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Mots clés : chantiers de l'Atlantique, paquebot, SAINT-NAZAIRE, STx
Par Mathilde VisseyriasIl sera baptisé Fantastica. L'armateur italo-suisse MSC Croisières signe ce matin à Saint-Nazaire, en présence de Nicolas Sarkozy, la commande d'un paquebot de croisière au groupe de construction navale STX France (ex-Chantiers de l'Atlantique). Ce navire, le douzième de sa flotte, sera livré en mai 2012 pour un montant de 575 millions d'euros.
«Très stable, ce paquebot sera, avec nos deux autres navires MSC Fantasia et MSC Splendida, le plus gros et plus luxueux bateau de croisière jamais commandité par un armateur européen pour naviguer en Méditerranée, déclare au Figaro Gianluigi Aponte, président fondateur de MSC Croisières, qu'il contrôle à 100 %. Il aura une classe VIP, avec 99 cabines de luxe, service de majordome et espaces réservés : salon, restaurant, piscine, spa et salle de gym.» Long de 333,3 mètres et d'une largeur de 38 mètres maximum, le Fantastica pourra atteindre la vitesse de 23,7 nœuds. Naviguant au départ de Marseille, il aura 1751 cabines et pourra accueillir 4000 passagers. Cela augmentera de 10% la capacité de MSC Croisières, la portant à 1,4 million de passagers en 2013. Comptez de 750 à 2000 euros la semaine tout compris, avec une escale par jour.
Une lettre d'intention a été signée début mars pour cette commande, qui a nécessité le soutien de l'État. Pour STX France, c'est un chantier vital. Ses chantiers tournent au ralenti. Pour éviter le pire, l'État a dû mobiliser les banques françaises (Crédit agricole CIB, BNP Paribas et Natixis), qui étaient réticentes à octroyer les crédits nécessaires (nos éditions du 18 février). «Le président de la République a tout fait pour que le chantier ne s'arrête pas», affirme Gianluigi Aponte. MSC Croisières bénéficie ainsi du soutien de la Coface, agence française de crédit à l'exportation, qui garantit le financement.
L'armateur réglera sa commande en cinq fois, sur douze ans. Il fera un premier chèque aujourd'hui, d'un montant de 115 millions d'euros. Premier client des Chantiers de l'Atlantique, à qui il a passé déjà 10 commandes, MSC Croisières revendique la place de deuxième croisiériste en France et de numéro quatre au niveau mondial. Son patron se félicite d'avoir la flotte la plus moderne au monde : si son plus vieux navire date de 1981, tous les autres ont été construits après 2002. L'armateur a d'ores et déjà posé «une option» d'achat à STX, pour un prochain navire, un paquebot de la même envergure que le Fantastica. «Nous continuons à investir, car la croisière se porte bien. Le secteur n'a senti que très légèrement la crise, déclare Gianluigi Aponte. Les Italiens et les Coréens sont très désireux de travailler avec nous. Mais je suis fidèle à STX depuis plus de sept ans. Quand je m'entends bien avec un fournisseur, je n'en change pas pour quelques millions d'euros !»
L'an dernier, MSC Croisières a augmenté d'environ 30 % son chiffre d'affaires, à 1,2 milliard d'euros. Son résultat net a atteint 60 millions d'euros. «Avec un prix moyen de 1 200 euros tout compris, la croisière a un excellent rapport qualité-prix, affirme Gianluigi Aponte. Cela attire de plus en plus. » La clientèle rajeunit : sa moyenne d'âge est désormais d'une quarantaine d'années.
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Mots clés : bébé blanc, parents noirs, gênes, LONDRES
Par Marion BrunetLes lois de la génétique sont parfois indéchiffrables. Un couple de Britanniques d'origine nigériane, tous deux noirs de peau, a donné naissance à une petite fille blanche, aux cheveux blonds et aux yeux bleus dans un hôpital de Londres, révèle le journal britannique The Sun. Une surprise d'autant plus grande que ces parents ont déjà eu ensemble deux enfants à la peau très foncée et qu'ils n'ont pas connaissance d'ancêtres blancs dans leur famille respective.
La stupeur passée, le mari s'est tout d'abord interrogé sur la fidélité de sa femme. «S'agit-il bien de mon enfant ?», s'est demandé Ben Ihegboro. Des doutes rapidement dissipés par les médecins de l'hôpital qui lui ont affirmé que la petite fille n'était ni albinos, ni métissée. «Ma femme est sincère avec moi. Et même si elle m'avait trompé, le bébé n'aurait pas la peau aussi blanche et les cheveux aussi blonds», a conclu le père du nouveau né. Sa femme, Angela, a quant à elle qualifié la naissance de sa fille de «miraculeuse». «Elle est magnifique», s'est-elle réjouie, tandis que son mari a assuré que l'essentiel est que leur fille «soit en bonne santé».
