Spirou fait de la résistance... sous le manteau!
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C'est un peu LE canular de cette rentrée BD. Dans le sillage du 75eme
anniversaire de la naissance du personnage de Spirou, les éditions Dupuis
viennent ...
lundi 3 août 2009
F,P,D Univers. Madame Figaro Maria Sharapova : jeu, set et pub
Diva des courts, la joueuse de tennis russe est aussi devenue l’icône des annonceurs. Dernier en date, Tag Heuer, la marque suisse de luxe, a craqué pour sa blondeur, son allure, son chic fou. En attendant de la retrouver au service, retour sur son itinéraire d’enfant surdouée.
Paru le 01.08.2009 , par Isabelle Girard
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Quand Maria Sharapova, 22 ans, 1,88 m, 59 kilos, débarque sur la terrasse du Hyatt Vendôme, sanglée dans un minitailleur Missoni d’où s’échappent deux jambes interminables chaussées de ballerines Prada couleur noir verni, plus rien ne bouge. Impériale, elle commande des fraises et un cappuccino en baissant sagement les yeux, comme Lady Di savait si bien le faire, à mesure que les regards appuyés convergent avec admiration sur cette apparition.
Qu’elle soit numéro 1 mondiale ou 80e au classement WTA, qu’elle ait ou non remporté Roland-Garros, Wimbledon ou Flushing Meadows, ses admirateurs se souviennent surtout de sa petite robe de cocktail noire agrémentée de brillants Swarovski, de sa petite robe rouge avec col en strass, de sa petite robe bleue drapée comme celle d’une déesse athénienne, et vendraient leur âme pour connaître la forme de la prochaine petite robe que Nike va concocter pour elle.
Son slice, son service, son revers lifté, c’est bien joli, mais rien ne remplace l’élégance de cette Walkyrie quand elle ratisse les centraux de la planète comme un top sur son podium. C’est pour ça que les annonceurs l’adorent. Sharapova est une diva, un oiseau rare. Synthèse d’Ayrton Senna et de Julia Roberts, c’est deux produits en un : le glamour et la performance. C’est pour cette raison que Tag Heuer l’a choisie comme icône. Ces montres suisses ont toujours aimé les sportifs de haut niveau, les pilotes automobiles de formule 1, les joueurs de tennis ou les acteurs hollywoodiens de la trempe d’un Steve McQueen ou d’un Brad Pitt. Jusqu’à présent ils n’avaient pas réussi à combiner grâce et précision, jusqu’à l’arrivée de cette pépite, avec sa carrure d’Ursula Andress et la chevelure de BB dans Et Dieu créa la femme.
"Solo ideas del hombre".
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