, qui ont reconstitué à l'identique des intérieurs XVIIIe avec de sublimes boiseries de l'hôtel de Luzy ou du palais Paar à Vienne. Tel Aaron, qui a fait dessiner par Jacques Grange des murs à la Bérard. Tels les Vallois, qui ont réuni une trentaine de meubles et objets «pour la plupart uniques, jamais ou très peu vus et déjà tous vendus». Tel encore François Laffanour, qui a mis en scène les grands classiques de Perriand et Prouve (sa grande table à ailettes est vendue environ 1 million d'euros) sur des estrades en bois dans un intérieur cosy.

À défaut de rêver devant les décors, le visiteur rêve devant des objets incroyables, comme la grande idole anatolienne (milieu du IIIe millénaire av. J.-C.), aussitôt vendue à plus de 500.000 euros chez Kevorkian, ou la tête de Vajrapani greco-bouddhique du Gandara en terre cuite, proposée à 400.000 euros chez Barrère. Une prouesse en cette période de récession où il est difficile de sortir des chefs-d'œuvre. Si bon nombre d'objets exceptionnels à des prix abordables ont déjà trouvé preneurs, les grosses pièces attendent sur les murs comme Les Mains de Picasso, chez Krugier à 10 millions d'euros, ou le Triptyque mauve de Francis Bacon de 1970, déjà vu à Maastricht, et annoncé à 50 millions de dollars par la Marlborough. Au dîner de gala, la clientèle russe et américaine se pressait plutôt dans l'étroit couloir des joailliers Cartier ou Dior qui a vendu plus de 10 millions d'euros de bijoux en un soir.

Changement de rythme

Invoquant la crise et le coût exorbitant du Grand Palais, qui a augmenté de 40% son prix de location, nombre de galeristes parmi les plus réputés, comme l'Arc en Seine (Art déco), Patrick Seguin (mobilier d'architecte), Pierre Passebon (XXe) ou les Chevalier (tapisserie) ont renoncé. Certains, comme Jean-Marie Rossi, préfèrent organiser une minibiennale dans leur galerie. Avec 20% en moins d'exposants, le parcours est plus rapide, mais manque de force dans certaines spécialités (arts premiers ou tableaux modernes), faute de concurrence.

Dans les allées, les discussions vont bon train sur l'avenir de la Biennale. Doit-elle prendre un rythme annuel? À cette question de son président, Hervé Aaron, les membres du Syndicat national des antiquaires répondent plutôt par la négative. Accueillir plus d'exposants, comme à la foire de Maastricht ? Devenir encore plus élitiste ? Tout cela sera tranché le 25 octobre, lors de l'élection de son président. En vue de cette échéance, Hervé Aaron a demandé une étude à la société de conseil Bipe, connue pour son rapport sur le marché de l'art pour le Conseil des ventes.

Biennale des antiquaires, Grand Palais à Paris, jusqu'au 22 septembre. www.bdafrance.eu




"Ideas del hombre y más .......".

lundi 13 septembre 2010

F,P,D Univers.


Papa: "Attenzione alle biotecnologie"
No a leggi per modelli alternativi di famiglia

Benedetto XVI torna a parlare delle nuove possibilità offerte da medicina e biotecnologia, esortando a vigilare sulle conseguenze che comportano per la vita umana e il matrimonio

ROMA - Benedetto XVI torna a parlare di biotecnologie e di 'modelli alternativi di famiglia', sottolineando, ancora una volta, la disapprovazione della Chiesa per le leggi che li riconoscono. La Chiesa, ha detto il Papa in occasione del ricevimento delle lettere credenziali del nuovo ambasciatore tedesco presso la Santa sede vede "con preoccupazione il crescente tentativo di eliminare il concetto cristiano di matrimonio e famiglia dalla coscienza della società". Soprattutto, il Pontefice ha sollecitato maggiore attenzione verso le nuove possibilità offerte dalle biotecnologie e dalla medicina, per evitare che quello che dovrebbe essere un aiuto per l'uomo si trasfonmi in manipolazione.