Alors que le couple a baptisé l'enfant Nmachi, qui signifie «Beauté de Dieu» dans leur langue maternelle, les généticiens ne parviennent pour l'instant pas à expliquer sa couleur de peau. «C'est un phénomène extraordinaire», a expliqué au Sun le professeur Bryan Sykes, chef de génétique humaine à l'université d'Oxford. «Dans les populations métissées, il arrive que la variante de teinte de peau plus claire ressurgisse sur un enfant. Et elle peut parfois être étonnamment différente de la couleur de peau des parents, poursuit le spécialiste. Cela peut notamment survenir au sein des populations où les mélanges génétiques sont nombreux, comme les afro-caribéens. Mais au Nigeria, il y a peu de mélange». «Les règles de la génétique sont complexes. Nous ne savons d'ailleurs toujours pas ce qui se passe dans de nombreux cas», conclut le généticien, évoquant une probable mutation génétique d'origine inconnue pour la petite Nmachi.
Ce type de naissance n'est pas un cas rarissime, notamment dans les populations métissées. Plusieurs phénomènes génétiques inhabituels ont ainsi pu être constatés ces dernières années. Il y a cinq ans, un couple de Britanniques avait notamment donné naissance à des jumelles de couleur différente, l'une noire, l'autre blanche. Alors que leurs parents étaient tous deux né d'une mère blanche et d'un père noir, les chances qu'un tel cas se produise étaient d'une sur un million.
» La réaction des parents :
ALICIA RIVERA - Madrid - 21/07/2010
La nebulosa Tarántula, donde está la estrella más masiva descubierta hasta ahora, vista con un telescopio de 2,2 metros de diámetro (izquierda) y con el VLT (centro y derecha) en las que se aprecia gran detalle- ESO/P.CROWTHER/C.J.EVANS
Una estrella de 300 veces la masa de nuestro Sol es algo no sólo nunca visto hasta ahora sino también completamente inesperado para los astrónomos, que estimaban el límite máximo de masa en unas 150 veces la solar. Pero la han encontrado. Todavía se la conoce sólo por su anodino nombre oficial, R136a, y la han localizado unos científicos en la nebulosa Tarántula, de la galaxia vecina Gran Nube de Magallanes, a unos 165.000 años luz de distancia de la Tierra. "La existencia de un monstruo así, millones de veces más luminoso que el Sol, y perdiendo peso por los intensos vientos estelares, puede ayudarnos a responder una pregunta clave. ¿Cómo de masivas pueden ser las estrellas?", explican los especialistas del Observatorio Europeo Austral (ESO), con cuyos telescopios VLT, en Chile, se ha descubierto esta superestrella.
"A diferencia de los humanos estas estrellas [supermasivas] nacen con mucho peso y lo van perdiendo con la edad", comenta Paul Crowther, líder del equipo que ha hecho el descubrimiento. "Con poco más de un millón de años, el caso más extremo, R136a1, está ya en su mediada edad y ha sufrido un intenso adelgazamiento, perdiendo un quinto de su masa inicial en ese tiempo, lo que significa más de 50 veces la masa solar". Para tener una de la esperanza de vida de este monstruo, el Sol tiene unos 4.500 millones de años, y durará otros tantos. Por su masa llevan vidas diferentes y tendrán finales diferentes.
Los astros más masivos queman mucho combustible [hidrógeno], viven rápido y al final, cuando ya no queda con qué alimentar el reactor termonuclear de su interior colapsa por su propia gravedad y produce una explosión de supernova, dispersando ingentes cantidades de materia en su entorno. De la supernovas normales, queda al final un rescoldo que es una estrella de neutrones, superdensa, o incluso un agujero negro. Pero la existencia de estrellas tan masivas como R136a1 hace que los astrofísicos escuelen con la posibilidad de que se produzcan supernovas excepcionalmente brillantes que dispersen en la explosión toda su materia, sin restos, sin esos objetos exóticos que son las estrellas de neutrones o los agujeros negros. El Sol, sin embargo, y las estrellas de su tamaño, cuando se acabe el hidrógeno (convertido en helio) y se apague su reactor nuclear, sufrirá una expansión de sus capas exteriores, que se irán enfriándose y se convertirá en una gigante roja. a la larga sólo quedará en su lugar un rescoldo, una enana blanca.
