Spirou fait de la résistance... sous le manteau!
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C'est un peu LE canular de cette rentrée BD. Dans le sillage du 75eme
anniversaire de la naissance du personnage de Spirou, les éditions Dupuis
viennent ...
mardi 22 septembre 2009
F,P,D Univers. Diana et Giscard : l'Angleterre incrédule
Cyrille Vanlerberghe, correspondant à Londres
21/09/2009 | Mise à jour : 22:35 |
Valéry Giscard d'Estaing et la princesse Diana au début des années 1980, soit au moment où l'idylle aurait eu lieu.
Les spécialistes de la royauté ont réagi lundi avec la plus grande prudence à l'histoire romancée de la «princesse» et du «président», mais les plus grands journaux britanniques enquêtent.
L'annonce de la possible histoire d'amour entre la princesse Diana et l'ancien président de la République française Valéry Giscard d'Estaing a provoqué la surprise totale des Britanniques. Malgré les dizaines de rumeurs qui continuent d'entourer la princesse de Galles et sa disparition tragique, personne n'avait jamais envisagé un rapprochement franco-anglais aussi étroit.
Malgré la barrière de la langue, notre édition de lundi n'a pas manqué de provoquer une certaine agitation au sein des rédactions des grands journaux et des télévisions. Refusant d'être cité sur le fond de l'histoire, l'un des correspondants royaux de la BBC était en revanche très intéressé par toutes les informations qu'il pouvait recueillir. Lundi matin, le Daily Mail fut le premier à réagir, en publiant un long article sur son site Internet. Un peu plus tard et aussi en ligne, le Sun, tabloïd avec le plus fort tirage du pays, qualifiait l'affaire de «sensationnelle !» Les journaux dits «de qualité» ont pour leur part demandé à leurs correspondants à Paris d'enquêter sur l'histoire. Moins célèbre en Angleterre que ses successeurs Chirac ou Sarkozy, Giscard d'Estaing est tout de même connu comme l'auteur du premier texte de la Constitution européenne, un document peu apprécié dans un pays toujours très eurosceptique.
À Londres, les spécialistes de la royauté ont pris les révélations de La Princesse et le Président avec la plus grande prudence, et une bonne dose d'incrédulité. «Cette relation me semble très improbable, estime Ingrid Seward, rédactrice en chef de Majesty Magazine, le seul mensuel de qualité dédié à la famille royale. Je n'ai jamais rien entendu de tel, alors que j'ai suivi Diana depuis très longtemps, avant son mariage avec Charles. Ça paraît complètement fou !» Joint par téléphone, James Whitaker, correspondant royal au Daily Mail pendant des années et expert incontournable de la couronne pour les télévisions britanniques a éclaté de rire en apprenant le sujet du roman, avant de refuser tout commentaire. Après quelques vérifications, Valentine Low, le spécialiste de la royauté au Times a pour sa part mis le doigt sur des problèmes de dates, faisant remarquer que Giscard d'Estaing a quitté l'Élysée quelques mois avant le mariage de Diana Spencer avec Charles. «Cela paraît complètement ridicule, il y a une telle différence d'âge, explique Valentine Low. En 1984, au moment où les premières difficultés apparaissent dans le mariage de Charles et Diana, Giscard d'Estaing a déjà 58 ans !» Diana n'a à l'époque que 23 ans.
Tous les spécialistes s'accordent pour dire que les premières infidélités dans le couple princier ne commencent au plus tôt qu'en 1984, et que de toute façon, les amants connus de Diana étaient tous jeunes, ou à peine plus âgés qu'elle. «Diana n'aimait que les jeunes» assène l'un de ses biographes, «et de toute façon, on ne voit pas ou ça aurait pu se faire. Jusqu'à la séparation en 1992, elle a été très discrète, et après, elle était traquée par les photographes.»
Moins définitif mais tout aussi incrédule, le correspondant royal du Daily Telegraph explique en riant qu'«avec Diana, tout est possible !»
Dans le cœur des Anglais
Même douze ans après sa mort, la princesse de Galles conserve toujours une place très particulière dans le cœur des Anglais. Depuis sa disparition, la famille royale ne passionne plus, et certains journaux comme le Daily Mirror, n'ont même plus de correspondants à Buckingham. Cette semaine, la publication de la biographie autorisée de la reine mère, écrite à partir de sa correspondance privée, a beaucoup déçu les médias britanniques. Sur plus d'un millier de pages, seules une petite trentaine sont consacrées au mariage malheureux de l'héritier de la couronne avec la jeune lady Spencer. Un mariage qui a pourtant provoqué la plus grave crise de la monarchie britannique depuis l'abdication du roi Edward VIII en 1936. Tous les journaux se sont interrogés sur les raisons qui ont poussé la princesse Margaret, sœur de la reine Elizabeth II, à détruire toutes les lettres de sa mère concernant Lady Di. Une correspondance qui détenait peut-être les clés pour comprendre les liens mystérieux entre un président français et une princesse anglaise.
"Ideas del hombre y más .......".
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