La Chiesa non accetta modelli 'alternativi' di famiglia. Ma la Chiesa, ha ammonito Benedetto XVI "non può approvare delle iniziative legislative che implichino una rivalutazione di modelli alternativi della vita di coppia e della famiglia. Esse contribuiscono all'indebolimento dei principi del diritto naturale e così alla relativizzazione di tutta la legislazione e anche alla confusione circa i valori nella società".

Aiuto o manipolazione. Il Pontefice ha anche ricordato che "il matrimonio si manifesta come unione duratura d'amore tra un uomo e una donna, che è sempre tesa anche alla trasmissione della vita umana" e ha portato il suo discorso sulla questione delle biotecnologie: "È un principio della fede cristiana, ancorato al diritto naturale, che la persona umana vada protetta proprio nella situazione di debolezza. L'essere umano ha sempre la priorità rispetto ad altri scopi. Le nuove possibilità della biotecnologia e della medicina ci mettono spesso in situazioni difficili che rassomigliano a un camminare sulla punta della cresta. Noi abbiamo il dovere di studiare diligentemente fin dove questi metodi possono fungere d'aiuto per l'uomo e dove invece si tratta di manipolazione dell'uomo, di violazione della sua integrità e dignità".

Nuove possibilità non vanno rifiutate, ma bisogna fare attenzione. "Non possiamo rifiutare questi sviluppi, ma dobbiamo essere molto vigilanti", ha sottolineato ancora il Pontefice nel suo discorso. "Quando una volta si incomincia a distinguere - e spesso ciò accade già nel seno materno - tra vita degna e indegna di vivere, non sarà risparmiata nessun altra fase della vita, ancor meno l'anzianità e l'infermità".

dimanche 12 septembre 2010

F,P,D Univers."Ideas del hombre y más .......".

YYYYYYYYYYYYYY ???

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48 h à Venise, canal authentique

Mots clés : Venise, Cité des doges, Mostra

Par François Simon
31/08/2010 | Mise à jour : 12:37
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La Douane de Mer, figure de proue du Grand Canal, accueille la Fondation Pinault.
La Douane de Mer, figure de proue du Grand Canal, accueille la Fondation Pinault. Crédits photo : (Alberto Pizzoli/AFP)

Il y a mille raisons pour se rendre dans la Cité des doges. Les prétextes abondent et rivalisent. Comme la Mostra du film dont la 67 e édition se déroule à partir de demain et jusqu'au 11 septembre.

Régulièrement, cette ville sublime plonge dans le malheur et l'injustice; régulièrement, elle ressort, suffoquée mais plus vivante que jamais. Expositions, palais rouverts, initiatives privées ou fonds publics… L'actualité vénitienne ruisselle. C'est comme si la ville sursautait, voulait se dépêtrer d'un sort funeste. Venise passe à l'attaque et conjure le sort. Elle réhabilite (église San Sebastiano), donne une deuxième chance (Musée Correr, sur la place Saint-Marc), ravive (Hôtel Danieli, avec Jacques Garcia), réinvente (la Douane, Fondation Pinault), crée même des hôtels (le Palazzina Grassi décoré par Philippe Starck)… Voilà pourquoi Venise reste une destination des plus glamours. À partir de demain, elle célèbre la fête du cinéma au Lido. Voici des adresses authentiques que nous vous demandons d'utiliser avec précaution, de peur qu'elles ne deviennent comme les autres (Harry's Bar, Da Fiore…), vidées de sens, abîmées par le cynisme touristique.

18h - ARRIVÉE - Installation à l'Hôtel Bauer

Attention, il existe plusieurs Bauer. Opter pour le Pallazo Bauer, membre des Leading Hotels of the World. Pour une nuit, compter 440 €. (Bauer Venezia, San Marco 1459 ; 00800 28 88 88 82 et www.lhw.com). Plus authentique et définitivement vénitien avec son bar, sa terrasse (en retrait de la piazza San Marco) et, même quand l'animation se fait plus enjouée, personne ne se plaint d'entendre les verres tinter en bord de lagune. Le Palladio situé juste en face, sur la Giudecca, est d'une belle sérénité avec spa et jardin, mais on se sent presque exclu de la ville. Pour les amoureux misanthropes, c'est parfait. À partir de 290 €. (www.lhv.com). Autres points de chute: le nouveau Danieli (revu par Jacques Garcia), compter 385 €. (Riva degli Schiavoni 4196 ; 041 522 64 80 et www.starwoiodhotels.com).