Las estrella supermasivas son muy raras y sólo se forman en los conjuntos estelares más densos, por lo que identificarlas individualmente es muy difícil. Crowther (Universidad de Sheffield (Reino Unido) y sus colegas, se han centrado en su investigación en dos grupos de estrellas jóvenes: uno es RMC136a, en el que han identificado unas 100.000 estrellas incluido el superastro; el otro es NGC3603, situado a unos 22.000 años luz de la Tierra. Han encontrado varios astros con temperaturas superficiales superiores a los 40.000 astros, más de siete veces más calientes que el Sol y varios millones de veces más brillantes. Los análisis y comparaciones con modelos de formación y evolución estelar indican, según estos científicos que varias de las estrellas que han observado nacieron con masas superiores a 150 veces la solar, el considerado hasta ahora límite máximo. "Nuestro hallazgo apoya la idea de que debe haber un límite superior a la masa de una estrella, pero de momento lo hemos doblado, 300 masas solares, respecto al que se estimaba hasta ahora, de 150 masas solares", comenta Olivier Schnurr (Instituto de Astrofísica de Postdam, Alemania). Crowther considera que, de momento, será difícil batir su récord. El hallazgo se publica en la revista británica Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.
En concreto R136a1, la más masiva hasta ahora, tiene una masa actualmente de 265 veces la del Sol pero debió naces con unas 320 masas solares. Si este superastro se pusiera en lugar del nuestro, lo superaría en brillo tanto como el Sol supera a la Luna, explica el ESO. ¿Cómo se ha podido formar un monstruo así? Los científicos tienen dudas: puede haber nacido así de masivo ya o puede ser producto de la fusión de otros astros más pequeños.
Crowther y sus colegas han realizado sus observaciones con el conjunto de grandes telescopios VLT (en Cerro Paranal, Chile), del ESO, y han combinado sus datos con los del archivo del Hubble.
AMAIA ARRARÁS - Pamplona - 10/07/2010
Como cada día, los morlacos han salido puntuales desde los corrales de Santo Domingo a las ocho en punto de la mañana, tras escucharse el cohete. Minutos antes, los corredores han realizado el tradicional cántico a San Fermín. Los toros y los cabestros han salido de los corralillos del gas compactos, y han recorrido los primeros metros cuesta arriba hasta encontrarse con los mozos.
Sin embargo, en este punto la manada ya ha quedado dividida para todo lo que quedaba de encierro. Dos toros se han situado en cabeza de carrera con los cabestros, mientras que los otros cuatro hermanos han ido quedándose descolgados del grupo principal. Los toros se han resbalado en varias ocasiones.
Tras recorrer a gran velocidad la calle Mercaderes, la manada ha llegado a Estafeta dividida y ha alcanzado la Plaza de Toros completamente rota. Los momentos de mayor tensión se han vivido en el tramo final, cuando aún faltaban por entrar en la plaza los dos últimos toros. El trabajo de pastores y mozos ha sido esencial para dirigirlos hasta los chiqueros sin que embistieran.
Minutos antes del comienzo del encierro, se ha realizado un homenaje a Daniel Jimeno, joven de 27 años fallecido en la carrera del año pasado, corneado por un toro de Jandilla. La alcaldesa, Yolanda Barcina, y el padre del joven, han depositado un ramo de flores en el lugar donde fue corneado, junto al vallado de Telefónica.
Desde 1980 Dolores Aguirre ha recorrido 10 veces las calles de Pamplona y es la sexta ganadería que más corneados ha dejado por el momento, 12 en total. Los seis toros serán lidiados esta tarde, a partir de las 18.30 horas, por los diestros, Iván Fandiño, que debuta en Pamplona, David Mora y Joselillo.
Mots clés : Turner, Musée Getty, Modern Rome-Campo Vaccino
Par Bruno JacquotSix enchérisseurs se sont affrontés chez Sotheby's à Londres. C'est le Musée Getty de Los Angeles qui a finalement emporté le tableau de Turner Modern Rome-Campo Vaccino pour 29,7 millions de livres (soit 35,7 millions d'euros), alors qu'il était estimé entre 12 et 18 millions d'euros.
Plus de 35 millions d'euros:jamais une œuvre du peintre anglais n'avait atteint un tel prix. Il est vrai que Modern Rome-Campo Vaccino présentait deux particularités:c'est le dernier tableau exécuté à Rome par le peintre en 1839 et, surtout, cette œuvre n'était apparue qu'une seule fois sur le marché depuis.
Dans un état de conservation exceptionnel, Modern Rome-Campo Vaccino était proposé aux enchères par les héritiers d'une famille aristocratique écossaise qui l'avait en sa possession depuis 1878. «Cette image époustouflante montre l'artiste au sommet de son art», a souligné David Moore-Gwyn, spécialiste de la peinture britannique chez Sotheby's.
Le précédent record pour une œuvre de Turner avait été établi en avril 2006 par un autre tableau de sa série italienne, Giudecca, La Donna della Salute and San Giorgio, une vue de Venise. La vente de ce Turner est l'une des récentes enchères records, sur fond de retour de la confiance sur le marché de l'art après un ralentissement dû à la crise économique.
Le tableau était proposé dans le cadre d'une vente de toiles de grands maîtres et de peintres britanniques, qui a rapporté au total de 53,5 millions de livres.
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