20h30 - Un vrai dîner vénitien

À l'Antiche Carampane (San Polo 1911, rio tera delle Carampane, 041 524 01 65; comptez 50 €). Restaurant extra dans sa façon d'aller droit aux produits: friture divine, araignée décortiquée aux artichauts sauvages, daurade toute simple. Joli décor bistrotier avec plafond bas et service aux petits soins. Bien mieux que des tables surcotées comme Da Fiore empêtrée dans une modernité poussive et une clientèle émoussée.

9h - JOUR 1 - Petit déjeuner sous le ciel

La terrasse du Palazzo Bauer (7e étage) offre une vue étourdissante à 360° sur Venise. Hélas réservé aux pensionnaires. Sinon, faites au moins l'expérience du Florian, sur la piazza San Marco. Mais pas comme moi, en vous asseyant candidement à l'heure de l'apéritif musical : prix du cappuccino: 14,50 €, record du monde et de la pigeonnerie internationale. Sinon, les petits bars dans les ruelles feront parfaitement l'affaire. Voire un glacier comme Da Nico (Dorsoduro, Fondamenta Zattere ai Gesuati) sur les Zattere, promenade idéale : on peut prendre son capuccino avec une glace au café ou pire, le gianduiotto (praliné et chantilly).

10h - À la Fondation Guggenheim

Autant être franc: à l'heure de pointe, ce lieu, comme bien d'autres à Venise, devient détestable. Autant jouer le contre-pied et y aller dès l'ouverture (10 heures). Prendre éventuellement son petit déjeuner au Museum Caffé et, ensuite, un petit tour à la boutique, il y a toujours des objets singuliers. Dorsoduro 707, Palazzo Venier dai Leoni. (www.guggenheim-venice.it).

11h45 - Premier spritz

Si parfois vous trouvez quelques passants euphoriques, cela ne veut pas dire qu'ils reviennent de la Fondation Pinault, ils ont sans doute pris cet apéritif mythique (vin blanc, eau minérale gazeuse, campari). À savourer dans la cohue bon enfant de la Cantinone Gia Schiavi (Dorsoduro 922, San Trovaso), non loin de l'Accademia. Marchand de vin et de bonne humeur qui peut également se boire sous forme de fragolino (vin au goût de fraise, désarmant). Logiquement après, la ville vous semble extrêmement sympathique.

13h - Déjeuner au Gondolieri

Dans le coin, autant déjeuner dans ce restaurant à l'élégance surannée. François Mitterrand adorait y aller (il résidait non loin, dans le palais de Zoran Music). Attendez-vous à rencontrer beaucoup de Français (comme à Corte Sconta, soi-disant l'un des meilleurs mais 100 % francese, Calle del Pestrin 3886; 041 522 70 24). Ils sont là pour la bonne cause : asperges somptueuses, agnoletti magro délicieux. Prix un peu maboule: 5 € le couvert et 10% de service. Décor années 1950 style yacht échoué avec photos noir et blanc (Dorsoduro, 366 San Vio 041 528 63 96 ; comptez 80 €). Vous voulez moins cher? Anice Stellato, dans Cannaregio : épatante petite table sincère à l'application gourmande (Fondamenta de la Sensa; 041 720 744; comptez 40 €). La friture de poissons et légumes est à tomber!

15h - La langue sur une glace

Vous aviez noté Da Nico, pensez également à la Gelateria Alaska (Santa Croce 1159, calle Larga dei bari): un déluge de parfums !

17h - Cartes de visite

C'est un peu au bout du monde mais lorsque vous y serez vous baiserez nos pantoufles vénitiennes : un imprimeur posté dans une ruelle, une passion dévorante, adorable avec qui respecte ce temple de l'imprimerie: cartes de visite, ex-libris… Gianni Basso, Cannaregio 5306 (041 523 46 81).

19h - La spirale des ciccheti

Rituel fatal cher à Venise, cette promenade apéritive pourra choquer les estomacs sensibles mais lorsqu'on entre dans la danse, il est difficile d'esquiver. Petites bouchées trapues (style tapas) avec lesquelles on boit un verre de vin blanc. C'est parti pour la tournée: Trattoria Ca'd'Oro («Alla Vedova»), pile dans la ruelle face à l'embarcadère de Ca'd'Oro, le lieu est adorable avec ses abat-jours, sa salle de restaurant et bien entendu son bar. Encore plus fort, la Cantina do Mori (près du Rialto: San Polo 429), avec ses marmites cuivrées accrochées au plafond, sa pénombre conviviale. Autre adresse joliment troussée: la Cantina, d'Andrea et Francesco, non seulement pour la bière maison (la Morgana), mais aussi pour l'ambiance, la rue piétonne (Cannaregio 3689, Strada Nuova). La Cantina, c'est aussi un excellent restaurant, authentique et candide!

21h - Un verre de vin

Si vous cherchez une table d'enfer dotée d'une carte des vins éblouissante, alors, c'est au Vini de Gigio qu'il faut s'asseoir: risotto aux scampi et zucchine, couteaux vénitiens. Comme souvent, il faut suivre les plats hors carte ! Cadre attachant avec plafond bas, poutres, coins et recoins, clientèle rosissant sous les vins ensorceleurs. (Cannaregio 3628/A; 041 528 51 40; 70 €.)

23h - Changement d'hôtel

Bien sûr, il faut tenter des expériences, de celles que l'on ne fait qu'une fois dans sa vie, comme le Cipriani. Une oasis de rêve, une réserve de gens bienheureux, un ruissellement de détails en acajou et un enfermement divin. À partir de 675 €. (www.hotelcipriani.com). Pour un budget radicalement inverse, une toute petite pension proprette et surtout si calme: Casa Boccassini (Cannaregio, 5295; 041 522 98 92 et www.hotelboccassini.com). À partir de 60 €. Vous auriez préféré un peu plus chic, style romantique design? Ca Maria Adele, neuf chambres admirables, à l'ombre divine de Santa Maria della Salute. 380 €. (Rio Tera dei Catecumeni 111, www.camariaadele.it). Ou encore, le tout récent Palizzina Grassi, rhabillé par Philippe Starck, à partir de 320 €. (www.palazzinagrassi.com).

9h - JOUR 2 - Recueillement à l'église

Trois églises pour la méditation et l'éblouissement de la pénombre: la basilique dei Frari, dans le sestiere de San Polo, la plus grande église gothique avec notamment, sur le maître-autel, l'Assomption du Titien (il y est enterré). La Madonna dell'Orto, dans Cannaregio, pour son Tintoretto sublime, à droite du chœur, la Présentation de Marie au temple et, enfin, l'église San Sebastiano, dans Dorsoduro, pour ses fresques de Veronese en trois tableaux éblouissants (dont le triomphe de Mardochée), et, dans le chœur, une peinture de Saint-Sébastien.

11h - Un tour au Lido

Pour conclure, une adresse époustouflante, Da Celeste (041 96 73 55). Hors guide of course! Pour cela, il faudra du temps ! Bateau jusqu'au Lido, puis bus 11 pour Pellestrina, il y aura même un ferry et au terme de ce périple (descendre à la station de la Poste centrale), un restaurant de poissons situé dans le ravissant petit port. Sur le ponton, attendez-vous à des antipasti de la mer à tomber sur le derrière: 43 € avec polenta, des gamberrini, puis de l'araignée décortiquée, des saint-jacques, des tellines-vongole-caparossoli et des sardines in saor. Il y eut un vin blanc adorable (un ronco Belle Acacie, de chez Vigne du Zabo, 30 €), des spaghetti vongole, un digestif maison à chavirer (sgroppino: vodka, prosecco, sorbet au citron)… Puis plus rien. Le retour ensommeillé dans le bus.


CARNET DE ROUTE

Y aller. Air France (36 54 et www.airfrance.fr) comme Alitalia (0 820 31 53 15 et www.alitalia.fr) assurent plusieurs vols quotidiens entre Paris et Venise. Ils durent 1 h 30. Vols également au départ de Marseille, Nice, Strasbourg, etc. Voir aussi easyJet (easyJet.com), Vueling (vueling.com) et Ryanair (ryanair.com). Compter de 80 à 190 € selon les dates et les compagnies.

Forfaits. Pour une escapade de trois nuits à Venise, compter entre 300 et 500 € par personne, vols compris. Parmi les spécialistes de la destination, consulter Donatello (donatello.fr), Voyageurs en Italie (vdm.com), Go Voyages (govoyages.com), Nouvelles Frontières, Comptoir d'Italie (comptoir.fr), Directours (directours.fr), Italowcost (italowcost.com), etc.

Lire. Nombreux guides sur Venise, de Lonely Planet à Vuitton en passant par Le Routard, Cartoville, Michelin, Géoguides, etc.

Se renseigner . Office national italien du tourisme (tél.: 01 42 66 82 21 et www.enit.it), ainsi que www.turismovenezia.it ou www.comune.venezia.it.

"Ideas del hombre y más .......".
F,P,D Univers

Toulouse prend des couleurs

Mots clés : Week-end, Microscope, TOULOUSE

Par Philippe Viguie-Desplaces
07/09/2010 | Mise à jour : 17:46
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Pont Neuf © Ville de Toulouse
Pont Neuf © Ville de Toulouse

Festivals, expo, fêtes… la ville rose garde le meilleur pour la rentrée. Un week-end s'impose.

En musique. La 31e édition du festival Piano aux ­Jacobins devrait tenir les promesses d'un passé glorieux. ­Richard Goode, Elisabeth Leonskaja ou Arcadi Volodos figurent parmi les invités vedettes, investissant entre autres lieux prestigieux le cloître des Jacobins et le Musée d'art moderne des Abattoirs. C'est dans ce dernier que cinq concerts de piano seront ainsi proposés autour d'une œuvre d'art « comme un dialogue entre les deux formes de création », explique ­Catherine d'Argoubet, directrice artistique. Parmi les découvertes 2010, citons David Kadouche, 25 ans, mais aussi Jorge Luis Prats, grand pianiste cubain qui n'avait pas rejoué en France depuis les années 1960.

31e édition du festival Piano aux ­Jacobins, jusqu'au 28 sept. Tél. : 05 61 22 40 05. Places : de 6 à 50 €. www.pianojacobins.com

À l'eau. Toulouse clôture l'année Paul Riquet par une grande fête les samedi 18 et dimanche 19 septembre. Baptisée « Ô canal », celle-ci s'installe sur le port Saint-Sauveur où sont mis en valeur l'architecture fluviale et les produits du canal (vin, riz, pastels…). Parmi les spectacles musicaux, citons le groupe de polyphonie féminine La Mal ­Coiffée (samedi 18 à 19 h 30). Ce même soir, la compagnie La Machine embrasera le canal du Midi et larguera mille bougies flottantes.

« Ô canal », Port Saint-Sauveur. www.riquet.toulouse.fr

Portrait Joan Fontcuberta (Ph: Joan Fontcuberta)
Portrait Joan Fontcuberta (Ph: Joan Fontcuberta)

En images. Manifesto est le festival de photo de Toulouse qui promeut la jeune création contemporaine internationale. Treize artistes photographes ont été sélectionnés parmi plus de 300 candidatures. Les expos, sans thème imposé, ont lieu au port Viguerie dans 22 conteneurs maritimes, sous la houlette du grand photographe espagnol Joan Fontcuberta (ci-dessus en cosmonaute ). Installations, happening, rencontres, conférences et concerts rythment les trois semaines de cette manifestation très tendance.

Manifesto, du 9 sept. au 3 oct. Port Viguerie. Entrée libre. www.festival-manifesto.org

En mouvement. Le Printemps de septembre fête ses 20 ans : 10 à Cahors et 10 à Toulouse. Le festival met en scène l'art contemporain dans tous ses champs d'expression : photographie, vidéo, danse, etc. Thème de cette année : la performance. Aux Abattoirs, le Musée d'art contemporain de Toulouse, l'artiste tchèque Roman Ondack demandera à chaque visiteur de se mesurer sur un mur blanc. L'accumulation de toises sera son œuvre. Christophe Duchatelet, dans son installation Dance Box, s'appliquera à réaliser le plus long clip du monde… Aux nombreuses expositions s'ajoutent les Soirées nomades, programmées par la Fondation Cartier.

Le Printemps de septembre, du 24 sept. au 17 oct.Entrée libre. www.printempsdeseptembre.com

Spots toulousains. Pierre Lambinon, 23 ans, est un ancien de Ducasse à Monaco et de Passédat à Marseille… Son restaurant, Le Py-r, ouvert il y a quelques mois dans le vieux Toulouse, crée le buzz. (19, rue des Paradoux. Tél. : 05 61 25 51 52. Menu déj. vin compris à 21 € et le soir deux menus à 34 et 65 €). Sur la place Saint-Georges, Monsieur Georges est à recommander pour l'assiette de cochonnailles signées Garcia et son suprême de poulet fermier aux écrevisses. (20, place Saint-Georges. Tél. : 05 61 29 81 96. Compter plus de 30 €). Le « L », vaut le détour pour la cassolette de coquillettes à la crème et aux truffes. (24, place de la Bourse. Tél. : 05 61 21 69 05. Compter 40 €). Trois ouvertures dans la nuit toulousaine : Le Duplex, bar à tapas (24, allée Jean-Jaurès), DJ jusqu'à 2 heures du matin ; le Old School Café (56, rue des Blanchers) dédié à la culture urbaine, et le Skybar (1, place Intérieure, quartier Saint-Cyprien), bar lounge design et cosy, DJ résident du jeudi au samedi soir.

PRATIQUE

Go !

En avion avec Air France ou EasyJet ou en TGV via Bordeaux.

Y dormir

Citiz Hôtel - Ouvert en plein centre le 5 juin dernier, ce quatre-étoiles de 56 chambres design se définit comme un « boutik hôtel » à la déco tendance. Dans le lobby, le plafond est constellé de lustres Foscarini. WiFi gratuit partout. De 115 € à 215 € la nuit.

Citiz Hôtel, 18, allées Jean-Jaurès. Tél. : 05 61 11 18 18. www.citizhotel.com

Bon plan

Le Vélib' toulousain est un moyen économique (1 € par jour) et très sûr de se promener en ville. Accessible sans abonnement avec une carte bancaire à puce.

Se renseigner

www.toulouse-tourisme.com

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samedi 11 septembre 2010

F,P,D Univers."Ideas del hombre y más .......".

Santander compra el tercer banco de Polonia por 3.000 millones

La operación es la segunda adquisición en poco más de un mes tras los 2.000 millones invertidos en las oficinas del RBS.- El banco español lanzará una opa por el 30% del BZ que ha quedado fuera de la venta

ÍÑIGO DE BARRÓN - Madrid - 10/09/2010


El Santander acaba de cerrar la compra del 70% del BZ de Polonia (Bank Zachodni), la tercera entidad del país con una red de 512 oficinas, según han informado en fuentes del banco español. El precio al que se ha cerrado la adquisición, la segunda en poco más de un mes tras pagar 2.000 millones por las oficinas del Royal Bank of Scotland en Reino Unido, es de 2.938 millones de euros.


Para hacerse con el BZ, el Santander ha ganado una subasta a la que también se presentó el francés BNP y el mayor banco polaco, el PKO. El Zachodni era la filial en Polonia del nacionalizado banco irlandés Allied Irish Bank, controlado por el Estado desde enero de 2009 y que está inmerso un proceso de reestructuración.

La compra, han añadido desde la entidad, restará 0,40 puntos porcentuales de capital de máxima categoría (core capital), con lo que el Santander se quedará con una ratio de 8,2%, uno de los más altos del sector. Además, han adelantado que lanzarán una opa sobre el 30% del BZ que ha quedado fuera de la operación, lo que le supondrá otro desembolso de 1.240, según las previsiones del grupo presidido por Emilio Botín.

Polonia, con más de 38 millones de habitantes, es un país estratégico para el grupo de Emilio Botín, añaden las mismas fuentes. Desde 2004, el Santander está presente en el país a través de la unidad de créditos al consumo -Santander Consumer-, sector en el que ocupa una posición relevante, sobre todo en la financiación de la compra de coches, y donde ya gestiona 250 oficinas.

El BZ Bank tiene una cuota en sucursales del 8% y controla el 6,5% del negocio financiero de Polonia. Los créditos concedidos ascienden a 9.000 millones de euros y los depósitos a 10.300 millones. Además, cerró 2009 con 222 millones en beneficios. El primer banco de Polonia es el público PKO con un 30% de cuota de mercado y el segundo es una entidad privada cuyo nombre es Pekao, con un 13% de negocio.

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À Venise, l'architecture est un rêve éveillé

Mots clés : Biennale de Venise, architecture, architectes, VEnise, Kazuyo Sejima

Par Béatrice De Rochebouet
08/09/2010 | Mise à jour : 23:23
Réactions (2)

À la 12e Biennale de Venise, les plus grands architectes du monde présentent des projets futuristes. Certains très concrets, d'autres irréalistes, tous très étonnants.

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"Multiplicity" de John Wardle et Stefano Boscutti, en Australie. Dans leur film en 3D les architectes australiens donnent une vision des métropoles en 2050 dans un pays où 93 % de la population vit dans les villes. Multiplicity donne des pistes de réponses aux nouveaux enjeux planétaires, comme le réchauffement climatique et le développement de la population. John Wardle Architects & Stefano Boscutti

C'est une atmosphère onirique qui plane sur la lagune où 56 nations ont planché sur le thème «Les gens se rencontrent à travers l'architecture», proposé par Kazuyo Sejima, première femme à diriger la Biennale d'architecture de Venise. À défaut de pouvoir exposer des constructions, on y confronte des idées. Celles-ci ne manquent pas, elles fusent même. Certains font dans le concret comme le Pavillon français qui réfléchit en image avec Dominique Perrault sur la Métropole; celui du Brésil retrace 50 ans de constructions après Brasilia; celui du Japon montre les maisons multifonctionnelles de l'atelier Bow-Bow pour Tokyo. D'autres font dans l'abstrait comme le Pavillon belge qui montre les usures de l'architecture comme des tableaux accrochés sur les murs ou celui de l'Égypte qui propose une «quête du salut», donc de la délivrance dans une immense sculpture habitable couleur or des sables.

Une épure éphémère

Mais ce grand laboratoire où toutes les formes de représentation même les plus folles sont permises, est, au delà des questionnements urbains, écologiques, politiques et sociaux, une invitation au rêve. Pour comprendre et vivre l'expérience de l'architecture, qui est parfois philosophique, il nous faut démultiplier nos sens.

Architecture rime avec espace. Celui-ci peut être occupé par l'air avec le nuage sur lequel Transsolar et Tetsuo Kondo du Japon invite à monter. Par le bruit avec l'installation en ovale de haut-parleurs diffusant 40 voix enregistrées séparément de l'artiste canadienne Janet Cardiff (2001). L'architecture chante alors comme autant de variations sonores dans une construction. Par la lumière avec l'immense machine pivotante verte fluo de l'agence française R & Sie (n) qui analyse le comportement de l'homme dans le noir et joue avec toutes ses peurs et ses pathologies. Ou encore par l'eau avec le ballet de pluie sonore du Scandinave Olafur Eliasson que l'on peut suivre par un effet de lumières stroboscopiques dans une immense salle plongée dans l'obscurité. Cette installation muséale à couper le souffle s'intitule Votre maison en un clin d'œil, visuelle mais impalpable…

Les limites de l'espace se résume à quelques fils tissés par le Japonais Junya Ishigami, Lion d'or du meilleur projet. Son étude pour le vignoble de Château La Coste est une épure éphémère, transparente, en lévitation où chaque individu trouve sa place par instinct. À défaut de comprendre le sens de chacune de ces installations, on peut avoir de l'émotion devant ces pseudo-architectures qui flirtent, comme il y a deux ans, avec l'art contemporain. Le message se doit d'être grandiose, donc, spectaculaire.

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